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 Mission Suicide : Présidium.

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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 11 Juil 2012, 20:10
PRECEDEMMENT, SUITE À L'ARRIVEE DE LA GARDE NOIRE AU PRESIDIUM...


    « Oh oh, Week croire avoir visite ! »

    Cela faisait plus d'une demi-heure que le Pilote Vortcha attendait au bord de l'Ira. Dans l'absolu cela ne le dérangeait pas tant que ça d'attendre mais il était un pilote d'action : les combats spatiaux, ça le connaissait. Il était déjà le conducteur de l'Ira dans sa période Berserker. Certes la « bête » était moins performante vu qu'elle n'avait pas encore bénéficié des améliorations des Mécanos mais tout de même, le duo Week/Ira avait fait leurs preuves en capturant et pillant plusieurs vaisseaux « égarés ». Ce mode opératoire lui était donc parfaitement connu et en général, Week privilégiait la neutralisation à la destruction : comment pouvoir récupérer des pièces des carcasses si elles étaient détruites !?
    Dans tous les cas, Week était un peu déçu quand il aperçut sur ses capteurs l'identité de ses ennemis, il ne s'agissait que de deux navettes type Kodiak de l'Alliance mais au fond, il y'avait certes moins de challenge mais cela lui permettait d'économiser des ressources et du temps : Sarkass avait besoin de lui pour l'extraction ou pour toutes autres sortes de missions, il était indispensable et représentait la seule force aérienne d'Ascensus. Les deux navettes s'approchaient du vaisseau et adoptaient une formation agressive : dès que l'Ira était en vue, les navettes tirèrent immédiatement dessus mais Week n'allait pas se laisser faire et d'ailleurs, il attendait cette attaque : immédiatement, il activa les propulseurs de sa machine pour surprendre les navettes. Le Vortcha était joueur surtout quand l'ennemi n'était pas très dangereux mais il gardait en tête qu'une erreur pouvait toujours s'avérer fatale... Mais l'heure était au combat et inévitablement au plaisir !
    Il emmena les navettes là où il le désirait et après un virage serré fit un demi-tour express, lorsque les navettes arrivèrent au tournant, le Vortcha les attendait, canons ioniques chargés.

    « Vous prendre ça les biches ! », criait Week tout seul dans son vaisseau.

    L'effet de surprise était total : une des navettes avait été touchée de plein fouet, neutralisant les systèmes internes de la machine entraînant alors sa propre chute. Week riait aux éclats à la vue de sa victoire mais il n'avait pas anticipé l'acte de désespoir de la navette qui ouvrit ses portes : un Humain, lance roquettes sur l'épaule décocha un missile. Cependant, le manque de précision et de temps dus à la descente infernale de la navette firent que le tir de la roquette n'était pas précis et continua sa course dans un bâtiment adjacent. Mais cela avait alerter le Vortcha qui regarda immédiatement la deuxième navette encore en marche : Et heureusement ! Les portes s'ouvrirent laissant juste passer un autre lance roquette. La roquette ne se fit pas attendre bien longtemps, mais elle ne se fit pas attendre non plus pour se faire détruire ! La batterie Guardia s'en était occupée sans problèmes : après tout, elle était conçue pour ça. La navette tira désespérement sur la coque de l'Ira, les tirs se butèrent sur la barrière qui, peu performante, n'allait pas résister longtemps, mais suffisamment pour que Week cible le dernier ennemi : un coup de Thanix bien placé et la navette sombra dans les méandres de la Citadelle. Le Vortcha pouvait donc revenir à proximité du Présidium en attendant les directives de Sarkass.
    Et en parlant du loup...

    « Week, moi [...] toi ! [...] Prési[...] ren[... tion ! »

    Foutu brouilleur ! Sarkass voulait sûrement lui dire quelque chose mais les communications étaient impossibles ! Cependant, peu après ce message, le pilote vit sur ses capteurs et ensuite par le cockpit de son vaisseau, une navette qui partait du Présidium et qui avait les identifiants de la Hiérarchie, la même qu'il avait repéré peu avant. Peut être fuyait elle ? Non, les Turiens ne fuient jamais le combat à moins pour ... revenir plus tard ?! Week prit l'initiative de partir à sa poursuite, cela ne serait pas si long que ça.

    PPRESIDIUM, ACTUELLEMENT


    PALLIK

    Le Sniper Turien était conscient que rester vivant -suite à son action solitaire et inconsciente de surcroit- allait être difficile. L'effet de surprise n'était plus possible et s'il se faisait tuer, c'en était fini pour lui et pour la crédibilité de son acte ; il fallait donc rester à couvert et ne plus bouger, tout en faisant attention aux déplacements Turiens et de ReGénésis : il était désormais seul dans sa merde. L'Assassin ôta son casque et le leva à couvert, pour voir s'il était la cible des Snipers ennemis. Il pourrait s'adapter par la suite.

    SARKASS

    Le reste de la troupe était arrivée au niveau de la Barrière et le discours Vortcha avait fait son effet à merveille, il n'y avait plus de tirs de ReGénésis vers sa position et tout était concentré vers les Turiens : Parfait. Cependant, il n'y avait pas tant de couverts que ça là où ils se trouvaient et il fallait passer cette barrière pour pouvoir se protéger tout en s'approchant de l'Ascenseur qui était la dernière étape avant le Panneau. C'est alors que le Vortcha vit quelque chose qui ne présageait rien de bon : une des navette Turienne s'envola, c'est alors qu'il hurla à toutes les troupes.

    « Tirez sur Navette ! Elle pas devoir quitter Présidium ! Sinon, nous être tous morts ! Feu Feu Feu ! »

    Il était conscient que si la Navette s'envolait pour contacter les renforts, ils étaient tous cuits, cela signerait la fin d'Ascensus. Non, cette navette ne devait pas s'enfuir, c'est ainsi qu'il contacta Week.

    « Week, moi avoir besoin de toi ! Toi devoir pourchasser et neutraliser Navette Turienne en partance du Présidium, elle ne doit pas alerter les renforts ! Sinon nous être cuits ! Exécution ! »

    Pas de réponses, sûrement ce foutu brouilleur qui faisait des siennes ! Il n'y avait plus de contacts avec son seul soutien aérien, bon sang cela ne se passait pas comme prévu ! Mais il avait d'autres chats à fouetter et devait encore plus se dépêcher : si les Turiens arrivaient avec des renforts, tout était fini. Il fallait faire vite.
    Sarkass répondit alors à Tahna qui lui avait proposé une autre alternative, celle de contourner pour arriver au niveau des Turiens.

    « Toi avoir vu comme moi navette partir : elle demander renforts. Faire détour nous ferait perdre temps précieux, ReGénésis être de notre côté à priori, nous pouvoir passer barrière parce que moi avoir prévu tout ça. Par contre, moi pas oublier ce que toi dire et moi prendre en compte tes paroles, toi avoir compris que moi te faire confiance sur tes talents de stratège. Mais Sarkass veut faire vite, vies être en jeu. »

    Ensuite, Sarkass portait sa voix en direction d'une des caméras à l'attention de " la Voix ", il fallait qu'elle les soutienne plus et les renseigne !

    « Sarkass avoir encore besoin de toi, moi vouloir avoir toutes les informations possibles sur ce qui va se passer, et si toi pouvoir faire n'importe quoi pour soulager mes troupes, nous en être ravis ! Quand tout sera fini, dites nous votre position que l'on puisse vous extraire. Aidez nous, et Ascensus rendre la pareille ! »

    C'est ainsi qu'après cette discussion, Sarkass fit signe au Yahg : le plan qu'il lui avait expliqué durant la préparation de l'attaque devait être mis en place. Le Yahg hocha de la tête et se mit en position : dos à la barrière. Ensuite, Sarkass s'adressa aux troupes de ReGénésis postées derrière cette fameuse barrière.

    « ReGénésis, nous pas avoir assez de couvert et de visuel pour aider vous ! Moi demander de pouvoir passer la Barrière, moi comprendre que vous pas avoir confiance en moi, mais moi dire un vieil adage : Ennemis de mes ennemis être mes amis. Moi avoir toujours la réputation d'être un homme d'honneur, moi vouloir éradiquer présence Turienne ! Moi vouloir arrêter tout ça ! Ecoutez moi ReGénésis ! Moi commencer à passer barrière, moi faire confiance à vous. »

    Si ReGénésis ne bronchait pas et que les soldats ne montrent pas d'opposition, le plan était simple. Le Yahg prenait en premier les Asaris biotiques pour les balancer par dessus la barrière, les Asaris pouvaient ensuite se réceptionner grâce à leurs capacités biotiques, et ainsi de suite : les Asaris avaient pour rôle d'amortir la chute des autres soldats. Son devoir accompli, le Yahg devait retourner à couvert et attendre soit l'extraction, soit attendre que les forces Turiennes soient assez affaiblies pour pouvoir faire le tour et rejoindre les siens.
    L'initiative était certes osée et risquée, mais il fallait prendre des risques dans cette guerre : risques qui pouvaient s'avérer payants. Reste à savoir comment allaient réagir les troupes de ReGénésis.
    Toutefois il y'avait une part de vérité dans les propos de Sarkass, s'ils coopéraient, il serait logique par la suite de les épargner voir de les aider à les sortir de cet Enfer qu'était devenue la Citadelle.


Dernière édition par Sarkass le Jeu 12 Juil 2012, 12:34, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 12 Juil 2012, 00:56




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
    « ...Le sort de la Citadelle en dépend ... »




    Presidium - Tour
    [Gold]

    Gold avait vu la navette de la Garde Noire s'envoler : c'était là leur seule chance de survie. Et cela ouvrait de nouvelles perspectives pour les forces loyalistes à Gold et non plus a l'anarchie. Car les forces restantes en bas, sans élément canalisateur qu'était Captain, n'étaient plus capable de rien si ce n'était de se fier à leur instinct de survie guerrier. Ils se battaient pour survivre. D'autres avaient décidés de battre en retraite en lâches. Gold devait contacter les Turiens pour établir une stratégie à adopter. Il devait contacter les forces conciliennes, ce à quoi il s'était résolu jusque là car ils n'avaient aucune légitimité mais l'envoi des Turiens au Présidium avait changé la donne.

    Gold n'avait qu'une seule envie. Mettre un terme à toute cette pagaille. Il y avait deux choses à faire impérativement : la première, contacter la navette Turienne en partance pour le blocus afin d'empêcher un bombardement qui n'aurait pour seul résultat que la désolidarisation des cinq bras. Il devait empêcher la fin de la Citadelle. La fin que ce commando désirait à tout prix apparemment. La seconde chose était bien évidemment de réussir à réorganiser la Garde Noire au Présidium efficacement. Les moyens étaient limités mais tout n'était pas perdu. Pour cela, il fallait les contacter. Il se tourna d'ailleurs vers le désigné aux communications qui lui répondit négativement mais que cela serait fait sous peu.

    Les troupes envoyées plus tôt a l'ascenseur ont finies par toutes réussir à descendre : cinquante hommes aguerris ainsi que 3 YMIR et quelques mécas tenaient ferme la position derrière boucliers-barrières. Gold établit une fréquence :

    "Tenez l'ascenseur, ne tirez sous aucun prétexte sur la Garde Noire. A part eux, tuez tout ce qui vient."

    Il continuait d'observer le champ de bataille par les différents écrans qui donnaient des rapports audiovisuels de l'ensemble de la Cour du Présidium. Il surveillait de près les Turiens et le commando de Sarkass. Tout se jouait là. Et d'ailleurs ces derniers s'approchaient dangereusement de l'ascenseur vers la Tour. Le chef de RéGénésis était confiant. Tout n'était pas perdu.

    C'est à ce moment-là que son subordonné lui rapporta une bonne nouvelle.

    "Nous avons la fréquence de la Garde Noire, je vous la passe."
    "Contact"
    "Etablie"
    "Ici l'Executor Pallin de l'ancien Service de Sécurité de la Citadelle. Je suis aux commandes du groupe prénommé ReGenesis. Je suis actuellement retranché dans la Tour du Présidium pour protéger le Panneau de Commande de la Citadelle. Les forces que vous avez en face de vous sont indisciplinées à cause du meurtre du capitaine. Mes dernières forces loyalistes sont à l'ascenseur et vous attendent. Je peux leur demander de vous frayer un passage depuis leur dos. Si vous m'entendez, répondez ! Une dernière chose, empêchez un bombardement sur le Présidium, ou c'est toute la Citadelle qui partira en cinq morceaux !"


    Presidium - Cour
    [Tahna]

    Il fallait absolument se sortir vivant de ce trou à rats. Il leva son arme et tira alors sur la navette Turienne et observa ses tirs aller à deux mètres au dessus de l'engin, l'éraflant à peine. Impuissant mais sachant que cela était inutile, Tahna avait plutôt son attention portée à l'ouest de la Cour, vers les Ambassades, où des forces de RéGénésis s'étaient rassemblées et prenaient les Turiens à revers.

    Sarkass avait donc décidé de passer outre la barrière malgré ses conseils, contourner aurait été plus sûr mais plus long certes. Les forces de RéGénésis, trop anarchiques pour pouvoir former un semblant de corps de défense ou d'attaque, ne put donner de réponse à Sarkass. Ils se défendaient pour leurs vies tandis que les plus rationnels se repliaient vers le groupe d'attaque vers les Turiens pour les prévenir de l'insubordination. Un fou se risqua devant ses confrères et avait tiré sur l'ensemble du groupe avec son fusil d'assaut avant de finir criblé de balles juste après par le commando. Ça devait être le signal.

    Tahna était toujours auprès de Sarkass. Il ne faillirait pas à sa tâche de coéquipier envers le Vorcha. Ils devaient aller a la Tour pour régler cette histoire, mais cela petit à petit s'annonçait comme mission impossible. Une véritable mission suicide. C'était vraiment l'enfer. Il espérait que le Courtier lui offrirait un bon répit comme il se doit pour l'agent éreinté. Mais ce n'était pas encore fini.

    "Attention à 9 heures, des troupes de RéGénésis !".
    En effet, pendant tout ce temps, les forces des Ambassades s'étaient séparées en deux entre les Turiens et le groupe de Sarkass. Cependant, ce dernier commençait à faire feu sur le commando, accentuant l'effet de chaos entre les différentes forces présentes au sein du Présidium.

    ______________________________

    Une balle de sniper vint faire voler le casque que Pallik avait levé d'un de ses bras. Cela confirmait ses pensées : un ou plusieurs snipers ennemis l'avaient en joue. C'était pas bon. Vraiment pas bon. Surtout que les forces de ReGénésis des Ambassades rappliquaient...






    feat [MJ]IVIA.Sarkass.Courtier de l'Ombre.Titus Vissal.Jason Archer
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 12 Juil 2012, 14:59
    Navette Turienne

    Le pilote de la navette s'employait à quitter le Présidium le plus rapidement possible, il n'avait que très peu de temps devant lui, les troupes au sol étaient bien mal engagés, et il leur fallait des renforts le plus vite possible. Il en était conscient, il ne comptait pas vraiment quitter la citadelle pour rejoindre la flotte, il suffirait de quitter la zone du brouillage, mais il ne savait pas ou aller. Il demanda donc à son copilote de répéter un message jusqu'à temps que quelqu'un arrive à le capter.

    //Ici navette T.45.GN, besoin urgent de renfort au Présidium. Il nous faut plusieurs unités terrestres, ainsi qu'un soutien aérien... Je répète demande de renfort... Nos hommes aux sols rencontrent des difficultés...//

    Le copilote répétait sans cesse le message, c'était la seule chose qu'on entendait dans le cockpit, cependant le pilote était trop concentré pour se laisser distraire par la voix de son collègue. Le pilote s'attendait à être poursuivi, pour le moment ce n'était pas le cas, enfin c'est ce qu'il pensait. Néanmoins, tout ce qu'il voulait c'était transmettre le message, quitte à mourir si il le faut, les turiens aux sols comptaient tous sur lui.

    Titus

    Titus continuait à tirer en direction des troupes qui provenaient de l'ouest, les tirs étaient précis, il tira quelques rafales et se mit à couvert avant de répéter cette opération une nouvelle fois. Les autres Turiens étaient tout aussi efficace que leur lieutenant, ce n'était pas pour rien qu'on les considérait comme l'élite de l'armée Turienne. Le soldat qui utilisait la mitrailleuse, provenant de la navette, se fit une joie de tirer dans la même direction, c'était un carnage, seulement l'ennemi était nombreux, et ils arriveraient probablement à passer à force. Le dernier Turien à avoir un lance roquette arriva près de Titus et lança une roquette vers l'un des mécas encore debout, et nul doute que le méca n'allait pas être le seul à subir les dégâts qu'allait causer la roquette. Par la suite, le soldat retourna à sa position pour surveiller la navette de Régénésis.

    Tout les snipers de la Garde Noir avaient reçu l'ordre d'abattre toutes les personnes qui tenteraient de passer le pont, seulement l'un des sniper resta immobile, sans tirer. Il attendait que le Turien, qui avait éliminer le capitaine des forces de Régénésis, fasse une erreur, qu'il se redresse un tout petit peu afin de pouvoir l'éliminer. Le sergent quant à lui, il s'occupa de couvrir le pont situé à l'est, pour abattre les quelques hommes qui auraient réussis à passer, il était accompagné par trois autres soldats Turiens.

    Le lieutenant de la Garde Noire voyait mal comment il pouvait faire sortir ses hommes de ce merdier, qu'était devenu le Présidium. Il était persuadé que le panneau de contrôle était la source du problème, le commando inconnu voulait à tout prix s'en emparer, tandis que les forces de Régénésis cherchaient à le protéger. Et bizarrement entre les deux camps, il y avait Titus et ses gars, il fallait que ça tombe sur lui. Cette mission n'avait pas été aussi facile qu'il l'aurait cru, et il savait très bien qu'il avait commis quelques erreurs, seulement il faut souligner le fait qu'il n'avait eu que très peu d'informations sur la mission. Le lieutenant était toujours aussi furieux d'avoir perdu autant des siens, seulement il ne pouvait pas laisser ses émotions guider ses actions. Il se mit à couvert, et c'est précisément à ce moment là que les Turiens reçurent le message de l'exécuteur Pallin. Les Turiens avaient tous étaient surpris, et pour cause, la plupart d'entre eux pensaient qu'il était mort. Le lieutenant fit signe aux autres soldats de continuer le combat, pendant qu'il répondait au message.


    //Exécuteur Pallin... Je n'ai pas demandé à ce que le Présidium se fasse bombarder... Mais vous savez comme moi que si nous perdons le contrôle du panneau, alors il vaudrait mieux que la Citadelle partent en fumée en orbite de la Terre, plutôt que sur l'une des villes humaines !!//

    Titus avait un peu présumé que c'est ce que la flotte ferait si jamais ils n'avaient pas de nouvelles de la Garde Noire, mais il avait besoin de faire comprendre à Pallin que c'était lui qui était en position de force, bien que ce soit le contraire. En tout cas, il préférait nettement que la Citadelle soit détruite dans l'espace, que sur la Terre, cela pourrait provoquer un incident diplomatique entre l'Alliance et la Hiérarchie. C'est seulement à ce moment qu'il se demandait ou était les troupes de l'Alliance, ils avaient décidés d'attaquer seul la Citadelle, et maintenant les Turiens se retrouvaient seul à combattre au Présidium. Titus se disait que les grands stratèges de l'armée humaine n'avaient pas prévu tout ça, et selon lui c'était clairement de l'incompétence. Enfin ce n'était pas à lui de porter un jugement sur la façon de combattre des humains, au moins eux se battent, contrairement aux Galariens et aux Asaris.

    //Si vos hommes pouvaient nous dégager le passage ce serait magnifique ! J'ai besoin que votre navette couvre nos arrière, nous ne devons pas être pris à revers. Dites à votre pilote de dégommer tout ceux qui tenteront de passer par le pont Est. Dernière chose... Essayez de me doubler, et je m'arrangerais pour que vous tombiez avec moi !!//

    Le lieutenant n'avait pas entièrement confiance en Pallin, mais il n'avait clairement pas d'autres choix que d'accepter son aide. Il était dans une position intenable. Titus fit signe au soldat avec son lance roquette de venir prêt de lui, mais il fut obligé de l'appeler pour qu'il vienne à lui. Il se mit donc à parler à tout ceux qui étaient prêt de lui.

    « Messieurs, la journée a été longue, mais j'ai encore besoin de vous ! Dès que les troupes de Pallin auront engagé le combat, on pourra avancer. Mais je compte pas envoyer toutes nos forces là bas. J'ai besoin de deux volontaires... »

    « Je suis prêt... »

    « Ca m'aurait étonné que tu restes ici, je vous suis aussi lieutenant... »


    Les deux soldats se connaissaient bien, et il semblerait que ce soit les deux plus casses cou du groupes étant donné que tout les autres s'étaient mis à rire, ce qui fit sourire Titus même si il ne les connaissait pas très bien. Titus savait qu'il prenait un risque, mais il ne pouvait pas se permettre de laisser cette zone. Tout simplement parce qu'il fallait une zone d'atterrissage pour les renforts, si ils arrivaient, et il n'avait pas envie de se faire prendre à revers.

    « Parfait... Une fois que nous en aurons fini avec eux, tout les autres iront prêter mains fortes au sergent. Personne ne doit passer par ici. »

    Tout les Turiens prirent position, certains avaient continués de tirer quand Titus parlait, afin que les ennemis n'avancent pas trop. Et les autres Turiens reprirent leurs positions pour canarder les renégats de chez Regenesis, La mitrailleuse allait être très efficace pour éliminer le plus gros des troupes, tandis que les soldats ainsi que Titus allaient pouvoir éliminer ceux qui n'auront pas été tué par les forces de Pallin. Titus et les deux volontaires s'apprêtaient à avancer, ils attendaient juste que l'ennemi soit diminué suffisamment pour pouvoir y aller sans prendre trop de risque.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 12 Juil 2012, 17:37


    ViperZ observait tranquillement le chaos qu'il avait provoqué en moins de quelques minutes de manière impassible tandis que le groupe de mercenaire l'accompagnant s'arrangeaient pour renforcer la position du mieux qu'il pouvait. Les mécas actifs avaient semés le doute dans l'esprit des hommes de RéGénésis sur le champ de bataille qui tiraient désormais à tout va. Une navette s'était envolée avec des Turiens à son bords ce qui ne présageait rien de bon mais il avait d'autres chats à fouetter et Sarkass tenta de communiquer avec lui en se retournant vers l'une des caméras de sécurité et en criant pour couvrir le vacarme des combats:

    « Sarkass avoir encore besoin de toi, moi vouloir avoir toutes les informations possibles sur ce qui va se passer, et si toi pouvoir faire n'importe quoi pour soulager mes troupes, nous en être ravis ! Quand tout sera fini, dites nous votre position que l'on puisse vous extraire. Aidez nous, et Ascensus rendre la pareille ! »

    Le jeune homme réfléchit longuement en passant en revue la situation sur chaque caméras, donnant une vue d'ensemble sur les combats en cours. Il fallait faire éclater la poche de résistance établie par les Turiens afin de soulager les troupes d'Ascensus qui pourraient se concentrer sur la destruction du brouilleur par exemple. C'est ainsi qu'il activa le haut-ârleur des caméras du Présidium proche des troupes de RéGénésis et déclara:

    -Soldats! Stoppez vos tirs face aux hommes d'Ascensus! Ils ne sont pas vos ennemis comme vous avez pu le constater suite à la mort de votre capitaine! Ce sont les Turiens qui le sont et qui nous menace tous! Vous pouvez chasser ceux-ci d'ici en écoutant mes directives et en assistant les troupes d'Ascensus du mieux que vous le pouvez! Ensemble, nous pouvons nous sortir de cette situation chaotique et triompher de cet envahisseur!

    Les soldats observèrent les caméras, indécis face au discours de Viperz mais l'un d'eux ne tarda pas à crier avec force:

    -J'aimerais bien savoir qui vous êtes avant d'écouter quoi que ce soit.

    -Appelez-moi ViperZ.

    L'annonce du pseudonyme eut l'effet d'une véritable bombe au sein des troupes qui connaissaient sûrement de réputation le jeune hacker. Toutefois, cela eu l'effet tant désiré de les convaincre de le suivre et de cesser le feu face aux hommes de Sarkass. Ceci étant fait, il annonça au Vortcha son plan:

    -Bon.. Appelez-moi ViperZ. Je contrôle les mécas et active en ce moment-même une partie de ceux-ci qui viendront vous assistez dans la suite des opérations. De plus, il semble que j'ai convaincu les troupe de RéGénésis des Ambassades de se joindre à notre force de frappe. Je préconise donc d'anéantir la poche de résistance turienne afin de nous ôter cette épine du pied. De plus, il faudrait que vous envoyiez une équipe au brouilleur histoire de l'utiliser à notre avantage et faciliter les transmissions. J'expliquerai la marche à suivre à votre meilleur technologue. Une fois ceci fait, je vous expliquerai la suite du plan mais tâchons de nous occuper de ces Turiens avant qu'ils ne deviennent un problème plus important encore.

    Sur ces mots, il pianota sur la console et quarantaine de mécas et trois Ymirs s'activèrent dans les entrepôts du SSC des Secteurs avant d'en sortir et de rejoindre l'ascenseur pour rejoindre le niveau du Présidium au plus vite. Pendant ce temps, il se tournât vers les mercenaire et expliquât son plan en détails. Le leader s'abstint de commentaires à l'instar du Butarien qui déclara avec force:

    -Vous êtes un sacré malade humain

    A quoi le jeune homme répondit avec calme:

    -C'est ça ou crever sous les balles des Turiens ou dans l'explosion de cette station. De plus, si on réussit, je pense que vous aurez la notoriété qui sied à des vétérans comme vous les gars. Sinon, pas de questions? Alors on se met au travail! Aurora? Occupe-toi de diriger les mécas du mieux que tu peux pour assister nos alliés pendant que je m'occupe de mes nouveaux partenaires.

    -Entendu. Temps estimé avant l'engagement: 10 minutes.

    Et la Vipère se retourna vers les écrans pour donner ses directives aux hommes de RéGénésis aux abois et localiser le brouilleur qui lui causait tant de soucis...




Dernière édition par ViperZ le Ven 13 Juil 2012, 17:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 12 Juil 2012, 23:50
Blocus de la Citadelle, pont de commandement du TSF Invictus.


Le Commandant Pallis suivait l'avancée des troupes au sol sur la table holographique, près du fauteuil du capitaine. Il avait avec lui quatre officiers, qui analysaient les avancées, coordonnaient les renseignements et les ordres, puis les transmettaient aux escouades en bas. Les discussions étaient vives autour de la table, mais Pallis était perdu dans ses pensées. Deux sujets le tracassaient.

Le premier était son Primarque, parti depuis quelque temps déjà sur le Mont-Blanc, et qui ne donnait toujours pas de nouvelles. Son chef avait bien tenté de le rassurer, lui faisant comprendre qu'il avait un plan et que tout irait bien, mais Pallis connaissait Artérius depuis de nombreuses années, et bien qu'il sache que peu de choses pouvaient venir à bout du calme de son Primarque, un vaisseau rempli d'Humains faisait parti de ces rares situations où Artérius pouvait se montrer impulsif.

Le second élément qui l’embêtait était le Présidium. Un navette y avait été aperçue, une troupe de la Garde Noire y avait été envoyée, et depuis, plus rien. Cela ne correspondait pas au méthode de ce corps d'élite, strict et rigoureux. Selon Pallis, quelque chose clochait. Mais bien qu'il ai théoriquement le commandement sur le bâtiment, les quatre autres officiers avaient aussi leur mot à dire sur l'envoi de troupes en l'absence du Primarque. Et tout les quatre s'accordaient à dire que tant qu'il n'y avait pas de nouvelles, il n'était pas nécessaire de s'alarmer.

La rêverie du Commandant dut interrompue par le chargé des communications, qui lui indiqua qu'un message important était transmis. Pallis pianota sur l'interface haptique devant lui, et transféra l'enregistrement sur le terminal de la table d'opération.

    - Ici navette T.45.GN, besoin urgent de renfort au Présidium. Il nous faut plusieurs unités terrestres, ainsi qu'un soutien aérien ... Je répète demande de renfort ... Nos hommes au sol rencontrent des difficultés ...

Pallis avait vu juste. Il lança un regard mi-mépris, mi-"Je vous l'avais bien dis" aux officiers devant lui. Bien que leur confiance en la Garde soit justifiée et très bien placée, un excès de cette confiance leur avait fait perdre un temps précieux, et des perte importante devaient être à déplorer au sol pour que les Gardes demandent des renforts. Immédiatement, le COmmandant réfléchi aux moyens d'aider les Gardes. Quatre bataillon restaient encore dans les différents vaisseaux, frais et dispos. Malheureusement, il n'y avait pas assez de navettes, et la zone où la Garde avait été déployée était trop peu étendue pour accueillir ne serait-ce qu'un seul bataillon. Les capsules étaient un moyen viable, mais il fallait réorienter l'Invictus, ce qui prendrait de longues minutes.

    - Commandant Aetius, prévenez le chef du 40ème bataillon. Je veux cinquante hommes prêts à en découdre aux hangars à navettes sur le champ. Ils prendront les derniers transports et se poseront sur la ZA de la Garde Noire. Lieutenant Septima, prévenez l'Ertaren, je veux des chasseurs pour l'escorte des navettes, et des bombardiers en appui pour le soutien aérien au sol.

Pallis appuya ensuite sur un bouton, qui le mit en communication avec le timonier.

    - Redéployez l'Invictus pour placer le Présidium et les coordonnées suivantes dans l'angle de tir des rampes de capsules.

Le Commandant relâcha le bouton, puis se posa quelques instants, à regarder les officiers relayer ses ordres. Trois minutes plus tard, sept navettes décolèrent, avec à leur bord, le 6ème peloton d'infanterie lourde du 40ème bataillon. Les transports furent bientôt rejoints par huit chasseurs qui constituaient l'escorte aérienne. L'appui aérien arriva quelques minutes après, sous la forme des trois bombardiers.


Dernière édition par Artérius Vorasen le Mar 17 Juil 2012, 15:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeVen 13 Juil 2012, 23:04
    WEEK - IRA -

    Le pilote Vortcha se hâtait : il avait repéré la Navette Turienne s'enfuir du Présidium et avait donc pris l'initiative de l'arrêter avant qu'elle ne complique les choses sur la Citadelle, la navette avait sûrement senti le danger approcher puisqu'elle accéléra un bon coup, ce qui surpris Week qui se lança à sa poursuite. Il fallut peu de temps à l'Ira pour arriver à une distance suffisamment correcte de la fameuse navette pour pouvoir l'annihiler, il manipulât avec précaution les viseurs du canon Thanix pour décocher deux tirs assez puissants pour exploser la navette, les débris et la carcasse sombrant dans l'oubli. Week était satisfait de sa performance mais quelque chose vint noircir le tableau : les capteurs et les transmissions étaient réétablies : la navette avait réussi à alerter les renforts.

    « Merde. Moi connaître un qui va pas être content... » pensa le pilote tout haut et il avait raison : Les choses allaient empirer pour son chef, il fallait le prévenir. Direction, le Présidium.


    PRESIDIUM...

    PALLIK

    Se calmer, respirer... Pallik faisait le vide dans sa tête pour pouvoir réfléchir correctement et ne pas être perturber par ce qui l'entourait. Les Snipers l'avaient en joue, s'il bougeait, s'il faisait une seule erreur, il serait mort. Non, il fallait attendre le moment propice, le moment parfait pour pouvoir s'enfuir et partir de cet enfer. À ce moment précis, Pallik savait qu'il était inutile tandis que Sarkass et les autres combattaient. Cependant il trouva le réconfort dans le fait qu'il avait foutu une bonne grosse zizanie au sein de tous les camps et que cela était profitable pour Sarkass, il fallait qu'il réussisse : pour venger tous les morts aujourd'hui qui ont combattu pour défendre la Citadelle de l'Envahisseur. Il ne fallait pas qu'ils s'en sortent indemnes, que la blessure soit si profonde qu'elle persistera à jamais dans tous les coeurs, dans toutes les âmes conciliennes...

    SARKASS

    Ca y'est ! La barrière était franchie et tous était de l'autre côté. Tous ? Non. Le Yahg était resté de l'autre côté, sa trop grosse stature l'empêchait d'être soulever par la Biotique : il était donc coincé là bas. Mais il ne fallait pas pour autant qu'il se sacrifie ou qu'il meure pour un rien. Le Yahg se positionna à couvert le plus près qu'il puisse vers les Ambassades : il s'agissait du seul passage pour rejoindre les « siens ». Sarkass avait décidé de sacrifier la puissance bestiale du Yahg pour pouvoir arriver près de l'Ascenseur, et cet Ascenseur il y était pratiquement arrivé : on pouvait l'apercevoir plus très loin, ReGénésis étant à ses côtés et concentré sur la rive en face, là où se tenaient les troupes Turiennes. Tout était parfait pour qu'il puisse passer en douce avec ses compagnons sans subir de pertes. Profitant du vacarmes des balles et de la bataille, ils se rapprochaient rapidement vers l'Ascenseur quand un autre problème surgit de nulle part, enfin si : de l'Ascenseur. Une vingtaine d'hommes et 2 Mécas YMIR étaient arrivés au niveau de ce dernier et adoptaient une position défensive, toutefois ils semblaient inamicaux et les doutes de Sarkass se révélèrent vrais lorsque des fuyards de ReGénésis se heurtèrent à ce mur effroyablement meurtrier : les pauvres diables qui avaient opté pour la fuite se retrouvèrent criblés de balles normalement alliées, et ce n'était que le début de leur soucis : il fallait prévenir cette nouvelle menace à ses propres sympathisants.

    « ReGénésis ! Derrière vous ! Vos frères trahir vous ! Eux tuer leurs propres hommes, ceux qui voulaient arrêter tout ceci : vous devoir regarder cadavres ! Vous être les prochains si vous pas vous défendre ! Vous continuer de défendre pont, Turiens vouloir profiter de cette embuscade ! Mais vous aider à repousser ennemis dans Ascenseur ! Moi m'occuper d'eux ! Feu ! Nous aider vous ! »

    Si proches du but ! Les loyalistes de la Tour défendaient ardemment leur position, mais visiblement il n'y avait pas vraiment de couverts et ils se trouvaient acculés à l'Ascenseur : peut être serait-ce la clé de la victoire de Sarkass ? Toutes les troupes s'occupaient des nouveaux ennemis, les biotiques en lançant des ondes de choc et les autres en tirant en direction de l'Ascenseur : le soutien des troupes de ReGénésis allait être important et crucial, en plus d'apporter un soutien armé, il s'agissait d'autres cibles vivantes qui remplaceraient et donc atténueraient les pertes de la troupe de Sarkass. Cependant, on pouvait voir que l'Ascenseur remontait vers les étages supérieurs et cela ne disait rien qui aille : il fallait vite nettoyer les forces présentes pendant qu'elles étaient en infériorité : personne dans le Présidium pouvait prédire ce qui allait arriver encore lorsque l'Ascenseur aura fait son deuxième voyage …
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeSam 14 Juil 2012, 23:52




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
    « ...Le sort de la Citadelle en dépend ... »




    Presidium - Tour
    [Executor Pallin]

    L'Executor Pallin voyait petit à petit la situation s'empirer. Ce qu'il souhaitait le plus au monde à l'heure actuelle n'était plus sa propre survie mais celle de la Citadelle pour laquelle il a créé le groupe ReGenesis ainsi que fortifié le Présidium et ses accès par les Secteurs en un bastion afin de protéger l'ancienne Chambre du Conseil où se trouvait le panneau de commandes de contrôle de la station abandonnée par le consulat. Tout reposait maintenant sur ses propres troupes loyales, sa gestion de celles-ci et finalement sur la performance des Turiens de la Garde Noire concillienne. Même s'il n'aimait pas vraiment dépendre des autres, Pallin dut se résoudre à l'évidence : la Garde Noire était la clef de la victoire.
    Pour cela, il lui fallait absolument leur donner tout les moyens. Alors quand le Lieutenant le menaça si jamais il venait à le tromper, Pallin eût toute les peines du monde à s'empêcher d'éclater d'un fou rire qui fit sursauter un des membres de la Garde Prétorienne juste à côté de lui.


    "Lieutenant. Nous sommes liés par le même destin, nous avons besoin de notre aide mutuelle... Je vais vous ouvrir le passage avec mes soldats jusqu'à l'ascenseur. Faites attention, le commando ennemi est en train de passer la barricade et tente de prendre à revers mes hommes ! Avez-vous eu des échos de renforts chez vous ?"

    Pendant que le Lieutenant Vissal prenne le temps de répondre - car il était en plein combat il ne fallait pas oublier -, il leva une main vers un de ses subordonnés avec une inclinaison de la tête. Ce dernier transmit alors les ordres aux soldats défendant l'ascenseur de concentrer leurs tirs sur le pont afin d'aider les Turiens à progresser et d'éviter de se faire prendre dans un feu croisé avec les forces de ReGénésis chaotiques venant des Ambassades. Il se demanda aussi s'il ne devrait pas déverrouiller le brouilleur afin de contacter plus facilement le blocus concillien afin d'apporter de l'aide : cependant Pallin avait trop peur d'une réponse comportant destructions de l'anneau, car les hiérarchies préféraient toujours les solutions les lus simples. C'est toujours ce que leur avait reproché l'ancien Exécuteur a l'ancien Conseil.

    Le Lieutenant ainsi que ses supérieurs hiérarchiques avaient prévus de faire sauter l'anneau de la Citadelle en cas d'échec du contrôle du Panneau, faisant ainsi de désolidariser les cinq bras et empêchant ainsi tout fonctionnement de la Citadelle : c'était condamner des personnes à mourir, même si une bonne partie avait été évacuée. C'était rendre la Citadelle une station fantôme. Cependant il n'était pas à exclure le fait que des cellules autonomes aient été créées depuis la Grande Guerre à cause de la désorganisation qui en avait découlé, faisant ainsi survivre un bon nombre de personnes.

    Quoi qu'il en soit, ce scénario ne pouvait pas se produire. Pas tant qu'il serait encore en vie.



    Presidium - Cour
    [Pallik]

    Adossé au muret qui se trouvait derrière lui, il ne pouvait plus attendre que quelqu'un l'engage au combat par les autres côtés. Sa seule espérance était que des forces de Sarkass l'atteigne avant celles de RéGénésis, car même si celles-ci venaient petit à petit à se rallier au commando du Vorcha, c'était lui qui avait tué Captain, se faisant remarquer comme un Turien de la Garde Noire. Et là, seul son instinct de survie et sa chance pourrait le sauver...

    Et malheureusement pour lui, un groupe de ReGénésis était déjà arrivé des Ambassades et avaient ouvert le feu...



    [Tahna]

    Ils avaient tous été projetés de l'autre côté de la barricade de trois bons mètres de haut afin d'endiguer leur progression dans le Présidium grâce à la force du Yagh domestiqué. Le seul fait qu'il soit présent parmi eux n'était pas explicable du point de vue de Tahna. Le Yagh était toujours un grand mystère pour l'agent du Courtier de l'Ombre et il se promit d'en savoir davantage sur cette histoire grâce au réseau du Courtier.

    Le groupe de ReGenesis avait été séparé en deux entre ceux qui, toujours fidèles aux instructions de Pallin désiraient la mort du commando de Sarkass (représentant un gros tier du groupe original a la barricade) et ceux qui avaient décidé de venger la mort de Captain sur la Garde Noire (le restant). Autant dire qu'il ne fut que peu de temps avant qu'ils ne commencent à faire feu entre anciens camarades. La scène était terrible car ils étaient suffisamment proches pour certains avoir la possibilité d'engager du corps à corps avec des armes énergétiques d'Omnitech ou bien avec la force de leurs crosses ou poings.


    « ReGénésis ! Derrière vous ! Vos frères trahir vous ! Eux tuer leurs propres hommes, ceux qui voulaient arrêter tout ceci : vous devoir regarder cadavres ! Vous être les prochains si vous pas vous défendre ! Vous continuer de défendre pont, Turiens vouloir profiter de cette embuscade ! Mais vous aider à repousser ennemis dans Ascenseur ! Moi m'occuper d'eux ! Feu ! Nous aider vous ! »
    Evidemment, c'était ce qu'ils étaient déjà en train de faire entre eux, sans même se préoccuper des forces de Pallin a l'ascenseur. Certains à l'oreille fine entendirent le message et rompirent le combat a la barricade avant de se diriger vers la défense de l'ascenseur qui, prenant d'assaut dans le dos les forces de RéGénésis alors piégées sur le pont, faisaient un carnage parmi celles-ci. Les deux tiers des troupes avaient succombé sous les tirs des hommes aguerris et des roquettes des 2 YMIR de Pallin. La Garde Noire Turienne pourrait percer avec plus de facilité.

    Tahna ne savait plus trop sur qui tirer, qui viser en priorité. Car le commando devait passer dans la masse de soldats de RéGénésis qui s'entretuaient sans vraiment faire attention au commando de Sarkass. Tant mieux, ils passeraient alors plus simplement en contournant le feu directement sur les forces de Pallin.



    [MJ]

    Le groupe de RéGénésis venant des Ambassades et interpelé par ViperZ avait acquiescé et supportait donc la charge d'anéantir le brouilleur. Elles se dirigeaient donc en direction de l'ascenseur menant aux Secteurs, car c'était là la seule voie qu'ils connaissaient étant la plus rapide. Ils croiseraient les mécas activés de ViperZ sur le chemin de plus, augmentant leur moral de les savoir appuyés contre la menace. Ils ne réalisaient pas encore que Sarkass ne désirait que la destruction de la Citadelle...

    Le groupe de méca activé par le hackeur ViperZ constitué de quarante mécas LOKI peu résistants et de 3 YMIR sont dans les Lower Wards. Car c'était là que ReGenesis avaient entreposé leurs stocks de mécas en cas d'invasion. Et il était venu le temps pour eux de se rendre utile. Ils arrivent au niveau des Upper Wards...

    Tiri'a Shoeye, l'agent du Courtier de l'Ombre que Sarkass avait délibérément blessée et abandonnée en haut de l'ascenseur menant au Présidium, avait retrafiqué une mitrailleuse sur pied dans l'alcôve où elle avait été laissée et patientait en attendant un ennemi qu'elle considérait toujours comme ReGenesis...

    La force envoyée par le Primarque Artérius Vorasen, trois navettes remplies de soldats prêts à en découdre, cinq chasseurs léger d'escorte ainsi que trois bombardiers, sont en route vers le Présidium et sont à mi-chemin de ce dernier. L'impatience grandit, et pour le moment, aucun accrochage à signaler de la part de l'escorte...




    feat [MJ]IVIA.Sarkass.Courtier de l'Ombre.Titus Vissal.Jason Archer
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeDim 15 Juil 2012, 19:31
    Lieutenant Titus Vissal, Garde Noire – Présidium, Emporium


    Les membres de la Garde Noire se firent un plaisir de massacrer les renégats de Regenesis, qui n'obéissaient plus aux ordres de Pallin. Ces derniers ne savaient plus ou tirer, ils hésitaient entre se frotter à la Garde Noire, ou à se battre contre leurs anciens amis. La venue des deux Ymir, de Pallin, était une aubaine pour Titus et les autres Turiens, ils étaient terriblement efficace. Les corps tombaient de plus en plus rapidement, et dans très peu de temps, les Turiens pourraient prendre part au combat qui faisait rage au niveau de l'ascenseur. Certains Turiens quittèrent leurs positions pour aller prêter mains fortes au sergent. Titus était celui qui tirait le moins, il observait la situation avec un grand intérêt, dans le but de trouver le plus vite possible des solutions. Cela ne voulait pas dire qu'il n'était pas efficace, il avait mit à terre bon nombre de personnes depuis le début de la bataille. Il s'arrêta de tirer une nouvelle fois, et se mit à couvert derrière l'une des barrières qui protégeaient les Turiens, mais cette fois ci c'était pour répondre à Pallin, sa réponse s'était d'ailleurs fait attendre.

    //Votre foutu brouilleur nous empêche de contacter la flotte, j'ai autant de chances de rentrer en contact avec le Primarque, que d'avoir un rendez-vous avec le Conseil... Autrement dit je ne sais pas si la navette a réussi à réclamer des renforts. En tout cas on s'est déjà débarrassé du plus gros des troupes sur le pont ouest, ordonnez à vos Ymir de faire le ménage au niveau de l'ascenseur. Une fois qu'on se sera occupé du commando ennemi, la menace sera beaucoup moins importante. Prévenez aussi vos hommes que je prendrais le commandement temporairement, une fois que je les aurais rejoins ! Une dernière chose, si vous arrivez à bloquer l'ascenseur, nous bloquerons aussi le commando, si vous n'y arrivez pas, préparez vous à les recevoir...//

    Titus était conscient qu'il pouvait paraître autoritaire, mais c'était son rôle, il devait réussir sa mission coûte que coûte, il ne voulait pas être le premier membre de la Garde Noire à foirer une de ses missions. L'exécuteur Pallin était autrefois une personne influente, malheureusement ce n'était plus le cas, et peut être que le ton qu'avait employé le simple lieutenant n'allait pas lui plaire, mais ce n'était pas le problème de Titus. Il adressa tout de même un dernier mot à Pallin, avant de repartir au combat.

    //Dernière chose Pallin... Si on s'en sort je vous paie un verre sur Piétas !//

    Il avait tenté de dédramatiser la situation avec cette petite réplique, mais il le pensait réellement, si il s'en sortait ce serait probablement grâce à Pallin. Et puis de tout façon, le Conseil aurait probablement beaucoup de questions à poser à leur ancien exécuteur. Mais ce n'était pas le moment de se préoccuper de ce qui pourrait se passer après cette bataille. Titus se redressa et se mit de nouveau à canarder les quelques ennemis qui se trouvaient encore face à lui. Il n'y avait plus grand monde, la mitrailleuse avait fait pas mal de dégâts parmi les rangs ennemis, ainsi que le dernier lance roquette du groupe. Il fit signe aux deux turiens qui s'étaient portés volontaires pour le suivre de se tenir prêt. Ils avaient beau éliminé la plus grosse partie de leurs ennemis, il en restait encore quelques uns qui avaient réussis à survivre, seulement ils avaient très peu de chances de survivre, mitraillés entre la Garde Noire et les troupes loyalistes de Regenesis. Les trois soldats se mirent à recharger leurs armes, dans très peu de temps, ils se trouveraient à court de munitions, tout ce que Titus espérait, c'était que cette bataille s'achève avant qu'ils en soient là. Titus fut le premier à quitter sa position pour partir en tête, les deux autres suivirent de très près. Ils tirèrent quelques fois sur les derniers ennemis encore debout. Le lieutenant et ses turiens progressèrent très rapidement, Titus se permit même de regarder ou en était la situation à l'ascenseur lorsqu'il en eut l'occasion. C'était un carnage. A ce moment là, il aurait aimé dire qu'il n'avait jamais vu ça, mais ce n'était pas le cas du tout, il avait déjà connu bien pire, même si chaque bataille était toute différente. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils n'arrivent au niveau des ascenseur, et ils se rendraient vite compte si Pallin tiendrait toutes ses promesses.


    Sergent Venan, Garde Noire – Présidium, Emporium


    Le sergent Venan attendait avec impatience l'arrivée des forces de Regenesis qui tenteraient de passer par le pont, avec les autres turiens qui étaient là pour l'aider dans cette tâche. Les snipers parvenaient à réduire le nombre de ceux qui tenteraient une percer par le pont Est, bien que l'un d'entre eux continuait de guette le Turien qui avait assassiné le capitaine de Regenesis. C'était une question de fierté pour le sniper, il ne voulait pas lâcher sa cible, même si parfois il désengageait l'ennemi pour tirer sur d'autres ennemis situé non loin de là, il revenait toujours sur la position du Turien. Le sergent s'adressa aux autres soldats pour leur donner du courage.

    « Les gars, on va avoir du boulot, je sais que vous êtes épuisez, mais le lieutenant Vissal compte sur nous... Si ils arrivent à passer, ils prendront nos frères à revers, et il en est hors de question ! Nous sommes l'élite de l'armée Turienne, et nous allons leur montrer !! »

    A la fin de son discours, d'autres Turiens arrivèrent pour venir leur prêter mains fortes, il s'agissait des Turiens qui venaient d'aider Titus à repousser les ennemis venant de l'ascenseur de la Tour. Ils annoncèrent au sergent qu'ils auraient bientôt l'aide des autres Turiens qui continuaient à massacrer leurs ennemis. L'un d'eux annonça aussi au sergent que le lieutenant avait donner l'ordre de déplacer la tourelle afin qu'elle puisse lui servir. Cela avait rassurer le sergent Venan, même si cela serait dur d'attendre les renforts aussi longtemps, il savait qu'ils en seraient capable. Ils étaient en sécurité derrière leurs barrières, et ils les attendraient avec impatience. L'ancien pilote ainsi que son copilote, se préparèrent à déplacer la tourelle, et dès que Titus quitta sa position, ils se mirent au travail. Le soldat qui avait le lance roquette se dépêcha alors d'aller rejoindre le sergent, mais il n'avait plus de munitions. On lui donna alors une arme pour qu'il puisse aider à défendre leurs positions.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeLun 16 Juil 2012, 13:53

    ViperZ - SSC, Trafic Control

    Le pirate observait toujours le déroulement de la bataille de manière attentive grâce aux différents points de vue offerts par les caméras de sécurité de la Citadelle. Les troupes des Ambassades s'étaient séparées en deux groupes dont l'un se dirigeait vers la position supposée du brouilleur et l'autre sur les positions de la Garde Noire. C'était le deuxième groupe qui retenait principalement son attention. En effet, celui-ci devrait passer à découvert sur un pont pour réussir à atteindre les Turiens qui les auraient plombés depuis longtemps. Mais la vipère n'était pas sans ressources et avait un atout sous le coude: Taeron et son équipe.

    C'est ainsi qu'il ordonna à ses hommes grâce aux haut-parleurs des caméras proches:

    -Mettez-vous à couvert et attendez le signal les gars. L'aide arrive dans quelques minutes.

    -Ascenseur opérationnel, Administrateur.

    -Parfait...

    C'était le cas de le dire car l'ascenseur proche des troupes de RéGénésis à ses ordre s'ouvrit et John Falt et Taeron en sortit. Son plan se déroulait comme prévu et, comme il l'avait dit à Taeron, les Turiens se rassemblaient désormais de l'autre côté du pont, attendant d'en découdre. C'est ainsi que, comme convenu, le franc-tireur disparut dans les Ambassades à la recherche d'une position en hauteur et à l'écart du champ de vision des snipers ennemis.


    Il reporta son regards sur ses hommes toujours planqués à l'abri des Ambassades puis sur John Falt qui avait réussi à trouver un couvert bien à l'écart et attendait désormais les ordres du hacker avant d'abattre les snipers ennemis mis en joue par l'ex soldat de l'Alliance. Ensuite de quoi, il faudrait que Taeron créer un bouclier biotique et progresse peu à peu vers les positions turiennes avec un petit contingent de RéGénésis tout en étant couvert par les autres ainsi que par les tirs de John Falt qui devait, après les snipers, éliminer le servant de la tourelle en cours d'installation. Bientôt, les mécas arriveraient et se chargeraient d'attaquer l'ennemi à revers avec l'appui Le piège se mettait peu à peu en place pour le plus grand plaisir de l'humain qui concentra son attention sur le deuxième groupe qui sortait de l'ascenseur donnant sur le SSC et qui continuait son avancée vers l'Antre de Choras, un bar anciennement réputé d'où venait les émissions de brouillage. Voyant que tout se déroulait comme prévu, il changea de caméra et aperçut une femme au sol se tenant sur une tourelle active et un Ymir dans une alcôve... Sans attendre, il activa l'interphone et déclara à l'attention de celle-ci:

    -Vous là! De quel camp êtes-vous? Je peux vous apporter des soins si vous me dites d'abords le camp que vous soutenez.


    - Tes soins je te les fout où je pense. Je suis hors jeu désormais et confinée ici jusqu'à la fin de la Mission. J'suis dans l'camp de personne, sauf que je suis sous les ordres du Vortcha qu'on appelle Sarkass : qu'est ce que tu veux ?

    La réaction le surprit et c'est avec dureté qu'il reprit:

    -Ce que je veux? Simplement apporter des soins et le soutiens de ton méca et le tiens si tu le souhaites dans la bataille au Présidium. Je suis également avec Sarkass et je doute que rester dans cette alcôve serve à grand-chose pour l'aider vu qu'il n'y a personne derrière nous. Je peux te l'affirmer car, comme tu le vois, je contrôle les caméras. Alors je te le redemande: Veux-tu des soins et nous aider dans la prise de la Tour ou rester assise ici et être inutile?

    La femme restât silencieuse quelques secondes avant de lever la tête et de déclarer:

    - Putain, tu vois bien que je suis estropiée : je pourrais pas remarcher avant d'avoir fait un séjour à l'hôpital, et me parles pas d'inutilité, j'ai largement contribué à la vitesse de progression de notre Commando au Présidium. Je suis out, je pourrais plus aider, je vais rester au cas où ici à surveiller. Le Méca, je vous laisse le contrôle, il servira bien plus au Présidium : je peux me démerder toute seule ici. Ne m'oubliez pas quand tout ça sera fini.

    -Sage décision... J'enverrai un médecin te récupérer dès que possible après la bataille. Courage.

    Laissant la blessée à son tourment, il observa la progression des mécas tandis que celui l'estropiée entrait sous le commandement d'Aurora et se dirigeait vers le Présidium et les forces sous les ordres de ViperZ. Ceux-ci avaient finis par rejoindre l'ascenseur menant au SSC qui semblait bloqué ou endommagé vu la fumée qui sortait du panneau de commande et attendirent tandis que l'I.A déclara:

    -L'ascenseur est endommagé. J'entame les réparations des circuits. Temps estimé: 5 minutes

    -Bon travail Aurora. Amène les mécas au niveau du Présidium et fais ce que nous avons convenu ensemble une fois celui-ci réparé.

    -Entendu, administrateur.

    Les mécas se mirent en stand-by devant les portes de l'ascenseur tandis que les soldats patientaient également en haut de celui-ci pour accomplir leur mission d'une importance cruciale pour la suite des opérations du hacker. Celui-ci profita de ce temps de répit pour observer le combat d'Ascensus qui gagnait en ampleur et déclarer à l'attention de Sarkass:

    -Je vais tenter de faire diversion sur les Turiens afin de soulager la pression sur vous depuis les ambassades. Grouillez-vous d'éradiquer les gars de RéGénésis pour prendre les Turiens à revers et faire rejoindre nos force pour mener l'assaut final sur la Tour. Terminé!

    -Réparations effectuées, administrateur.

    -Parfait!

    Les mécas ne tardèrent pas à franchir le SSC avant de disparaître dans l'autre ascenseur en direction de ses forces prêtes au combat tandis que le deuxième groupe arrivait dans les Secteurs et continuaient sa progression vers le brouilleur. C'est avec lenteur que ViperZ déclara à l'attention d'un John Falt bien retranché par le biais d'une caméra proche:

    -Engagez.

    Taeron - Présidium, Ambassades

    Le Turien observait les lignes ennemies avec beaucoup d'intérêt depuis plusieurs minutes déjà, attendant les ordres du hacker pour engager le combat avec ses anciens frères d'arme. Il avait vu dès le premier coup d'oeil que les troupes en face n'étaient pas de simples soldats mais bien des gars de la Garde Noire, l'élite de son peuple. Malgré tout, le plan de ViperZ était bon et pouvait leur octroyer la victoire face à eux. John Falt avait disparu dans les Ambassades à la recherche d'un couvert tandis que Bulgar était arrivé peu après avec le reste de l'escouade. Ils transportaient des caisses de munitions ainsi que quelques armes dont deux lance-roquettes et deux tourelles récupérées dans les stocks du SSC et qu'ils assemblèrent en vitesse. La manoeuvre fût délicate mais couronnées de succès. Cela permettrait un tir de couverture durant toute l'opération à venir et ça, ce n'était pas à négliger vu la précarité de leur situation. Une fois les préparatifs terminée, tout le monde se mit en attente du fameux signal

    Cinq autres minutes passèrent dans le silence avant que, d'un coup, un tir de sniper retentisse dans l'air et ne frappe l'un des Turiens à la tête. C'était le signal et les tirs des tourelles automatiques emplirent l'air et furent bientôt suivies par la cacophonie des lance-roquettes, des explosions des missiles et des balles de RéGénésis tandis que Taeron formait une bulle biotique et commençait à avancer sur le pont suivit par les membres de son escouade et que les Mécas contrôlés par Aurora et arrivaient depuis l'ascenseur pour appuyer les hommes de RéGénésis qui reprirent du courage à leur entrée dans la bataille et se placèrent à couvert de leur côté du pont. Une roquette d'un Ymir fonçât droit sur la tourelle en train d'être assemblée par les Turiens sur leurs fortifications grâce aux calculs de l'I.A, soufflant les porteurs et endommageant gravement le blindage de la tourelle sans la détruire pour autant. Le combat avait commencé et dieu seul sait qui allait en sortir vainqueur...
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 18 Juil 2012, 20:23
PRESIDIUM...


    Gros bordel, massacre sans noms, Enfer ou tout simplement Champ de bataille : voilà ce qu'était devenu le Présidium, autrefois paisible et à l'écart de tout conflits il était désormais le théâtre d'évènements importants et cruciaux : l'Ascension d'un Gang ? Sa Destruction ? Anihilation de la Citadelle ou Résurrection ? Rien n'était joué encore et chaque camp avait ses chances de l'emporter. Mais Sarkass n'était pas de cet avis, pour lui il était clair qu'il allait réussir. Il avait fait tant de sacrifices et investi tant de forces qu'il ne supporterait pas rester sur un échec. Que ça soit la Hiérarchie, ReGénésis, l'Alliance ou même les Moissonneurs : rien ne l'arrêterait parce que seule la volonté comptait dans ce genre de situation.
    En tout cas, le seul obstacle à sa victoire était les troupes postées entre lui et l'Ascenseur et qui semblaient très hostiles. Le combat avait été engagé et les balles fusaient dans tous les sens, cependant à cause de leur nombre conséquent et au manque cruel de place au niveau de l'Ascenseur, Sarkass prit rapidement l'avantage bien que les troupes alliées de ReGénésis s'étaient fait trucider comme il fallait. Le couplage des forces biotiques et des armes meurtrières faisait son effet et le premier YMIR fut détruit entraînant comme tous ses semblables une explosion intense. Les YMIR étaient plus un handicap qu'autre chose dans cet espace confiné et l'explosion prenait toute son ampleur au grand bonheur de Sarkass. Cependant les pertes conséquentes côté ReGénésis inquiétait, le passage se libérait petit à petit et les Turiens allaient peut être tenter une percée bien qu'ils aient subis des pertes non négligeables ! C'est alors qu'arriva des forces inconnues mais qui semblait, au vue de la direction de leur tir, alliée. Un Turien était à leur tête et progressait vers la Garde Noire à revers : en plus d'offrir du répit, les nouveaux arrivants pouvaient être utiles et dégommer quelques Gardes, il ne faut pas cracher sur un peu d'aide !
    De plus, Sarkass avait réfléchi aux propos de la « Voix », il s'était proclamé être ViperZ, ce nom lui était pas inconnu bien qu'il ne s'y était jamais intéressé : il avait bien d'autres choses à faire que d'aller voir cet homme. Peut être était ce une erreur parce que la Vipère lui offrait une aide précieuse et utile qu'il n'oubliera pas : les personnes faisant preuves de loyauté étaient toujours récompensées pour Sarkass et peut être que cette épreuve réunira les deux hommes ? Qui sait ?
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 18 Juil 2012, 21:38




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
    « ...Le sort de la Citadelle en dépend ... »




    Presidium - Tour
    [Executor Pallin]

    Pallin, si en temps normal il n'était quelqu'un de très sociable et sympathique, s'autorisa un sourire ainsi qu'une pensée pleine d'espoir à la dernière phrase de la brève élocution du Lieutenant Vissal. Boire un verre avec un compagnon de bataille, ça ne lui était pas arrivé depuis une bonne dizaines d'années, voire davantage. Qui plus est de la Garde Noire... Ca sera l'occasion de renouer contact avec la civilisation concilienne. Au lieu de perdurer pendant presque 10 ans à tenter de sauvegarder la Citadelle des gangs et autres envahisseurs imprévus. Cela avait marché, jusqu'à aujourd'hui. Jamais un groupe ennemi n'avait réussi à pénétrer aussi loin dans leurs lignes.

    En même temps. Mêler les forces conciliennes avec un commando formé selon lui d'élites guerrières de différents gangs de la Citadelle aux forts moyens - l'attaque cybernétique, la prise de contrôle des mécas, la tentative de pénétration du panneau... -, ainsi que la faction milicienne qu'il avait formé sur pied pendant ces quatre dernières années au sein même du Présidium rendaient les choses plus compliquées, c'était certain.

    A la suite de la prise de parole radio du Turien, Pallin eût l'élan d'une idée. Avant cela, il jeta un oeil aux différents rapports écrits et audiovisuels fournis par les caméras et casques tactiques de ses soldats. Il se félicita d'ailleurs de les avoir équipés ainsi afin d'avoir un contrôle total du champ de bataille ainsi que des patrouilles et pouvait ainsi vite réagir en cas d'intrusion. Le résultat était mitigé : les forces Turiennes de la Garde Noire arrivaient vers l'ascenseur, cependant, le commando ennemi avait prit d'assaut ses troupes devant le même ascenseur et se faisaient réduire en pièces. Au jugé, les troupes Turiennes et de Sarkass étaient a la même distance. Ça serait une véritable course pour l'échafaud.
    Vérifiant alors que le second voyage pour emmener ses troupes n'était pas entamé, il ordonna qu'ils reviennent aux marches supérieures de l'ancienne Chambre du Conseil. le Lieutenant Vissal les avait prévenus : il faudrait peut-être s'attendre à les accueillir comme il se doit. Alors autant se barricader en bonne et due forme :


    "Ordonnez aux troupes de revenir et se de tenir aux positions. Sergent, je vous donne le commandement : organisez-moi une défense digne de se nom, et que ça saute."

    Après un signe de la tête bref ainsi qu'un acquiescement oral, il partit au trot pour rassembler les troupes. Soit au total : 1 YMIR, trente soldats, une tourelle automatique sur pied reliée au réseau annexe et en circuit fermé du panneau de Pallin. A côté de Pallin et du Panneau de Commande, dix guerriers formaient la "Garde Prétorienne" - d'anciens combattants commandos du Service de Sécurité de la Citadelle employés avant la Grande Guerre lors de nettoyages de gangs récalcitrants lorsque la situation l'exigeait. C'était tous des Turiens aguerris aux longues années d'expérience et de carrière au service des lois conciliennes. Ils étaient chauds comme la braise en entendant le combat faire rage en bas mais eux gardaient celui qu'ils appelaient Gold, leur chef et ami.

    Soudain, deux échos radars se firent signaler sur ses capteurs : le premier venait de l'intérieur des Secteurs. Des troupes allaient rentrer au contact avec les troupes de réserve a la garde du brouilleur de RéGénésis. Celui n'étant plus d'une grosse importance étant donné l'agissement du hackeur du commando ennemi qui selon lui a déjà du passer outre au travers de milles ruses dont il n'avait pas la connaissance mais seulement l'hypothèse. Il y avait là huit hommes pour maintenir le brouilleur en situation et le garder d'une attaque au besoin avec deux mitrailleuses manuelles sur pieds. Ils feront leur job.

    "Si jamais le brouilleur venait à être compromis, détruisez-le avec la procédure d'auto-destruction."

    Le deuxième écho était à l'extérieur du Présidium et de la Citadelle : le blocus avait envoyé une force de renfort pour les Turiens : sept navettes ainsi que huit chasseurs et trois bombardiers étaient en approche rapide et étaient tout prêt de rentrer dans l'espace du Présidium. Une très bonne nouvelle pour la Garde Noire ainsi que Pallin. Celui-ci s'empressa d'ailleurs de contacter Titus Vissal :


    "Lieutenant Vissal ! Vos hommes arrivent et en bon nombre ! Sept navettes, huit chasseurs et trois bombardiers arrivent nous prêter main forte, tenez bon ! Continuez avec votre groupe directement a l'ascenseur, il est presque arrivé. Je vous crée une fréquence spéciale pour entrer en contact radio avec eux sans encombre et renvoyez-les moi pour coordonner l'attaque si jamais le besoin s'en ressent."

    ... There is only war ...


    Presidium - Cour
    /// Infos - MJ ///

    Les forces des Ambassades parties dorénavant vers les Secteurs ont eu raison de Pallik sans qu'il n'ait pu réellement se défendre : identifié comme le tueur face à des soldats enragés d'une haine contre les Turiens, il ne put s'en sortir indemne.

    Les mécas LOKI et YMIR activés par ViperZ sont entrés dans le Présidium et contournent par les Ambassades à cause de la barricade - incassable - séparant l'accès direct à l'ascenseur.

    Tahna est aux côtés de Sarkass et continue de faire feu sur les forces de Pallin acculées a l'ascenseur sans autres ordres. Trois autres morts anonymes sont morts depuis leur entrée dans la baie du Présidium.

    Les troupes de RéGénésis engage l'ennemi a l'Antre de Choras pour neutraliser/détruire le brouilleur. La défense à pour ordre de détruire le brouilleur si jamais celui-ci son contrôle venait à être compromis.

    Le Yagh de Sarkass arrive au niveau du Pont et engage la défense de la Garde Noire au front Est de l'Emporium aux côtés des troupes renégates de ReGénésis.

    La défense Turienne attends les renforts prévus d'ici très peu et les mêmes renforts pourront être déposées à l'Emporium ou à la "Place" (position de Sarkass), ou aux Ambassades.

    Il n'y a plus aucun ennemi ou presque entre le groupe de la Garde Noire du Lieutenant Titus Vissal et l'ascenseur. Sarkass cependant doit encore éliminer une résistance composée de 13 hommes.



    FORCES DU COMMANDO DE SARKASS : 16 (20 -4 : -Pallik, -3)




    feat [MJ]IVIA.Sarkass.Courtier de l'Ombre.Titus Vissal.Jason Archer
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 19 Juil 2012, 15:27
    Titus Vissal, Ascenseur de la Tour


    Titus et les deux Turiens continuèrent d'avancer, jusqu'à ce qu'ils arrivent près de l'ascenseur, il continuait de tuer tout ceux qui se mettaient en travers de sa route. Il s'arrêta net lorsqu'il arriva à l'intersection, et il observa la scène qui se déroulait sous ses yeux. C'était une véritable boucherie, les forces de Pallin n'avaient eu aucun scrupule à éliminer leurs anciens camarades, et cela surprenait le lieutenant de la Garde Noir. Il fallait dire que c'était le genre de comportement que seul les soldats pouvaient avoir selon lui, il pensait qu'il fallait être entraîner pour éliminer de sang froid d'anciens amis. Cela ne voulait dire qu'une seule chose pour Titus, qu'il avait à faire à des guerriers bien entraînés, ce qui faisait les affaires du lieutenant. Titus se concentra tout de même sur l'objectif, il n'était pas très loin de l'ascenseur, mais visiblement le commando ennemi non plus. La position, que les troupes de Pallin défendaient, allait vite être intenable, ce qui compliquait la situation. Titus avait voulu défendre cette position pour empêcher l'ennemi de monter, mais maintenant il était persuadé que rien ne pourrait les empêcher d'atteindre la Tour. Il se tourna vers les deux Turiens qui l'accompagnaient.

    « On fonce, et on ne s'arrête pas... »

    Le lieutenant était persuadé d'une chose, qu'il devait atteindre la Tour avant l'ennemi, et il allait devoir avancer à découvert. Heureusement pour lui, les forces ennemies étaient bien trop occupés par les derniers hommes de Pallin, ce qui ne durerait probablement pas. Les trois Turiens s'élancèrent et foncèrent à toute vitesse vers l'ascenseur. Le combat faisait rage et un Ymir venait de tomber face à l'ennemi, et Titus et ses hommes venaient de se faire repérer. Ils échangèrent quelques coups de feu, lorsqu'ils arrivèrent enfin près de l'ascenseur. Seulement à ce moment là, l'un des Turiens fut touché et tomba au sol, le tir n'était pas pour lui à l'origine, mais pour Titus, et ce dernier le savait pertinemment, il venait d'être sauvé par l'un de ses subalternes. Le Turien était blessé, mais il vivait encore, cela se voyait et s'entendait, le soldat criait et respirait fortement. Titus tenta de le tirer sur quelques mètres pour l'amener jusqu'à l'ascenseur, pendant que l'autre soldat continuait de tirer sur les ennemis. Le lieutenant fut obligé de le lâcher lorsqu'il sentit que les tirs ennemis se faisaient de plus en plus proche, il prit la décision plus que difficile d'abandonner le soldat. Il fut suivi par l'autre soldat Turien, visiblement très mécontent de la décision du lieutenant. Les deux Turiens passèrent devant les troupes de Pallin, Titus leur ordonna de continuer le combat, et ils se réfugièrent ensuite dans l'ascenseur. Il appuya sur le bouton de l'ascenseur afin que les portes se ferment et qu'ils puissent enfin monter.

    // Pour une bonne nouvelle, c'est une sacré bonne nouvelle !! Nous sommes en train de monter avec l'ascenseur, évitez de nous transpercer la peau... Je prends contact avec les renforts...//

    Titus n'avait pas une vue sur tout les combats, depuis l'ascenseur, il ne pouvait voir que ce qui se passait à l'ouest du Présidium, et il n'avait donc aucune idée de ce qui se passait du côté du groupe du sergent Venan. C'est pour cela qu'il prit la décision de le contacter, via la fréquence que Pallin venait de lui créer.

    // Sergent Venan... Quelle est la situation de votre côté ?//

    La réponse du sergent se faisait attendre, beaucoup trop au goût de Titus, néanmoins elle arriva tout de même au bout d'un moment, et elle fut courte et assez précise pour donner une idée au lieutenant de la situation de leur côté.

    // Merdique... Les ennemis arrivent en nombre par le pont... //

    Ce fut une nouvelle fois un long silence qui s'installa dans l'ascenseur, Titus n'avait eu que cette réponse, c'était une preuve que les combats faisaient rage au niveau de la position du sergent. Mais la situation était sur le point de s'arranger il en était sûr. Il décida alors de prendre contact avec les bombardiers, ainsi que les navettes. Les Turiens devaient prendre le contrôle du pont, et garder la position du sergent Venan, autrement dit, ils devaient anéantir l'ennemi d'en face.

    // Bombardiers, veuillez soulager nos hommes qui se trouvent à l'Emporium, nous devons prendre le contrôle du pont. Je veux aussi que quatre navettes atterrissent à l'Emporium, pour aider le groupe du sergent Venan. Les trois autres prendront l'ennemi à revers, en se posant aux ambassades. L'espace pour l'atterrissage n'est pas assez grand pour plusieurs navettes, alors le temps que les premières navettes atterrissent, les autres restent à bonnes distances des troupes aux sols, on ne sait jamais. Une dernière chose, une fois que les bombardiers auront fait un premier passage, l'un de vous viendra nettoyer l'accès à l'ascenseur, on a de la vermine qui tente de monter... //

    La porte de l'ascenseur s'ouvrit, et Titus vit les hommes de Pallin tenir leurs positions, mais cela ne l'effraya pas, après tout c'était qui leur avait demander de se tenir prêt. Les deux Turiens sortirent de l'ascenseur, le subalterne de Titus était furieux, il venait de perdre l'un de ses meilleurs amis, et il comptait bien le venger, et même si il en voulait à son supérieur d'avoir décidé de l'abandonner, il préférait reporter sa colère sur ses ennemis.


    Sergent Venan, Emporium


    La situation devenait critique pour le sergent et ses hommes, un Yagh venait de passer le pont avec une partie des troupes de Regenesis. Tout les Turiens présent tirèrent sur le Yagh, sauf les deux snipers, à la recherche de celui qui avait tué leur collègue, ainsi que le pilote et le copilote de l'ancienne navette, qui s'occupait de la tourelle. Le Yagh se montra très difficile à abattre, mais les Turiens avaient concentrés leurs tirs sur lui dès qu'ils en eurent l'occasion. Le pilote en charge de déplacer la tourelle fut abattu alors qu'il touchait au but, ce qui permit néanmoins aux snipers de repérer à peu près la position de l'ennemi qui s'amusait à abattre les Turiens de loin, sans pour autant réussir à le neutraliser, mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne tombe.

    Ce fut d'ailleurs à ce moment là que le sergent reçu un message du lieutenant Vissal, mais il n'eut pas vraiment le temps d'y répondre, préférant abattre les ennemis qui arrivaient en nombre. Au bout d'un moment il envoya un petit message pour lui expliquer la situation. Entre temps, le copilote et le pilote se dépêchait d'en finir avec la tourelle, lorsqu'ils eurent fini, la tourelle fut touché par un tir de roquette, qui tua les deux Turiens sur le coup. Cependant la tourelle était encore utilisable, même si elle avait subi de lourds dégâts. Un soldat se précipita pour utiliser la tourelle, afin d'éliminer le plus d'ennemis que possible, avant que la tourelle ne soit détruite pour de bon.

    Le combat était sur le point de s'achever, lorsque les renforts arrivèrent, les bombardiers furent les premiers à entrer en action, s'occupant de toutes les troupes qui traversaient le pont. Une fois les bombes lâchées, l'un des bombardiers quitta la formation pour se diriger vers l'ascenseur, les deux autres se dirigèrent vers les mécas situés aux ambassades. Ils furent suivi de très près par une navette qui se posa juste derrière le groupe du sergent. Les soldats Turiens en sortirent, prêt à en découdre, ils arrivèrent au niveau du sergent, et prirent position derrière les barricades. L'un des arrivant posa une tourelle automatique, tandis que les autres canardaient les ennemis avec tout ce qu'ils avaient, grenades, fusil d'assaut, et un lance roquette. La navette décolla, et lorsque le sergent tourna la tête, il put apercevoir une autre navette qui arrivait. L'espace d'un instant, il avait cru que les seuls renforts dont il disposait allait être sept Turiens, mais il se réjouit que d'autres navettes arrivèrent. Le déploiement des renforts allait prendre du temps, mais le sergent était convaincu qu'ils arriveraient à tenir les ennemis à distance, le temps que la dernière navette dépose le dernier soldat.

    De l'autre côté, une navette venait de déposer des troupes aux ambassades, l'objectif était clair, ils voulaient neutraliser les ennemis avant qu'ils ne puissent traverser le pont. Un Turien déposa une tourelle automatique, afin de leur permettre de prendre position. Les autres Turiens canardèrent les autres ennemis, la petite troupe était similaire au groupe qui venait de se poser à l'Emporium. La navette qui les avait déposait décolla de nouveau, laissant la place pour une autre navette. La bataille venait de prendre un nouveau tournant, et pour les Turiens nulles doutes que la victoire était à portée de main.


Dernière édition par Titus Vissal le Ven 20 Juil 2012, 14:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 19 Juil 2012, 22:09
    ViperZ- SSC, Trafic Control

    Les troupes envoyées au brouilleur entamèrent le combat face aux forces en présence sur place mais un imprévu attirât l'attention du hacker sur le Présidium. En effet, des bombardiers suivit de navettes entrèrent dans celui-ci. Ils pilonnèrent la pont, faisant disparaître le groupe de mercenaires rencontré plus tôt avant que l'un d'eux ne bifurque vers l'ascenseur de la Tour tandis que les deux autres poursuivaient vers les hommes et mécas sous ses ordres. Heureusement, l'intervention d'Aurora permit d'en abattre un sous une salve de missiles des quatre Ymirs avant qu'il ne largue ses bombes. La chance semblait leur sourire car le bombardier en difficulté s'écrasât avec fracas dans l'entrée des ambassades, fauchant cinq mécas Loki et un malheureux mais formant un barrière entre ses hommes et les Turiens en train d'être débarqué à cet endroit. Le deuxième larguât ses bombes et anéantit cinq autres mécas , un Ymir et deux hommes dans les flammes de l'explosion avant de partir sous peine d'être descendu également. Ensuite de quoi, les mécas Loki ouvrirent le feu face aux troupes hostiles en question, couverts par la carcasse du bombardier obstruant le passage tandis que les Ymirs se transformaient en véritables DCA mobiles sous les directives de l'I.A alors que les soldats de RéGénésis continuaient de tirer face aux Turiens de l'autre côté du pont qui recevaient également des renforts. Un missile d'Ymir percuta l'une des navettes en question qui s'écrasa avec fracas, remontant le moral des hommes qui lancèrent des hourra en la voyant tomber. Celle-ci tombât dans l'eau, devenant la tombe de ses occupant à tout jamais devant les yeux des survivants de la Garde Noire.

    -Prenez ça dans vos sales faces de lézards! Fils de putes à la con va!, cria le hackeur en souriant.

    Il était en effet ravi face à la réactivité avec laquelle avait réagit l'I.A avant que la situation ne devienne critique mais il déplorait la perte des mercenaires de Taeron qui étaient un atout de valeur pour la suite. Toutefois, il ne pût se résoudre à leur mort car il n'y avait pas de corps sur le pont bien amoché mais seulement une flaque de sang. Dans les deux cas, il fallait compter sans eux pour l'instant et c'est ainsi qu'il reportât son regards vers les combats qui se terminaient peu à peu dans l'antre de Choras. Bientôt, il aurait le brouilleur pour lui et pourrait l'utiliser pour retourner la situation à son avantage...

    Les combats s'achevèrent avec trois morts du côté de ses troupes tandis que les deux blessés étaient soignés par un gars qui semblait s'y connaître un peu en médecine. Un mouvement attira toutefois l'attention du hacker qui remarqua un type accoudé à la console du brouilleur pianoter dessus. Sans attendre, il cria dans à l'attention de ses gars:

    -Y a un type sur la console de l'engin! Tuez-moi ça avant qu'il ne fasse une connerie!

    Les hommes s'exécutèrent et il mourût d'une balle dans la tête. Et une ordure de moins! Une! Le hacker activa ensuite son OmniTech avant de déclarer avec calme:

    -Qui s'y connait un peu en informatique parmi vous?

    Comme par hasard, ce fût un Butarien qui sortit du groupe. ViperZ détestait cette race qui ressemblait à des mutants d'un vieux film de série B qu'il avait regardé peu de temps avant que ne commence cette merde. Mais bon, il fallait faire avec et c'est ainsi qu'il lui demanda d'activer son OmniTech tandis qu'il lui transférait divers programmes fait main lui permettant de passer les sécurités que leur ancien leader aurait eu la bonne idée de placer. Il ne comptait pas trop sur l'esprit d'initiative de cet individu qui semblait être un véritable crétin congénital et lui envoya donc des programmes qui exécuteraient la tâche sans qu'il n'ai à faire quelque chose dans la manoeuvre. La manoeuvre en question dura plusieurs longues et pénibles minutes durant lesquelles il expliquât avec son tact légendaire les opérations à faire et c'est avec un grand cri de victoire qu'il prit enfin le contrôle du brouilleur qu'il calibra de telle manière à ce qu'il brouille les fréquences autres que celle des forces de Sarkass. Il dût bidouiller un peu avec l'aide du casque sortit de son sac à dos mais trouva finalement celle du Vortcha et déclara:

    -On dirait que j'ai rétablis les comms tout en brouillant les fréquences des troupes hostiles. Profitez-en pour me dire la situation de votre côté car j'suis un peu occupé avec les lézards de la Hiérarchie en ce moment pour vous sauvez les fesses une fois de plus...

    Taeron Praktus - Localisation impossible

    Le vieux soldat nageait désormais dans l'eau des bassins alors que le combat faisait rage au-dessus d'eux et que Sidon soutenait son frère gravement brûlé par le passage des bombardiers. Tous s'était passé très vite. En effet, c'est grâce à la vivacité de Bulgar qu'ils réussirent à échapper aux bombes turiennes en sautant dans les bassins en bas, masqués par les explosions sur leur ancienne position. Hélas, avait été touché et tout son dos était brûlé, l'armure fracassée fondait avant de se solidifier dans les plaies du Turien inconscient désormais. C'était pas beau à voir et les chances de survie étaient faibles avec ce genre de blessures. Pauvre Sidon... Il risquait de perdre sa seule raison de vivre à cause d'une folie du vieux cabaliste...

    Ils ne tardèrent pas à trouver une rive dégagée où ils débarrassèrent le blessé de son armure tandis que son frère examinait l'ampleur du carnage.

    -C'est vraiment moche, ne pût s'empêcher de dire Bulgar.

    -Ouais... Ca va comme tu veux Sidon? Tu tiens le coup?

    Le jeune médecin se frotta le front.

    -O..Oui... Je vais le soigner vous inquiétez pas.

    Taeron détourna le regards de la scène. Pauvre petit... J'espère qu'il s'en remettra... La culpabilité laissa peu à peu place à un sentiment de vengeance qui brûlait au fond du vieux soldat qui déclara:

    -On va s'occuper de ces salopards Sidon.. Crois-moi... Bulgar? T'es prêt à leur foutre une véritable raclée?

    Une navette en flammes tombât dans le bassin à cet instant comme pour appuyer ses dires...

    L'énorme colosse grogna en signe d'assentiment et ils partirent à la nage, bien déterminés à venger leur camarade agonisant...

    John Falt- - Ambassades, hauteurs

    Le sniper était bouleversé par la perte de ses amis dans la fournaise causé par les bombardiers. Une unique larme coulait le long de sa joue tandis qu'il changeait de position alors que les Turiens le traquaient sans relâche. Il en avait vu des camarades tomber dans sa carrière mais il n'arrivait pas à croire que ces vétérans soient morts d'un coup, en une fraction de secondes et devant ces yeux. Il ferma quelques instants ceux-ci et fit le vide dans sa tête, à couvert derrière un mur. Il fallait qu'il se ressaisisse afin d'honorer leur mémoire en sortant de ce merdier auquel ils ont été mêlé et ont péri...

    Il lui fallût encore quelques minutes avant qu'il ne sorte et ne pointe un deuxième sniper. Son rythme cardiaque ralentit alors que la tête du Turien entrait dans son viseur. Il allait les venger maintenant...

    -Va en enfers...

    Le tir partit et la tête du soldat explosa littéralement, aspergeant son collègue de cervelles et de sang tandis que le sniper humain changeait encore de position..
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeLun 23 Juil 2012, 13:39
PRESIDIUM
AU COEUR DE L'ENFER...


PALLIK, PEU AVANT LES BOMBARDEMENTS.


    Le Turien était dans une situation délicate et précaire. Il était seul contre tous et cela à cause de son initiative fructueuse et plein de succès. Mais plus la victoire est grande, plus les conséquences sont lourdes : ReGénésis et la Garde Noire étaient à ses trousses et Sarkass ne pouvait pas l'aider sous peine de détruire toute la crédibilité de son geste. Il avait su résister en restant à couvert mais désormais les forces ennemies progressaient à grands pas vers sa position : ils étaient emplis de haine envers l'assassin de leur chef et cela était tout à fait compréhensible. Même en étant dans le camp adverse, Pallik ne pouvait nier la force de caractère et la capacité admirable de Captain à commander. Mais il avait tuer sa partenaire et sa potentielle épouse : ils partageaient les mêmes sentiments sans les avoir dévoilés avant, mais il était trop tard et elle s'était sacrifiée pour lui. C'était à son tour de se sacrifier pour la cause, celle de défendre la Citadelle, celle d'empêcher les Conciliens de s'en emparer illégitimement puisqu'en réalité, elle ne leur appartenait plus. Bien qu'empli de remords, de regrets et d'amertume, c'est avec fierté et honneur que Pallik ouvre les bras à la Mort qui l'attendait depuis si longtemps... Il avait semé la mort depuis qu'il était rentré dans les rangs de son gang, c'était son boulot et c'était ce pour quoi il était le meilleur, le juste retour des choses était de mourir par les balles de ses victimes. Les bruits de pas s'intensifiaient, il pouvait entendre des cris d'Hommes, « Il est là ! », « Préparez vous à l'buter ! », tous désiraient en découdre avec l'insaisissable Pallik. Sursaut de fierté ou d'orgueil ou envie de préserver son titre honorifique ? Pallik savait ce qu'il fallait faire désormais, personne en ce monde allait tuer Pallik : il sortit son pistolet de façon solennelle qu'il pointa sur sa tempe. Il avait eu une bonne vie, pleine d'évènements marquants, forts et indélibiles, il pensa une dernière fois à sa partenaire et à la dernière personne qui lui avait permis de vivre ces moments importants au Présidium : le Vortcha Sarkass. Il espérait intimement qu'il allait réussir et il en était d'ailleurs persuadé, le Vortcha ira sûrement loin, il avait déjà la volonté de réussir et se sortir de ce merdier, mais dorénavant : il n'avait plus aucune pitié, il va être incontrôlable et infernal pour ses ennemis.
    Ils étaient prévenus.
    C'est avec cette dernière pensée que le Turien appuya sur la détente : la dernière victime de sa longue carrière était lui-même, ironie du sort ?


    SARKASS


    La situation était intenable mais pas désespérée, après la fusillade contre les forces de Pallin, Sarkass avait eu quelques pertes : Deux de ses frères et le dernier Quarien avaient péris sous les balles ennemies. Cependant, les troupes adverses avaient subis de plus lourdes pertes grâce à la configuration du terrain et à l'explosion des YMIR : ici, ils causaient plus de problèmes qu'autre chose et c'était tant mieux. Chose par contre bien plus inquiétante, un trio de Turien de la Garde noire avait foncé vers l'Ascenseur et étant sorti de nulle part, avait surpris le commando de Sarkass. Le Vortcha avait voulu viser leur chef présumé, celui qui avait tenté de négocier avec Captain mais c'était un de ses subalternes qui s'était sacrifié : Putain de Turien avec leur sens de l'honneur prononcé allant même jusqu'au sacrifice ! Ils étaient une véritable plaie pour le chef Vortcha et ils allaient encore causé problèmes, il en était certain et la source des problèmes allait provenir de ce Chef Turien...
    Une seconde course à la montre avait été lancé depuis le départ du Turien à l'Ascenseur, il fallait le stopper quand soudain … La Présidium se faisait bombardé.
    Les Turiens avaient décidé de sortir l'artillerie lourde et pillonaient le Présidium, prenant des risques considérables : le Présidium n'était pas très grand et les Bombardements pouvaient causer des dommages collatéraux importants voir toucher leur propre force ! Toutefois, de nombreuses pertes alliées étaient à déplorer pour les forces de Sarkass et en particulier le nouvel arrivage qui devait prendre en étau les dernières forces Turiennes. Sarkass pouvait aussi voir que le Yahg faisait des merveilles dans les rangs Turiens mais il n'était pas ici pour faire mumuse avec la Garde Noire, non il devait être juste de passage...


    LE YAHG


    Le Yahg s'amusait à décapiter les Turiens qui s'avéraient être des ennemis honorables, ils avaient concentré leurs tirs sur la « Bête » sans être toutefois très efficace, le blindage naturel de son espèce était efficace contre les balles mais elles l'affectaient tout de même : il ne fallait pas qu'il reste trop longtemps dans ce merdier. Le Bombardement était le moment idéal, dès les premiers impacts d'obus, toute l'attention était pointée sur les bombardements et le Yahg en profita pour se ruer sur le pont désormais désert : ces compagnons étaient en danger et il fallait qu'ils avancent pourtant. Le Yahg ne voulait pas mourir ici mais il ne voulait pas être inutile, si son sacrifice était nécessaire voir indispensable, il le ferait s'il était utile. Ici, il l'était. Il restait certes peu de troupes à l'Ascenseur mais elles restaient bien en position pour retarder le plus longtemps possible la progression de Sarkass. Il allait s'élancer de nouveau dans la bataille quand quelqu'un d'autre eut la même idée : celle de se sacrifier pour la bonne cause...

    LIDIA, ASARI DE LA " LARME "


    Lidia -une des Asari biotique- s'était fait discrète tout le long de la Mission et bien que sa chef lui demande d'aider le Vortcha rebelle, elle ne lui avait pourtant jamais fait confiance puisqu'après tout : il ne s'agissait que d'un Vortcha ! Elle avait donc suivi ses ordres avec retenue avant de voir l'effroyable efficacité de son commandement, au fur et à mesure qu'ils progressaient dans les entrailles du Présidium, Sarkass montait petit à petit dans l'estime de la femme bleue qui commençait à lui faire confiance. Elle se rendait compte qu'il avait la détermination et la lucidité pour mener à bien cette Mission. Elle avait perdu déjà une de ses soeurs qu'elle appréciait particulièrement, elles n'étaient plus que deux à représenter la Larme au sein du Commando mais la situation actuelle allait faire qu'il n'allait en rester plus qu'une. La volonté de bien faire de Sarkass l'avait motivé et persuadé de devoir tout faire pour achever la mission et la couronnée de succès, quelqu'en soit le prix. Plusieurs hommes ou femmes avaient déjà fait ce sacrifice et il fallait honorer ces derniers, qu'en serait il si elle ne faisait pas de même ? Elle savait qu'elle pouvait débloquer la situation, elle savait qu'elle pouvait servir, être utile pour Sarkass, elle savait qu'il fallait qu'il réussisse, pour dévoiler au grand jour les machinations conciliennes : elle savait qu'il fallait qu'il vive. Elle respira un grand coup et jeta un oeil complice à son ainée Asari qui avait directement compris le message, d'un geste de la tête, l'aînée montrait son approbation.

    « Que la Déesse t'accueille à bras ouvert Lidia... »

    Lidia était arrivée au point de non-retour, il fallait agir : elle se lança par le biais d'une charge biotique dans la mélée avant d'imploser, libérant une force biotique incommensurable au prix de sa vie. L'explosion bleue était aussi resplendissante que meurtrière et le reste des troupes de Pallin avaient été annihilées. La voie était enfin libre.
    Le sacrifice de l'Asari n'était pas vain, loin de là.


    SARKASS


    Le Vortcha avait assisté, impuissant au sacrifice de la Biotique. Il n'avait jamais eu à lui reprocher quelque chose parce qu'elle faisait son job sans problèmes. Il s'était rendu compte qu'elle était réticente depuis le début de l'aventure donc son sacrifice étonna encore plus le Vortcha. Il était heureux d'avoir sous son commandement des hommes ou des femmes aussi impliquées, aussi investies dans la Mission que cela lui remonta le moral. Il n'était pas seul dans cette galère et il pouvait compter sur son Commando. En parlant de Commando, une des pièces maitresses avait refait son apparition au grand bonheur de Sarkass, le Yahg avait su revenir dans la partie en traversant le pont mais il semblait déçu, plutôt frustré en fait.

    « Il y'a problèmes Yahg ? », disait le Vortcha en espérant une réponse de sa part.

    Le Yahg le regardait fixement avant de se diriger vers l'Ascenseur et il avait raison : il ne fallait pas perdre plus de temps, temps fourni par le sacrifice de l'Asari. Avant de pénétrer dans l'Ascenseur, Sarkass reçut un appel, étonnant puisque le brouilleur était …

    -On dirait que j'ai rétabli les comms tout en brouillant les fréquences des troupes hostiles. Profitez-en pour me dire la situation de votre côté car j'suis un peu occupé avec les lézards de la Hiérarchie en ce moment pour vous sauver les fesses une fois de plus...

    Une bonne nouvelle, le brouilleur était enfin maîtrisé et les communications rétablies.

    « Nous rentrer dans Ascenseur pour aller Chambre du Conseil, moi avoir besoin d'infos sur forces en haut, voici dernièr tableau de la Mission, si nous arriver à atteindre Panneau : cauchemar être enfin fini. Bonne chance ViperZ, moi retrouver vous pour extraction ensuite. Sarkass terminé. »

    Le Vortcha devait se rassurer et se plaça sur la fréquence de son Pilote...

    « Week, toi être encore vivant ? »

    Le silence durait...

    « Ouais, Week jamais mourir, moi vous l'avoir dit non ? Désolé pour Bombardement, moi pas pouvoir vous contacter, Week reste en stand by près de votre position, j'active mes systèmes de camouflage pour ne pas avoir d'ennuis, bonne chance Boss, on vous fait tous confiance. Week terminé. »

    Son chauffeur avait donc survécu, tant mieux. Il pouvait rentrer dans l'Ascenseur la conscience tranquille.
    L'objectif était à portée de main, le Panneau de Commande, qui avait causé tant de morts aujourd'hui... Il était pour Sarkass, c'était sa destinée.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeLun 23 Juil 2012, 23:14




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
    « ...Le Dénouement est proche... »




    Presidium - Tour
    [Executor Pallin]

    Le dénouement était proche. Trop proche pour Pallin. S'il voyait la situation s'empirer au fur et a mesure que le commando avait anéanti ses avant-dernières défenses : autrement dit celles qui étaient en poste devant la porte de l'ascenseur. Il avait observé le sacrifice de l'Asari biotique de près, réduisant en poussière biotique près d'une dizaine d'hommes au péril de sa vie. En la sacrifiant même. Déjà, il y avait un point positif : le Lieutenant Vissal, Lieutenant de la Garde Noire de la Hiérarchie Turienne, avait réussi a traverser l'enfer jusqu'à lui. L'autre point positif était l'arrivée des renforts Turiens malgré qu'ils soient quelque peu malmené par une résistance acharnée à cause de ce que Pallin avait identifié comme un hackeur à cause des mécas.

    On l'avait averti que l'ascenseur montait avec à son bord de Lieutenant Vissal. Mais il avait un problème plus urgent à traiter : le brouilleur avait été capturé par l'ennemi. Malgré ses ordres d'auto-destruction, des troupes de RéGénésis - il y a a peine une demi-heure SES hommes, avait tué ses propres ex-coéquipiers afin de revendiquer un brouilleur qui depuis lors les protégeaient. Pallin eût ses soupçons confirmés à propos du hackeur lorsqu'il vit le brouilleur sur ses écrans brouiller ses propres communications. Heureusement pour lui, ses ordres avaient été effectués à moitié : le dispositif a distance d'autodestruction avait été activé mais pas son enclenchement. Pallin n'eût plus qu'à actionner la manœuvre depuis son poste de contrôle.

    Une bonne chose de faite. Au moins, toute communication était possible. Ennemies... Comme amies.

    Juste après cela, l'ascenseur s'était ouvert au niveau de la Tour, ses deux occupants en sortant. Le Lieutenant, apparemment fatigué mais déterminé accompagné d'un subalterne à l'apparence furibonde, colérique et désemparée. Les forces de Pallin en poste à couvert face aux portes de l'ascenseur soupirèrent face à enfin des visages amicaux. Des forces conciliennes en plus. Forces que RéGénésis s'étaient évertuées à respecter malgré l'insubordination due à la mort de Belaar Captain. Titus fut alors conduit avec un Garde Prétorien jusqu'à Pallin au poste de contrôle annexé au Panneau de Commande de la Citadelle. Pallin était entouré de six écrans répartis en deux lignes de trois écrans agrémenté d'une interface haptique de contrôle afin de pouvoir donner ordres et de circuler sur les réseaux informatiques. Il tourna la tête vers le Lieutenant quand celui-ci arriva à sa portée :


    "Lieutenant, c'est un véritable plaisir de vous voir sain et sauf ! Regardez vos renforts arriver. Elles sont un peu malmenées mais elles tiennent bon. Je vais vous créer une fréquence pour coordonner l'attaque avec eux depuis ces... trois écrans.", Pallin bougea grâce à l'interface haptique trois écrans holographique sur sa gauche afin que Titus puisse lui seul observer le champ de bataille comme bon lui semblait ainsi que donner des ordres directement transmis puisque le brouilleur avait été détruit.

    "D'ailleurs Lieutenant... Si votre subordonné veut se préparer, je crois que justement le commando ennemi va bientôt rentrer dans l'ascenseur. Sauf si vous arrivez à ordonner un bombardement à l'entrée de celui-ci. C'est à vous de voir.".

    Pendant ce temps, Pallin continuait de traquer ce hackeur. Mais puisque le brouilleur était mort, il pouvait dès à présent passer par le réseau contaminé des mécas pour remonter jusqu'à lui. Non pas pour le traquer physiquement. Juste... lui parler. Ce qu'il fit assez aisément vu le puissant signal qu'il émettait afin de contrôler les mécas encore debout pour combattre les forces Turiennes. Dès qu'il eût une fréquence, il porta micro à sa bouche :

    "Monsieur le malin. Je ne sais pas qui vous êtes ni pourquoi vous faites ça, mais vous êtes soit un idiot soit un ignorant. Votre tentative va détruire la Citadelle - et vous avec accessoirement - ou alors la laisser aux mains de pègres qui vont la détourner sur la Terre. Dans un cas comme de l'autre : vous allez mourir. Le blocus qui entoure la Citadelle bloquera quiconque voudra sortir du périmètre de la station. Vous comme moi sommes cernés. Je vous conseille de tout arrêter de suite, ainsi que le carnage que vous avez provoqué en retournant mes hommes contre moi-même et les forces conciliennes."


    Presidium - Cour
    /// Infos - MJ ///

    Les mécas LOKI et YMIR activés par ViperZ sont au niveau des ambassades. Les LOKI sont coincés derrière la carcasse du bombardier crashé formant une barricade de fortune entre les troupes Turiennes en train d'être débarquées devant les Ambassades. Malgré un YMIR détruit, il reste trois YMIR transformés en DCA par l'IA Aurora de ViperZ qui tente sans relâche d'abattre les navettes Turiennes ainsi que les bombardiers. Attention - les roquettes ne sont pas illimitées et il faut bien choisir ses cibles.

    La navette Turienne touchée a atterri dans l'eau. Seuls deux Turiens ont réussi à s'extraire difficilement. Fatigués mais déterminés, ils ne peuvent reprendre pied à terre que dessous l'Emporium ou dessous les Ambassades sachant que ces dernières contiennent des forces de RéGénésis tirant sur les forces Turiennes situées à l'Emporium.

    Il n'y a plus personne sur le pont - c'est un véritable no man's land.

    Malgré le feu ennemi provenant des Ambassades, les Turiens se défendent tant bien que mal contre un Yagh dévastateur. La confusion des bombardements ont permi à ce dernier de passer outre les défenses Turiennes pour rejoindre Sarkass à l'Ascenseur. Attention - le Yagh est blessé et ne survivra pas forcément à un prochain assaut frontal. Les Turiens peuvent reporter leur attention sur les troupes situées aux Ambassades.

    Sarkass est toujours épaulé de Tahna. Le commando en général voit son moral augmenter mais aussi un stress grandissant suite à leur ascension de plus de plus proche du Panneau de Commande. Le Commando perd un membre supplémentaire en plus du sacrifice de Lidia.

    Après la tentative de capture du hackeur ViperZ du brouilleur qui brouilla les communications l'espace de deux minutes et grâce à la procédure semi-entamée d'auto-destruction du brouilleur, Pallin a saboté le brouilleur. Désormais, plus rien ne gêne les communications au sein du Présidium, de la Tour du Présidium, des Secteurs et de ceux-ci vers l'extérieur.

    Il reste six navettes Turiennes (dont cinq encore chargées) sur sept, deux bombardiers Turiens sur trois (dont un n'a pas encore réalisé son premier bombardement et est disponible dès la prochaine prise d'ordres de Titus), et il reste l'intégralité des chasseurs Turiens au nombre de six (seulement deux peuvent hypothétiquement rentrer dans l'espace aérien du Présidium mais leur efficacité sera limitée même si elle compliquera la tâche de visée des YMIR-DCA au risque de collision avec les bombardiers).

    Plus rien n'empêche Sarkass de monter dans l'ascenseur - sauf un possible bombardement imprévu qui ralentira soit la montée dans l'ascenseur, soit la montée même de l'ascenseur jusqu'à la Tour.

    FAIT ENVIRONNEMENTAL IMPORTANT : Les bombardements massifs ainsi que les différents crashs de lourds engins ajoutés à des explosions ont commencé a entamer l'intégrité structurelle de la Citadelle déjà affaiblie et fragile a cause des 10 dernières années de manque de réel travaux d'entretien ainsi que de l'effet dû au Creuset : des fissures commencent à apparaître, l'eau à se troubler, des gravats de bâtiments plus en hauteurs commencent à tomber petit à petit sur la baie du Présidium au fur et a mesure des explosions une réelle fracture est apparue entre les Ambassades et l'ascenseur menant aux Wards Access. Quelque fois, on peut sentir des secousses non naturelles plutôt fortes...



    FORCES DU COMMANDO DE SARKASS : 14




    feat [MJ]IVIA.Sarkass.Courtier de l'Ombre.Titus Vissal.Jason Archer
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 25 Juil 2012, 15:18
    Titus Vissal, Tour du Présidium


    Le lieutenant de la Garde Noire suivit le garde Prétorien, qui avait reçu l'ordre de l'amener jusqu'à Pallin, il était accompagné par l'autre soldat Turien. Le dénouement de cette bataille était proche, Titus le sentait, mais il était toutefois détendu, même si l'issue du combat était encore loin d'être décidé. Une fois arrivé près de l'ancien exécuteur du Conseil, le Turien ne répondit que par un hochement de tête. Il était tout aussi ravi de rencontrer le Turien, qui lui avait sûrement sauvé la vie en décidant une trêve entre leurs deux groupes, que Pallin l'était. Le lieutenant regarda attentivement les écrans en question, pour voir quel était la meilleure stratégie à adopter, il comprit aussi que le Présidium était dans un sale état. Titus était exténué, le combat avait été long, et il allait devoir chercher dans ses réserves pour pouvoir survivre à ce qui allait se passer ensuite. Lorsque Pallin demanda à ce que le subordonné de Titus se prépare au combat, la seule réponse qu'il obtenu fut un signe de tête. Le Garde Noir fit donc demi tour pour aller rejoindre les hommes qui étaient en position devant l'ascenseur, il tenait à faire payer cher la mort de son ami, et nul doute qu'il y arriverait probablement. A ce moment là, le bombardier, qui avait reçu l'ordre de bombarder l'entrée de l'ascenseur, arriva et largua ses bombes. Titus continua de regarder Pallin, visiblement très occupé, et il l'écouta parler au hacker, sans toutefois comprendre la situation. Une fois le monologue du chef de Regenesis terminé, le lieutenant prit la parole pour la première fois depuis son arrivée dans la Tour, tout en fixant Pallin.

    « La journée a été longue... Trop de sang a été versé aujourd'hui... Vous ne trouvez pas ? »

    Titus détourna le regard pour fixer les écrans, il n'avait pas d'ordres à donner pour le moment, tout les Turiens savaient ce qu'ils avaient à faire. Il y avait de brillants officiers Turiens sur le terrain, et même si il voyait tout ce qu'il se passait d'ici, il ne pouvait vraiment pas se rendre compte de la situation dans laquelle était ses hommes. Le lieutenant tapota alors sur son Omnitech pour rentrer en contact avec tout les Turiens présent, les forces de Regenesis, ainsi que leurs ennemis. Il avait un message à leur transmettre à tous, une manière de faire ses adieux si jamais il devait mourir, bien qu'il était déterminer à survivre.

    « Ici le lieutenant Titus Vissal, de l'armée Turienne... Je sais que cette bataille aura coûté cher à chacune des personnes ayant combattu aujourd'hui. Nous avons tous perdu des amis, pour un objectif qui est loin d'être clair pour tous. Si l'armée Turienne est ici, aujourd'hui... Ce n'est que pour une seule raison... La Citadelle a toujours été au centre du monde politique, ainsi que le théâtre de nombreuses batailles, toutes plus terribles que les autres. Bien qu'on m'en ait donné l'ordre, je ne suis pas là pour obéir au Conseil, ni à la Hiérarchie, ni même pour prêter main forte à l'Alliance. Si je suis ici, ce n'est ni plus ni moins, que pour m'acquitter de ma dette. Une dette que nous avons tous, une dette de vie envers un humain... Un homme qui a tout fait pour sauvegarder la paix, qui a tout sacrifier pour que nous ayons une chance de survivre. J'estime que la Citadelle doit être un mémorial en son honneur, et je ferais tout pour qu'elle le devienne. Tout les Turiens morts ici aujourd'hui, sont morts pour ça, protéger la Citadelle, ainsi que la Terre, en son nom. Aujourd'hui, je m'acquitte de cette dette que je porte sur mes épaules depuis dix ans... Aujourd'hui, la Hiérarchie Turienne s'acquitte de la dette qu'elle doit au Commandant Sheppard !! »

    Titus s'écarta alors des écrans, il n'avait pas eu besoin de donner d'ordres à ses hommes, il espérait néanmoins qu'il avait réussi à les réconforter, ainsi qu'à leur donner du courage. Il se saisit alors de son arme, et regarda ce qui lui restait comme munitions, et décida d'aller chercher des cartouches thermiques, après tout ils devaient bien y en avoir ici.


    Sergent Venan, Emporium


    Le sergent Turien avait laissé passer le Yagh, sans qu'il ne puisse rien faire, cette bête était féroce et difficile à tuer, seulement il ne pouvait pas concentrer tout ses efforts sur une seule créature. Une fois que le Yagh ait pris la décision de se diriger vers l'ascenseur, le sergent ordonna qu'on se concentre sur les dernières troupes de Regenesis, ils n'étaient plus très nombreux, et cela arrangeait bien le Garde Noir. Il vit aussi deux Turiens arriver à la nage, ils devaient sûrement venir de la navette qui venait de couler. Tout les Turiens présents à l'Emporium se mirent à tirer sur les troupes qui étaient aux Ambassades. Le soldat au lance roquette se concentrait sur les Ymir, qui étaient une des cibles prioritaires des Turiens désormais. Ils devaient les neutraliser avant qu'ils ne fassent plus de mal.

    Cependant un Turien ne visa pas dans la même direction que ses camarades, il s'agissait du dernier sniper de la Garde Noire, toujours autant décidé en venger ses collègues, tués par un sniper ennemi. Pour lui, il s'agissait d'une question d'honneur. Il l'avait enfin repéré, malgré le fait qu'il changeait souvent de position. Le sniper réussit à tirer dans sa direction, seulement le tir ne tua pas l'humain, mais détruisit l'arme de l'humain. Bien que son tir n'était pas parfait au point de tuer sa cible, il avait cependant réussit à le neutraliser en détruisant son fusil de précision.

    Ce fut à ce moment là qu'ils reçurent le message du lieutenant Vissal, bien qu'ils l'écoutaient tous, ils prenaient quand même le temps de tirer sur leurs ennemis, afin de ne pas leur donner de répits.



    Capitaine du 40eme bataillon d'infanterie, Ambassades


    Le capitaine et ses hommes étaient toujours bloqués par la carcasse du bombardier Turien qui était tombé juste devant eux. Ils ne pouvaient pas vraiment avancer, sans prendre le risque de perdre trop d'hommes. Le capitaine ordonna alors qu'on lance toutes les grenades dans la direction des Ymir ainsi que des Loki. Ils pouvaient prendre cette position, le capitaine en était convaincu. Un autre Turien avec un lance roquette se dirigea vers un des côtés de la carcasse pour trouver un angle de tir, afin de tirer sur les Ymir à son tour, deux Turiens étaient chargés de le couvrir, le temps qu'il arrive à tirer. La tourelle automatique que l'un des Turiens avaient posés juste après avoir atterri ne servait à rien pour le moment, à part si on tentait de les prendre à revers.

    Le capitaine leva alors les yeux au ciels, lorsqu'il vit deux chasseurs passer au dessus de sa position. Les Ymir s'étaient concentrés sur eux, permettant aux navettes de se poser en vitesse, afin que les renforts puissent enfin participer au combat. A ce moment là, tout les Turiens du 40eme bataillon d'infanterie firent la connaissance de Titus, via le message qu'il avait transmis à tout le monde.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 25 Juil 2012, 19:18
    ViperZ - SSC, Trafic Control

    -Aurora! Vise en priorité les navettes avant que nos gars soient submergés!

    Le hacker observât les Ymirs commencer à tirer à vue sur les dernières navettes en l'air, abattant une en plein vol qui s'écrasât avec fracas dans le niveau sous l'Emporium, libérant quatre Turiens légèrement hébétés par le crash. Ses troupes de mécas se tournèrent en priorité vers le groupe dans leur dos, maintenant un feu nourris suffisant pour les empêcher de se montrer et de tirer sur les Ymirs. Un Turien portant un lance-roquette mourût en passant sa tête par-delà la carcasse du bombardier mais un autre accourût pour reprendre l'arme et, avec rapidité, tirer une roquette qui endommageât le blindage de l'Ymir le plus proche. Il fallait en terminer avec ces gars et vite car la situation pouvait s'envenimer à tous moment. De plus, le brouilleur venait d'exploser et d'emporter le Butarien qui s'était posé contre l'appareil comme un idiot de première.

    -Revenez au pas de course au Présidium les gars! On a besoin de vous et directement!, déclarât le hacker dans le micro de son casque à leur attention.

    Ceux-ci se mirent à courir pour revenir prêter main-forte en haut. Le jeune pirate estimât leur arrivée à une bonne dizaine de minutes et se reportât donc sur les combats qui faisaient rage. Une autre navette explosât en plein vol cette fois avant de s'écraser sur plusieurs soldats fraîchement débarqués à l'Emporium. Il les dénombrât à trois plus ceux morts dans la navette en flammes. Il regardât ensuite où en était le chef Vortcha et sourit en le voyant dans l'ascenseur, prêt à entamer la bataille finale. Bientôt, il serait loin de cette station et pourrait enfin se la couler douce sur une planète paradisiaque peut-être? Avec de belles Asaris à ses côtés sans aucun doute. Sans oublier de l'alcool à foison! Le vrai paradis!C'est alors qu'une voix submergeât ses oreilles, le faisant sursauter lui qui était en pleine rêverie sur son futur:

    "Monsieur le malin. Je ne sais pas qui vous êtes ni pourquoi vous faites ça, mais vous êtes soit un idiot soit un ignorant. Votre tentative va détruire la Citadelle - et vous avec accessoirement - ou alors la laisser aux mains de pègres qui vont la détourner sur la Terre. Dans un cas comme de l'autre : vous allez mourir. Le blocus qui entoure la Citadelle bloquera quiconque voudra sortir du périmètre de la station. Vous comme moi sommes cernés. Je vous conseille de tout arrêter de suite, ainsi que le carnage que vous avez provoqué en retournant mes hommes contre moi-même et les forces conciliennes."

    Le hacker ne pût s'empêcher d'éclater de rire face aux propos tenus par l'inconnu et lui répondit:

    - Vous trouvez que c'est moi l'idiot dans l'histoire? Vous me faites rire mon gars. Ce n'est pas moi qui ai causé tant de carnage mais bien l'arrivée des armées du Conseil si j'me trompe pas. D'ailleurs, je ne retourne pas vos gars contre vous mais je leur assure une chance de survie car, si je me souviens bien, c'est bien vous qui avez tiré sur vos propres hommes à l'ascenseur non? Alors ne me parlez pas de carnage mais parlez plutôt de tentative de survie dans cette enfer. D'ailleurs, vous sauriez que je suis pas aussi débile que vous semblez le croire si vous aviez pas votre brouilleur à la con qui m'empêchait de vous parlez de ce que j'avais en tête. Car oui, j'ai un plan qui pourrait mettre fin à toutes ces conneries sans que votre Citadelle parte en morceaux et pour qu'on s'en sorte vivant mais il va falloir se grouiller le cul car il vous reste plus ou moins cinq minutes pour écouter et appliquer ce que j'ai en tête alors vous allez m'écouter attentivement que je ne sois pas obliger de répéter et nous faire perdre un temps précieux! Compris?

    Taeron Praktus - Sous l'Emporium

    Le vieux Turien balançât un bout de métal tordu qui transperçât l'uns des soldats avant de continuer et de s'enfoncer dans le mur. Il ne restait désormais plus que trois des rescapés de la navette tombée sous l'Emporium. C'est alors que Bulgar, dans un cri de guerre équivalent à celui d'un Krogan en intensité, chargeât les trois soldats surpris par cette manoeuvre. Le premier tombât sous les tirs du Butarien qui, une fois au contact, brisât la nuque d'un deuxième dans un craquement sinistre. Le dernier tentât de fuir mais fût vite rattrapé par le colosse qui lui tirât une salve de son MATTOCk dans le dos tout en lui maintenant une main sur la bouche, étouffant la plainte d'agonie du malheureux.

    Les deux mercenaires continuèrent leur avancée et grimpèrent avec discrétion au-niveau de l'Emporium. Là, une dzaine de Turiens bloquaient leurs forces à coups de tirs nourris. Taeron observât son compagnon un moment et déclarât:

    -C'est peut-être notre dernier combat... Je suis ravi de t'avoir connu mon ami...

    Le Butarien grognât avant de déclarer:

    -Qui a dit que c'était fini hein? On a plein de gars à butter en face alors allons-y!

    Et il dégoupillât une grenade qu'il lançât en plein milieu avant de charger en tirant sur les hommes rassemblés sur place et suivit de près par le vieux Turien...

    John Falt - Ambassades, Hauteurs

    Le salopard lui avait démollît sa seule chance de venger ses frères et le traquait comme un lapin désormais. Le chasseur était devenu le chassé. Il avançât à l'abri et parcourût plusieurs balcons. Une vague de douleur le submergeât alors qu'il courait à découvert et le flux d'adrénaline relâché par son organisme couvrit celle-ci. Du sang dégoulinait le long de son flanc d'un trou béant qui ne pouvait être laissé que par un INCISOR vu la taille. Il frictionnât la plaie mais il savait que ce genre de blessure était souvent fatale. John descendît les escaliers quatre à quatre avant de se mettre à couvert juste devant la sortie des Ambassades. Une cohorte de Turiens avaient débarqué et tentaient de prendre par-derrière la position des gars alliés. Heureusement, une carcasse de bombardier obstruait le passage mais il représentait tout de même une épine importante dans leur pied. Il inspirât profondément avant de prendre sa décision.

    C'est ainsi qu'il dégoupillât d'une main tremblante une grenade avant de foncer sur la ligne turienne. La tourelle l'interceptât à mi-parcours mais l'humain continuât malgré la douleur, conscient qu'il était encore trop loin pour accomplir son dernier sacrifice. Il allait le faire pour venger ses frères tombés au combat et c'est avec cette dernière pensée qu'il disparût dans un nuage de feu avec une grande partie des soldats sur place...
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Juil 2012, 01:57
    Sarkass regardait une dernière fois derrière lui et ne voyait que désolation et désespoir : le Présidium, autrefois lieu de paix et de prospérité, était devenu un lieu lugubre où seul le langage de la guerre pouvait s'exprimer. Cependant ces conflits n'étaient pas sans conséquence et la Citadelle elle-même en était affectée : des cicatrices profondes s'étaient creusées, les bâtiments s'écroulaient et entraînaient la mort de soldats bien trop préoccupés à essayer de survivre aux fusillades. Déjà qu'avant l'invasion concilienne, la Citadelle avait perdu de sa splendeur, désormais elle n'était plus que l'ombre d'elle même : ce n'était même plus la Citadelle. Sarkass se désolait de ce spectacle, lui qui voulait tant faire de la Station un refuge pour les siens et pour lui même : ce rêve là était bien loin maintenant et cela n'allait pas s'arranger par la suite ...

    Avant qu'il puisse aller de l'avant et arriver enfin aux portes de l'ascenseur, de nouveaux problèmes survinrent : les Turiens, trop idiots pour réfléchir un tantillet, perpétuaient les bombardements, aggravant davantage la "santé" de la Citadelle, les obus s'écrasaient à proximité des troupes de Sarkass qui devaient se dépêcher d'atteindre l'ascenseur pour être en sécurité. Malheureusement pour certains, l'aventure s'achevait maintenant, si près du but, lâchement massacrés par un ennemi invisible et impitoyable. Une course effrénée commençait et deux Vortchas eurent la malchance de se prendre de plein fouet le souffle d'une explosion. Ils étaient plein de vie et d'envie, ils étaient de bons soldats et loyaux à la cause de Sarkass, cet affront blessa encore un peu plus le Chef Vortcha qui se promettait de les venger le moment venu : les Turiens et tous les responsables de ce massacre allaient payer. Parce que oui, c'était ce que les forces soi disant bienveillantes faisaient : un massacre. Le Vortcha serra le poing et essayait de ne rien laisser paraître. La rage était trop intense, trop violente pour qu'il puisse rester de marbre mais il devait continuer, l'ascenseur était tout près et les premiers compagnons étaient déjà entrer, en " sécurité ".
    Il ne restait plus que le Yahg pour être au complet mais ses blessures récentes l'avaient affaibli, c'est alors qu'un obus explosa tout près de la cré. Il était inconcevable pour Sarkass de perdre encore un allié et il se lança à son secours avec l'aide de Zog et des Biotiques. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour le sortir de ce merdier grâce à l'effort commun.
    Tous les survivants étaient enfin réunis, l'ascension pouvait commencer. Destination : le Panneau de Commande.

    Le voyage permettait aux soldats de se reposer une dernière fois avant la fin, Sarkass savait que le moral de ses troupes n'était pas au beau fixe et les pertes avaient été conséquentes, il ne restait plus beaucoup d'hommes par rapport au début. Le Vortcha pensait être à la hauteur de la tâche, mais en réalité c'était bien plus dur. Perdre autant de soldats d'élite en si peu de temps tout en restant impuissant frustrait au plus haut point Sarkass ; certes cela le forgeait à devenir un vrai commandant mais l'épreuve restait tout de même rude. Trop. Mais cela faisait partie du contrat et Sarkass se devait de tenir son engagement, on comptait sur lui et son succès, des vies étaient en jeu : il ne fallait pas baisser les bras.

    " Voici la dernière ligne, mes frères, oui : moi considérer vous maintenant comme frères après toutes les épreuves que nous avons subi. Nous avoir perdu des compagnons, tous se sont sacrifiés pour que nous pouvoir vivre. Sacrifices n'être pas vains, regarder nous : nous être maintenant dans l'Ascenseur pour atteindre Chambre du Conseil, nous avoir terrasser tous les ennemis qui se sont dresser contre nous, ReGénésis, Captain, Hierarchie, Alliance, Garde Noire ! Nous, de simples membres de gangs, sous estimés de tous, avons déplacer des montagnes, nous avoir prouver notre valeur et notre tenacité. Nous être plus que des hommes aujourd'hui, nous être un symbole, symbole de la Liberté, symbole de la Résistance ! "

    Sarkass ne savait pas si son discours eut du succès mais néanmoins, il avait un poids en moins sur la conscience. Il fallait se soulager pour ne penser plus qu'au combat et une autre personne le savait également. Le Yahg prit la parole pour la première fois, sa voix était rauque et chaque parole était rythmée par des graves soupirs : il souffrait.

    " Ecoute, petit Vortcha, je sens que ma fin est proche et rien ne pourra empêcher cela, je t'ai servi fidèlement et ait donc payer ma dette envers celui qui m'a envoyé ici. Cependant, je pense pouvoir faire encore quelque chose pour vous, je sais désormais, en t'ayant vu à l'oeuvre, que tu es capable d'achever cette foutue mission. De nombreuses personnes comptent sur ta réussite et tu ne dois pas faillir. Moi, Thorkal, est heureux de mourir pour notre cause. Tiens, prend ça, petit Vortcha, il te sera utile si tu veux pas te faire démembrer si tu vas sur Parnak. "

    Thorkal avait donné à Sarkass une sorte de pendentif orné d'une griffe, sûrement de Yahg. Le Vortcha était honoré de la confiance que lui portait cette créature entourée de mystères, il lui avait mentionné Parnak, peut être que s'il survivait à cet enfer, il irait faire un tour là bas, les Yahgs sont des créatures meurtrières et terriblement efficaces, elles pouvaient être utiles pour Ascensus...

    Apaisé mais impatient d'en découdre, le Commando indépendant arrivait au sommet du Présidium, là où tout se décidera : de la Vie ou de la Mort, de la préservation ou de la destruction de la Citadelle.
    En bref, l'Avenir de Sarkass se joue maintenant.


Dernière édition par Sarkass le Jeu 16 Aoû 2012, 12:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Juil 2012, 23:23




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
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    Presidium - Tour
    [Executor Pallin]

    Pallin avait envoyé ce message audio au pirate sans plus autre ambition car même s'il ne savait pas réellement comment allait se terminer cette histoire, il savait une chose : rien de ce qu'il pourrait faire à cet instant n'y changerait quelque chose. Déçu par la prise de conscience d'une certaine impuissance face à la situation, il s'était trouvé une occupation qui peut-être porterait ses fruits en s'adressant au hackeur. Sûrement pure utopie et fantasme, mais qui savait...

    Une fois qu'il eût envoyé le message, l'exécuteur s'était tourné vers Titus qui l'avait alors interpelé. Une simple prise de parole courte mais riche de sens, de sentiments, d'investissement et d'évacuation dans quelques mots. S'ils avaient réellement touchés Pallin en son for intérieur, il n'en fit rien paraître. Cependant, il prit le temps de lui répondre sincèrement, sans outre réflexion inutile :


    "Je crois en effet qu'il est grand temps de mettre fin à cette mascarade. Malheureusement, pour beaucoup ceci est ma faute... Il est de mon devoir de stopper tout ça. Cependant, je n'ai que peu de moyens. En réalité, il y en a un, mais je ne m'en sens pas capabl..-."
    "Vous trouvez que c'est moi l'idiot dans l'histoire? Vous me faites rire mon gars. Ce n'est pas moi qui ai causé tant de carnage mais bien l'arrivée des armées du Conseil si j'me trompe pas. D'ailleurs, je ne retourne pas vos gars contre vous mais je leur assure une chance de survie car, si je me souviens bien, c'est bien vous qui avez tiré sur vos propres hommes à l'ascenseur non ? Alors ne me parlez pas de carnage mais parlez plutôt de tentative de survie dans cette enfer. D'ailleurs, vous sauriez que je suis pas aussi débile que vous semblez le croire si vous aviez pas votre brouilleur à la con qui m'empêchait de vous parlez de ce que j'avais en tête. Car oui, j'ai un plan qui pourrait mettre fin à toutes ces conneries sans que votre Citadelle parte en morceaux et pour qu'on s'en sorte vivant mais il va falloir se grouiller le cul car il vous reste plus ou moins cinq minutes pour écouter et appliquer ce que j'ai en tête alors vous allez m'écouter attentivement que je ne sois pas obliger de répéter et nous faire perdre un temps précieux! Compris ?"

    Pallin demeura de marbre si ce n'est qu'il ne leva que son arcade sourcilière de dédain face aux quelques absurdités prononcées par le hackeur, qui par dessus le marché se permettait de lui donner des ordres d'un ton hautain et qui se voulait sûrement intimidant. Pallin étant un vieux de la vieille, il n'avait jamais eu peur de se salir les mains dans ses projets. Il se détourna de Titus qui en profita pour parler au reste des renforts Turiens et de la Garde Noire. Malgré que le combat soit divisé, ainsi forçant la prise de décisions, ça demeurait au Présidium que se trouvait la clef de cette histoire, et pour empêcher que tous n'arrivent en masse dans la Tour, il fallait les retenir en bas. Il fallait donc jouer sur deux fronts distincts... Cependant, l'arrivée de Sarkass à la Tour changeait la donne. Tout se précipitait.

    "Vous vous prenez pour qui, vous tout frais sorti de la pègre du coin sans savoir ce qu'il se tramait. Vous, qui n'avait fait que détruire ou provoquer la destruction. Vous faites porter le chapeau aux forces conciliennes, mais c'est de votre faute si elles en sont arrivées là. Vous n'êtes que de la peste qu'on peine a éradiquer telle la vermine insaisissable de bas-fonds tout aussi puants. Et vous osez dire de mes hommes que vous leur donnez une chance de survie ? Avec vos simagrées, vous ne les entraînez qu'à la mort sous l'illusion de faux prétextes. Et ne retournez pas la faute sur moi, car je vous rappelle que c'est vous et votre commando qui m'a forcé a tirer sur mes propres hommes en assassinant mon lieutenant.

    A me parler sur ce ton, ce que vous n'aurez ce n'est rien de plus que la mort, l'ennemi est déjà a mes portes, tout est joué. Vous n'y pouvez plus grand chose étant donné que le Panneau est isolé des réseaux centraux. Sauver la Citadelle ne repose plus sur un plan. Il repose sur l'instinct de survie, la ténacité et l'ardeur au combat. Je ne négocie pas avec les terroristes. Terminé.
    "

    Pallin coupa la transmission. Palli imaginait déjà le plan du hackeur : le permettre d'accéder au terminal par une passerelle temporaire afin d'en prendre le contrôle. Mais cela demeurait inacceptable pour Pallin. Il n'y avait qu'une seule solution pour le Turien. Une unique solution, qui éviterait la mort de centaines de milliers de personnes. Quitte à en mourir... Mais, il ne s'en sentait pas capable.

    Détruire le Panneau...

    Avec un signal d'alarme de proximité, Pallin venait d'entendre l'ascenseur arriver au niveau de la Tour... Les derniers soldats s'activèrent, excepté la Garde Prétorienne, demeurant auprès de Titus et Pallin.


    Presidium - Cour
    /// Infos - MJ ///

    ° Dans l'ascenseur, Tahna avait écouté attentivement le discours de Sarkass ainsi que celui du Yagh. Il était clair que celui-ci, souffrant de milles ecchymoses et douleurs causées par les balles, projections, blessures et la fatigue s'accumulant depuis le début de la mission, se sacrifierait pour nous permettre d'atteindre le Panneau. Pour permettre à Sarkass d'atteindre le Panneau sauf. L'ascenseur montait rapidement puisque prit rapidement au sacrifice de deux Vorchas anonymes devant l'ascenseur tués par le bombardement Turien, permettant ainsi au reste du Commando d'atteindre l'élévateur.
    Étant presque arrivés en haut, Tahna posa une main sur l'épaule nue de Sarkass avant de lui dire accompagné d'un hochement de tête :

    "Bonne chance, Sarkass. On va en avoir besoin"
    L'ascenseur était à quelques mètres de la porte de la Tour du Présidium...

    ° Les Mécas LOKI et les forces de RéGénésis sur le pont Est se sont retournés vers les 3 Turiens débarqués à l'arraché près des Ambassades. Ils sont à couverts mais subissent un feu nourri. Un autre YMIR a été détruit, portant le nombre restant à deux. Ils se concentrent toujours sur les navettes. Le sacrifice de John Falt a tué trois Turiens instantanément et en a invalidé de déplacement un autre. La tourelle est endommagée, elle surchauffera plus vite qu'à l'accoutumée...

    ° Une navette s'est abattue au niveau dessous l'Emporium. Les survivants ont tous été achevés sur place, mais le petit groupe de guerriers de Taeron sont acculés dans la remontée face aux forces Turiennes qui sont désormais rivées sur elle à cause du retournement des forces du Pont Est, donnant ainsi le champ libre au sniper Turien de faire un véritable carnage. La grenade lancée par Taeron fait 4 morts et 2 blessés, les autres ayant eu le temps de se mettre à couvert.

    ° Il n'y a toujours personne sur le pont Est entre les deux rives, sauf du côté de l'Emporium où se situent Taeron et son escouade, face aux Turiens.

    ° Les forces de l'Antre de Choras reviendront au Présidium d'ici cinq minutes. Ils seront derrière les Turiens coincés près des Ambassades, mais la tourelle peut être retournée, au risque d'avoir une résistance limitée face est et sud est.

    ° Il reste quatre navettes Turiennes et l'intégralité des chasseurs ainsi qu'un bombardier. Les chasseurs, dégagés d'une bonne partie de l'encombrement aérien, peuvent faire des frappes rapides au sol avec leurs canons thermiques qui sont peu précis mais qui peuvent déstabiliser et dissoudre les groupes d'ennemis.

    ° Sarkass est dans l'ascenseur. C'est le combat final pour la Citadelle.

    ° DOMMAGES ENVIRONNEMENTAUX : Le deuxième bombardement des Turiens a encore aggravé les fractures, et les secousses non naturelles se font plus régulières. Par moments, de gros blocs de permabéton tombent de bâtiments ou structures plus haut. La plupart dans l'eau, mais il n'est pas exclu qu'un bloc heurte le niveau de la baie où se déroule le combat. Une immense fracture vient de briser la barricade à l'Ouest. Toujours infranchissable sans aide, le sol semble se disloquer par endroits en tombant dans ce qui semble être l'abîme.

    ° Forces du commando de Sarkass : 12.





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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMer 01 Aoû 2012, 23:11
    Titus Vissal – Tour du Présidium


    Titus rechargea son arme lorsqu'il entendit l'exécuteur Pallin en pleine discussion avec le hackeur. Le turien avait préféré garder le silence, la situation était déjà assez tendu comme cela, il était, cependant, ravi de voir que son congénère n'était pas décidé à retourner sa veste. Le lieutenant se mit alors à observer le panneau de contrôle, le garder sous contrôle était, sans nul doute, la clé de la réussite. Il n'arrivait pas à comprendre pourquoi ces criminels voulaient tant s'en emparer, et de toute façon il ne perdrait pas son temps à essayer de comprendre, il était là pour se battre, et pour gagner. Il se mit donc à parler à voix haute, tout en regardant son arme.

    « Que se passerait-il, si ils arrivaient à s'emparer du panneau ?... »

    Une question qui ne nécessitait pas de réponse, dans tout les cas, ce serait très mauvais pour les forces concilliennes. Il fit donc quelques pas en direction de l'ascenseur, avant de s'arrêter, il voulait simplement faire réfléchir l'exécuteur. Il avait lui aussi pensé à détruire le panneau de contrôle, seulement il ne savait pas comment s'y prendre, et il ne pouvait pas forcer Pallin à le faire. Il cherchait juste à lui faire comprendre que si ils échouaient, ils ne pouvaient pas permettre aux criminels de parvenir à leurs fins. Titus entra en communication avec les renforts aériens, tout en retournant près des écrans de contrôle.

    // Ici la Garde Noire... Nos troupes aux sols ont toujours du mal à percer les lignes ennemis !! Débarrassez nous de ces Ymirs, envoyez le dernier bombardier !!//

    // Négatif, lieutenant... L'infrastructure ne le supporterait pas... Deux de nos chasseurs vont s'en occuper... //

    // Bien... Il me faut une unité à l'entrée de la Tour, qu'ils s'occupent de couvrir les arrières de nos troupes, il y à une barricade qui les mettront à l'abri. Pour le reste des navettes, il n'y a aucun changement. Une dernière chose, si vous n'avez pas de nouvelles de moi d'ici cinq minutes... Détruisez l'ancienne chambre du Conseil... //

    // Bien reçu, lieutenant... On espère avoir de vos nouvelles dans cinq minutes... //


    Le lieutenant Turien s'écarta une nouvelle fois des écrans pour se retourner vers l'ascenseur, là ou toute la bataille allait se jouer. Il était résigner à gagner, mais il ne pouvait prendre aucun risque, et peut être que le dernier ordre, qu'il venait de donner, allait pousser Pallin à prendre une décision en ce qui concerne le panneau de contrôle. La défaite n'était pas envisageable, même mort il gagnerait.

    Pendant ce temps, l'autre Garde Noir s'occupa d'organiser la défense de la Tour. Il changea donc la formation des dernières forces de Regenesis. La principale source d'inquiétude, du soldat, était le Yagh, qui était d'une force redoutable. Il ordonna alors à vingt soldats de se mettre en plein milieu et à tirer dès que les portes de l'ascenseur s'ouvriraient, à chaque extrémité, il y avait une tourelle automatique ainsi qu'un Ymir qui utiliserait sa mitrailleuse lourde. L'objectif était de mettre à terre le Yagh le plus vite possible, et il ne ferait pas un mètre en dehors de l'ascenseur, il en était hors de question. Le reste des soldats de Regenesis était avec le soldat Turien, prêt à entrer en action dès qu'ils apercevraient une faille dans la première ligne.




    Sergent Venan – Emporium



    Le sergent Venan avait été surpris par la grenade, qui venait de nul part, mais il n'en fallait pas plus au Turien pour estimer ou était les ennemis. Il fut le premier à réagir et décocha plusieurs tirs dans le corps du Butarien qui tomba raid mort à côté des deux autres mercenaires. Les autres Turiens disponibles arrivèrent peu après et tirèrent tous ensemble sur les deux derniers survivants, qui ne survivraient pas longtemps face à leurs tirs. Aussi fort soit ils, ils ne pourraient résister face à eux, ils étaient finis. Seul deux Turiens ne participaient pas à ce petit affrontement, toujours focaliser sur les troupes situés sur l'autre rive. Le sniper, qui se faisait une joie de détruire Loki après Loki, ainsi que le soldat disposant du lance roquette, qui lui visait les Ymir. Le combat s'achèverait bientôt, c'était une certitude pour la plupart des Turiens.

    A ce moment là, la dernière navette qui devait se poser à cet emplacement arriva, et se posa derrière le sergent. Tout les Turiens présents dans la navette se dirigèrent vers le sergent Venan et les autres pour leurs prêter mains fortes. Tandis qu'un autre Turien avec un lance roquette se dirigea vers les deux autres soldats qui visaient l'autre rive.




    Capitaine du 40ème bataillon d'infanterie – Ambassades



    La situation avait beau être compliqué pour les Turiens du 40ème bataillon, ils commençaient tout de même à venir à bout des mécas qui leurs offraient une résistance tout de même acharnée. Il ne lui restait plus beaucoup de soldats disponibles, lorsqu'il vit les deux chasseurs passer au dessus de lui pour tenir les troupes ennemis à distance d'eux. Le capitaine espéra, secrètement, qu'ils aient réussis à mettre à terre le plus de mécas possible avec l'un des derniers Ymirs. A ce même moment, une navette en avait profité pour atterrir, les Turiens qui en descendirent étaient tous frais et dispos pour le combat. Le capitaine demanda alors à tout ceux qui arrivaient de lancer une grenade en direction des Ymirs pour les neutraliser le plus rapidement possible. Un ingénieur arriva et lança une nouvelle tourelle automatique qu'il orienta vers l'extrémité de la carcasse du bombardier, puis il se dirigea vers l'autre tourelle pour la déplacer afin qu'elle serve tout de même à couvrir les arrières des Turiens.

    Pendant ce temps, d'autres Turiens débarquèrent d'une navette au niveau de l'ascenseur, et ils se précipitèrent vers la barricade pour prendre position, comme l'avait ordonné le lieutenant Vissal. Si les Turiens n'arrivaient pas à prendre place aux ambassades, ils devraient retenir le plus longtemps possible les troupes ennemis et si possible les empêcher de pénétrer dans la Tour.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeJeu 16 Aoû 2012, 13:49
PRESIDIUM
SOMMET DE LA TOUR.


    Il ne restait plus que quelques secondes pour que les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Les récents évènements et les initiatives couronnées de succès du Commando remontaient le moral général des troupes qui en avaient cruellement besoin. Leurs forces s'étaient amoindries au fil de la Mission mais le bilan restait tout de même raisonnable au vue de la complexité de leur quête.

    Sarkass, lui, avait grandi durant cette Mission, il s'était rendu compte au fur et à mesure de leur progression de la valeur du sacrifice, de la difficulté de commandement et que la chose la plus importante dans ce genre de situation était de garder son calme : si le chef commençait à paniquer ou à prendre des décisions démesurées, c'était la Fin. Non, il s'agissait de son combat et il le mènera jusqu'au bout avec brio et fera tout ce qui est en ce pouvoir pour sauver les siens.

    Avant d'arriver au sommet, il se devait de contacter quelqu'un, quelqu'un qui devait lui être utile parce que sa vie était entre les mains du Vortcha.

    « ViperZ, toi avoir donner aucun signe de vie depuis tout à l'heure. Moi être bientôt en haut de l'Ascenseur mais toi avoir rien dit. Toi avoir besoin de mon aide comme moi, il faut que tu fasses quelque chose pour que j'arrive au Panneau sain et sauf. J'espère que tu as quelque chose dans la tête, je vais commencer sans toi, mais si tu m'aides pas : tu le regretteras puisque tu seras seul. Sarkass terminé. »

    Le ton était donné, le hackeur devait faire de la survie de Sarkass sa priorité absolue et il espérait qu'il était à la hauteur de sa réputation : même au Secteur 14, le nom de ViperZ était connu et il devait sûrement avoir une idée derrière la tête. Il priait pour qu'il puisse avoir une aide alliée, cela le soulagerait grandement. Mais pour le moment, il devait faire face à ses opposants et l'ascenseur était arrivé au sommet. Cependant il avait un plan provisoire, certes qu'il n'aimait pas trop mais il lui avait donné son accord...

    « C'était un plaisir pour moi, Thorkal. Sarkass être désolé pour la suite. »
    « Ne dis plus rien, petit Vortcha, je suis prêt. »

    Le moment était venu, celui de la dernière ligne droite, celui du Destin de la Citadelle.
    Ouverture des portes.

    Il ne fallait pas laisser le temps aux forces ennemies de réagir et Thorkal sortit immédiatement de l'ascenseur ; comme prévu, toutes les forces étaient dirigées vers lui et ce, de tous les côtés. Le Yahg ne réfléchissait pas et fonçait sur les 20 premiers hommes qui se tenaient devant lui, son blindage s'affaiblissait de plus en plus et il sentait ses forces s'envoler...

    Mais cette trop grande peur du Yahg était bénéfique pour le reste des troupes qui se tenaient derrière la Bête. Ils pouvaient s'occuper des forces ennemies alentours, en priorité celles de devant.
    Tahna, toujours aussi minutieux, avait récolté plusieurs grenades sur les cadavres de Regénésis de l'ascenseur, ces derniers avaient du bon matos : des grenades IEM, sûrement prises par précaution en vue d'un combat contre les mécas rebelles. Il en avait gardé quelques unes et avait distribué le reste aux personnes qui savaient y faire avec les explosions, les deux Drells saboteurs : Zalek et Thunder. Machinalement, ces 3 personnes avaient regardé aux alentours, en quête de zones parfaites où la grenade ferait leur travail le mieux possible et rapidement ils les trouvèrent : sur les côtés. Les 3 grenadiers lancèrent leur « bébé » en direction des tourelles et des YMIRS qui continuaient à canarder sans foi ni loi Thorkal puis... Boom, circuits neutralisés.
    Le Yahg ne bougeait désormais plus et se tenait droit, toujours sous le feu ennemi incessant tel un zombie invincible. Sarkass pouvait entendre le cri des forces ennemies.

    « Putain mais butez le ! Pourquoi il crève pas ?! Continuez à canarder ! »

    Tel un rempart infranchissable, Thorkal offrait une protection à ses équipiers, une protection maximale puisque les tirs ne venaient que de front désormais. La panique se faisait sentir côté ennemi, l'invincibilité nouvelle du Yahg inquiétait et faisait paniquer. Sarkass avait du mal à voir ce spectacle funeste car il connaissait la vérité et pourquoi ? Parce qu'il était le créateur de cette illusion lugubre. Bien que le Yahg ait donné son accord, il se sentait mal mais c'était pour le bien de la Mission et comme il s'était promis, il ferait tous les sacrifices.
    En réalité, le Yahg était déjà mort, depuis qu'il n'attaque plus : derrière lui, se tenaient tous les biotiques encore en vie, l'Asaris, le Baron et l'Humaine. Tous puisèrent dans leurs forces pour pouvoir « donner vie » au Yahg en prenant possession de son corps, enfin en le levant de sorte qu'il paraisse vivant. La ruse avait été utile et efficace bien que peu éthique. Mais seul le résultat comptait, on était en guerre. Les derniers survivants de la première ligne ennemie tombèrent peu à peu, tous avec l'espoir d'en découdre avec cette Bête sortie tout droit des Enfers. Lorsqu'il n'en restait plus que quelques uns, les Biotiques arrêtèrent leur mascarade et faisaient tomber à terre le Yahg. Tahna tuait les deux derniers survivants avec son pistolet, froidement mais rapidement. Un premier massacre avait été perpétré, mais Sarkass pouvait voir au loin que les ennuis n'étaient pas finis.

    En face de lui, se tenait le Turien de la Garde Noire, le Chef de l'escouade supposait-il. À moitié sous le choc des évènements récents, il n'y avait pas eu immédiatement de riposte et Sarkass pouvait tenter de le raisonner, de lui parler.

    « Pourquoi Turien ? Pourquoi tenter de prendre quelque chose qui ne vous appartient plus ? Pourquoi risquer vie pour quelque chose qui n'a plus de valeur ? Pourquoi sacrifier toi pour des gens pourris avec égo surdimensionné ? Moi être Sarkass, porte-parole de la Citadelle, la nouvelle Citadelle. Moi avoir déjà rencontré un de tes chefs, une des personnes qui ont envoyer toi dans cet Enfer. Ces gens vouloir Citadelle uniquement pour guérir humiliation, pour effacer honte. Eux pas voir que Citadelle être plus celle d'il y'a 20 années, plus celle du Conseil. Toi voir par toi même, Citadelle bientôt détruite, elle plus utile. Mais moi voir quelque chose d'autre, moi avoir compris pourquoi toi ici. Toi être un pion, pas pour Turiens, mais pour Humains. Eux attaquer les premiers et pourquoi ? Parce que eux peur pour leur Terre. Si toi être ici, c'est pour défendre Humains et eux avoir aucune parole. Moi avoir vu que eux avoir pas de parole parce que eux m'avoir trahi. En échange de leurs hommes, eux promettre de partir et quand Sarkass avoir libérer hommes, eux attaquer quand même. Toi devoir me croire, moi faire confiance aux soldats, moi pas vouloir tuer de soldats, eux innocents : toi pouvoir demander à Lleyton Benam, lui être Lieutenant de l'Alliance et Sarkass avoir épargné sa vie parce que tout comme toi, lui être un pion. Sarkass avoir compris quelque chose aujourd'hui, ne jamais faire confiance aux dirigeants Humains, eux trop ambitieux et trop perfides. Sarkass espère que toi comprendre mes paroles et si tu survis et pas moi, j'espère qu'un jour, tu comprendras mes paroles et que tu verras que je disais la vérité. Rejoins moi, Garde noir ou laisse moi faire ce que je dois faire ici, et je t'épargnerai, comme tout ceux qui le désirent mais surtout : ne fais pas de bêtises. »

    A quoi bon tuer des pions ? A quoi bon devoir perdre ses propres hommes quand on peut tout résoudre par la coopération ? Sarkass désirait que ce Turien l'écoute, qu'il se rende enfin compte de la mascarade, celle des politiciens, celle du Conseil. Il avait entre les mains de nombreuses vies.

    Sarkass n'avait pas vu la moindre aide de ViperZ dans cette première attaque, qu'est ce qu'il foutait celui là ?

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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMar 21 Aoû 2012, 18:43




    MISSION SUICIDE : PRESIDIUM
    « ...Le Dénouement est proche... »



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    Presidium - Tour
    [Executor Pallin]

    Pallin avait écouté et regardé tout le carnage et observé de quelle façon le commando ennemi, par la ruse et un équipement imprévu, avaient enfoncé la première ligne et provoqué un premier massacre alors qu'ils venaient juste d'arriver dans la Tour. Ils étaient maintenant face à Titus Vissal, le Lieutenant de la Garde Noire. Pallin pendant ce temps s'était placé en face du Panneau de commande pour transférer sur son Omnitech un dispositif de commande à distance par une synchronisation des interfaces haptiques. Suite à ça, l'ex-Executeur s'était avancé - accompagné de sa Garde Prétorienne lourdement armée de diverses armes, et d'années d'expérience de combats et de survie au sein de la Station qui pouvait être qualifiée de post-apocalyptique - aux côtés de Titus qui devait répondre face à Sarkass.

    "Votre tentative est louable, vos intentions le sont moindres... Préserver une Station qui va partir en miettes par votre faute, par votre... "tentative de sauvetage"." Il leva les deux mains, deux doigts levés courbés façon - "Ah, yes, Reapers". "Si vous aviez coopéré depuis le début... Depuis les escarmouches du Secteur 14. Depuis votre prise d'otage a la clinique... Si vous aviez aidé au lieu de combattre. Construit, au lieu de détruire... D'ailleurs, dites, vous qui êtes le Porte-Parole Autoproclamé de cette force marginale si importante a vos yeux. Dites moi, vous avez tant détruit pour venir à moi mais qu'avez vous créé finalement ... ? Vous n'avez personne pour vous appuyer. Vous êtes si peu contre les Forces Conciliennes... Ce qui m'amène à une conclusion qui ne m'enchante guère..."

    Il marcha, mains croisées dans le dos alors qu'on voyait la force lueur de son technoblindage violâcé, devant les membres de sa Garde Prétorienne alignés disciplinairement. Il s'arrêta et tourna la tête vers le Commando qui commençait à s'agiter entre la nervosité et la curiosité.

    "...Vous n'êtes pas là pour sauver quoi que ce soit si ce n'est que de mourir en tentant d'entraîner le plus de monde avec vous. Vous n'êtes qu'un commando suicide, qui vous amènera a une mort vaine et sans peu d'intérêt. Face aux milliers de troupes conciliennes venues pacifier la Station, vous avez décidé de venir ici pour la détruire. Vous êtes à un point mort où il nous faut tous choisir..."

    De nouveau, il marcha dans l'autre sens face à la Garde Prétorienne, armes chargées et levées vers le Commando alors que ce dernier était dans la même configuration :

    "Soit... Dans votre tentative suicidaire de vouloir faire plonger la Station vous ouvrez le feu et il ne fait aucun doute que nous allons tous mourir, le bombardier en rotation autour de la Tour fera feu par les mêmes vitres que vous voyez derrière moi et détruira le Panneau car il n'y aura eu aucun contre-ordre venant du Lieutenant Vissal ici présent.
    Soit... Le Lieutenant appuiera sur mon Omnitech et fera sauter le Panneau. La Citadelle n'aura rien mais je pense que de savoir que vous aurez fait ce chemin pour rien vous sera difficile à avaler et alors dans un élan de désespoir fera feu sur nous et surement que nous finirons presque tous décimés.
    Soit... Vous vous rendez maintenant et je pense pouvoir vous octroyer une navette discrète afin de pouvoir vous exiler en dehors du blocus sans encombre.
    Je crois que j'ai fais le tour. Sans nul doute, il vous incombe le choix. Vous avez le choix. Vivre ou mourir. Mais dans tous les cas, votre objectif sera irréalisable car sans contre-ordre... Dans... maintenant trois minutes, un bombardier viendra faire sauter cette pièce, et dans l'autre cas je n'ai qu'à appuyer sur ce bouton.
    "

    Pallin s'autorisa un sourire, sans encore dégainer son Mattock situé dans son dos.

    "... Choisissez."

    Presidium - Cour
    /// Infos - MJ ///

    ° Tahna, arme a l'épaule, vise un des soldats de la Garde Prétorienne, mais il espère bien que Sarkass ne sera pas idiot et fera le bon choix... Autrement dit : vivre.

    ° Les Turiens nouvellement arrivés tiennent position derrière des couverts face aux soldats de RéGénésis situés en retrait dans les Ambassades.

    ° Les Turiens de l'Emporium se séparèrent en deux : ceux qui partirent vers les Ambassades par le Pont Est et ceux restés aux couverts du même endroit afin de les couvrir des tirs adverses par un tir de couverture.

    ° Les forces de RéGénésis précédemment à l'Antre de Choras sont arrivées en bas de l'ascenseur du Présidium et vont prendre à revers les Turiens.

    ° Les Chasseurs attaquent aux Ambassades, tandis que le Bombardier fait des rondes autour du sommet de la Tour.

    ° Sarkass DOIT choisir...

    ° DOMMAGES ENVIRONNEMENTAUX : Il y a toujours une énorme fracture a l'ancienne grosse barricade Ouest, et des blocs de bétons continuent de tomber. Il est recommandé aux Chasseurs Turiens de l'extrême prudence et même de dégager la zone.

    ° Forces du commando de Sarkass : 11.





    feat [MJ]IVIA.Sarkass.Courtier de l'Ombre.Titus Vissal.Jason Archer
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeLun 27 Aoû 2012, 16:03
    Titus Vissal – Tour du Présidium



    Titus était visiblement contrarié que les troupes de l'exécuteur n'aient pas réussi à stopper les forces ennemis, il était même fou de rage. Ils n'avaient même pas réussis à les ralentir ne serait-ce qu'un peu. Le lieutenant commençait à en avoir marre de cette situation, et cela se voyait, il se cramponnait à son arme, prêt à faire feu dès qu'il en aurait l'occasion. A ce moment là, il vit arriver l'autre garde noir, qui avait décidé de se replier lorsqu'il s'était rendu compte qu'il n'arriverait pas à les arrêter. Les évènements s'étaient précipités par la suite, mais toujours pas en faveur du Turien. Le chef ennemi prit alors la parole, et les mots qui sortirent de sa bouche aurait très bien pu lui coûter la vie, traiter Titus de pion était la dernière chose à faire pour éviter un massacre. Il était resté silencieux, et il avait eu du mal à freiner son envie de tuer le Vortcha, qui était immense à ce moment là. Il fut alors surpris de voir que l'exécuteur avait décidé de prendre la parole à sa place, Pallin avait sûrement oublié qu'il n'était pas en position pour promettre la liberté à l'ennemi. A la fin de la longue tirade de son compatriote Turien, le lieutenant de la Garde Noire prit à son tour la parole.

    « Je suis un soldat... Pas un homme de parole... Je vais tenter de peser mes mots, Vortcha ! Toi et tes hommes avaient tuer d'honorables Turiens aujourd'hui, et tes paroles sont un affront envers eux, envers leurs mémoires. Si il ne tenait qu'à moi, je te tuerais sans hésiter ne serait-ce qu'une seconde. Je ne te mentirais pas, je préfère détruire cette maudite Citadelle que de te laisser en liberté. Je vais donc te faire une proposition, que tu ne sauras pas refuser, puisque tu aimes tant te dévouer pour les autres... »

    Le lieutenant se tourna et fit quelques pas vers la console, et son subordonné se mit entre lui et les ennemis qui étaient tous armes au poing. Il se retourna alors une nouvelle fois, vers les autres personnes présentes. Si il s'était éloigné, ce n'était que pour une seule raison, pouvoir donner l'ordre au bombardier de faire feu si jamais la situation dérapait. Il avait cependant toujours son arme dans les mains, prêt à faire feu lui aussi.

    « Tes hommes pourront s'enfuir, comme le marché de l'exécuteur le prévoit... Mais toi, tu seras emmené sur le TSF Invictus, pour que le Primarque Vorasen puisse décider de ton sort. Il est temps que le sang arrête de couler sur cette Citadelle Vortcha. Mais saches que si je dois mourir aujourd'hui, alors ce sera avec fierté que je rejoindrais mes hommes... A toi de voir, sacrifies tous tes hommes pour rien, ou sauves en quelques uns... »



    Sergent Venan – Emporium



    La situation était toujours aussi délicate en bas, et le sergent Venan avait fort à faire. Il avait prit la tête du groupe qui menait l'assaut sur les mécas LOKI situés aux ambassades. Ils allaient réussir, c'était certain, que pouvez faire quelques mécas face à des soldats aussi aguerris qu'eux. Une fois situé à mi chemin, il vit une roquette tiré depuis l'autre rive, qui se dirigeait droit vers un des derniers YMIR. La situation se débloquait, c'était bientôt la fin des combats, ils en étaient tous persuadés, mais il fallait rester concentrés pour que la victoire soit à eux. Il y avait encore beaucoup à faire. L'un des turiens du groupe, qui disposait d'un lance roquette, tira sur les troupes en face de lui.

    Le capitaine du 40ème bataillon d'infanterie, quant à lui, était toujours en train de tenter de percer les lignes ennemis. Les renforts avaient fait du bien au groupe de Turiens situés aux ambassades, mais il restait encore pas mal de mécas à détruire. Seulement ils ne s'attendaient pas à ce que des renforts de Régénésis viennent derrière eux pour les tuer dans le dos. Heureusement pour eux, l'escouade, qui avait été dépêché à l'ascenseur, avait prit place derrière les couverts se firent une joie de les accueillir. Ils n'arriveraient pas à les arrêter, mais au moins ils pourront réduire leurs nombre, et prévenir les troupes du capitaine avec tout les tirs qui fusaient dans leurs dos, ils s'en rendraient vite compte.


Dernière édition par Titus Vissal le Lun 27 Aoû 2012, 21:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeLun 27 Aoû 2012, 17:05
PRESIDIUM : SOMMET DE LA TOUR
Une Décision lourde de conséquences...


    Les deux Turiens travaillaient de concert pour faire douter le Vortcha. Certes ils savaient se montrer persuasifs, cela ne suffisait pas à faire changer d'avis Sarkass et il avait ses raisons. Tout simplement parce qu'il ne s'agissait que d'un bluff osé et culotté. Le Vortcha était loin d'être idiot et avait compris qu'il ne lui restait plus qu'une solution. Tout d'abord, le Secteur 14 à l'heure qu'il est, avait du déjà être nettoyé, ses hommes et ses alliés devaient déjà joncher le sol de la Station.
    Sarkass n'avait plus rien, plus d'alliés, plus de soldats, juste ces 10 soldats qui se tenaient encore face à leur Destin. Une vingtaine déjà avaient sacrifié leur vie pour que Sarkass et sa troupe en soient là, devant le Panneau, celui qui pourrait résoudre tous les problèmes. Il ne pouvait se résigner à abandonner et se rendre tout simplement par respect pour les sacrifiés (et ses alliés devaient penser la même chose). Pourraient ils se revoir dans une glace, s'ils décidaient tous de se rendre en ignorant les sacrifices de leurs frères ? Pourraient ils vivre suite à un tel affront, une telle trahison vis à vis des morts ?
    Puis, vint l'intervention de ce Turien, ce jeune Turien dévoué à sa cause avec ses grandes paroles pleines de bons sentiments. Ce Turien était impliqué et prêt à tout pour se défendre mais également pour vivre. Il semblait jeune et plein de vie, envieux d'avoir une carrière, d'avoir une réputation... Mais s'il était vraiment confronté à la Mort, il changerait d'avis parce que tout simplement, ce n'était surement pas comme ça qu'il voudrait mettre un terme à ses jours : se faire bombarder par ses propres forces.

    Le commando était prêt à faire feu et tous attendaient le signal, celui pour la bataille finale. Sarkass regardait Tahna qui le fixait avec insistance, comme s'il lui demandait de faire la bonne décision, le bon choix. Le Vortcha savait qu'il ne se trompait pas.

    « Vous croire que nous se faire piéger deux fois ? Vous croire que nous pouvoir vous faire confiance et nous rendre en ayant vie sauve ? Nefar Wynn avoir déjà proposé ce marché à Sarkass et quel a été le résultat ? Un Bombardement sans sommation ! »

    Sarkass s'adressait maintenant au Turien qui avait pris la parole le dernier, le jeune.

    «Sarkass va t'expliquer quelque chose, c'est que tu ne PEUX pas bombarder la Tour. Depuis début de l'attaque, Citadelle subir de nombreux bombardements ou attaques directes sur sa structure, si ton bombardier fait exploser la Tour, ceci être goutte qui fait couler le vase... Ou moi plus savoir vraiment la phrase... Enfin bref, si toi faire ce bombardement, Citadelle implosera d'elle même et ce n'est pas 30 soldats qui mourront, mais un Système tout entier ! Moi proposer une autre alternative qui irait bien pour nos deux camps respectifs. Sarkass être ici pour accéder au Panneau, comme vous l'avoir dit, mais moi être venu ici pour punir les responsables de l'attaque. Pas les Turiens, pas la Garde noire, pas ReGénésis : les Humains. Moi vouloir tout simplement punir Humains qui ont trahis leur parole, moi juste vouloir leur faire payer, en écrasant la Citadelle sur la Terre mais attention, pas sur civils... Non … Sur leur armée terrestre. Bon, moi pas encore savoir vraiment où faire le plus de dégats, mais Sarkass avoir soutien d'une personne bien plus puissante que moi même, une personne qui m'a d'ailleurs amené ici et qui saurait où frapper.»

    Afin de préserver l'identité et l'implication du Courtier, il avait omis de dévoiler le nom de cette personne mais toutefois, cette révélation ne pouvait que faire réfléchir les Turiens qui étaient eux aussi dans une impasse.

    « De plus, moi vous expliquer tous vos bénéfices de cette action. Sarkass sera désigné comme le grand méchant de l'affaire, de l'histoire et moi en prendre toutes les responsabilités. Tandis que vous, serez tout de même les gentils de l'histoire qui ont sauvé veuve et l'hortensia ou qu'importe. Mais aussi, forces humaines auront du mal à se relever de cette attaque, après tout une Citadelle en pleine gueule ça fait pas que du bien. Et puis nous pouvoir nous enfuir de ce tas de ruine qui désormais, est sous le contrôle de personne. »

    Sarkass prit une pause avant de reprendre son récit. Il fallait que les Turiens prennent conscience de la chance que leur donnait leur '' ennemi ''.

    « Vous l'avoir si bien dit, vous vouloir préserver vies des Turiens et si vous faire bombarder Tour, des centaines voir des milliers de soldats turiens encore sur la Station ou en orbite mourront par votre seule faute. Moi avoir donner ma parole aux Humains, eux l'ont bafoué. Moi savoir que vous être des gens de paroles malgré vos dires, jeune Turien. Ceci être ma dernière proposition, une proposition en or pour nos deux camps et sauver le plus des nôtres. Toi pouvoir contacter ton chef, décision trop lourde pour un soldat. »

    Le risque était pris, un risque d'une ampleur considérable : celui de la vie de milliers de personne. La balle était dans le camp Turien, à voir ce qu'ils allaient en faire.
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MessageSujet: Re: Mission Suicide : Présidium.   Mission Suicide : Présidium. - Page 3 Icon_minitimeMar 28 Aoû 2012, 00:13
    Le vortcha commençait vraiment à taper sur le système du Turien. Titus se demandait comment son ennemi pouvait penser qu'il accepterait une proposition pareil. Il était hors de question qu'il laisse des soldats mourir d'une façon aussi lâche que Sarkass venait de décrire. Même si il ne portait pas tout les humains dans son cœur, le Turien refusait catégoriquement. L'attitude du Vortcha envers le Turien était un pur manque de respect; il le considérait comme un jeune troufion de base, et il se permettait même de lui donner des leçons. Titus commençait à se demander si ce Sarkass savait à qui il s'adressait, à un lieutenant de la garde noire, et un Turien qui a fait ses preuves au combat. Le Turien baissa alors son fusil d'assaut, et il se dirigea vers le vortcha, mais il s'arrêta et reprit sa place aux côtés de Pallin.

    « Tu penses vraiment que je vais te laisser agir ainsi ?... Tuer des milliers de soldats, sans qu'ils aient la chance de pouvoir se défendre ? Ce n'est pas ce que les Turiens appellent un combat honorable... »

    Il s'arrêta et regarda les ennemis qui lui faisaient face, il regarda aussi ses alliés, le combat semblait de plus en plus inévitable. Il baissa alors la tête, repensant à tout ceux qu'il avait perdu sous son commandement, il ne savait pas vraiment pourquoi il pensait à eux à ce moment précis, peut être qu'il se préparait à les rejoindre.

    « Tu parles beaucoup, vortcha... Tu dis que les humains t'ont trahis... Tu sembles oublier que je ne suis pas un humain, mais un Turien... Tes mots auraient pu me toucher, si tu ne m'avais pas pris de haut... Je rejoindrais les Turiens que j'ai perdu sous mon commandement le cœur léger, en sachant que je t'aurais empêché de nuire... »

    Titus se saisit du bras de l'ancien exécuteur du conseil, l'omniTech de ce dernier était toujours en marche, et il ne suffisait que d'un geste pour en finir avec la console que le Vortcha désirait tant. La tension était à son comble, et le subordonné de Titus commençait à s'approcher tout doucement, jusqu'à venir à ses côtés prêt à intervenir. Sarkass avait oublié que ce n'était plus lui qui menait la danse. Titus s'adressa une toute dernière fois à ce Vortcha.

    « Ma proposition va bientôt expiré Vortcha !! Réfléchis bien... Les sacrifier tous jusqu'aux derniers, ou en sauver quelques uns... »




Hrp : Coco m'a donné la permission de poster, mais il m'a aussi précisé que c'est à lui de poster à la suite de ce post.
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