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 Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]

Ashaa Jakari

Personnage RP
Faction : Indépendante
Rang : Civil
Ashaa Jakari
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Crédits : clems76 & Krelek

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MessageSujet: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 12:03
Registre Galactique des espèces
Ashaa Jakari

Informations primaires

Sexe : Féminin
Race : Drell
Âge : 25 ans (15 février 2174)
Faction : Indépendante
Poste / Grade : Vendeuse dans une boutique sur Oméga
Parenté : Dalah Jakari (mère, décédée) / Jokun Jakari (père, décédé)
Situation maritale : Célibataire
Planète d'origine : Kahjé


Histoire

Ashaa est née en 2174 sur la planète d’origine des Hanari : Kahjé. Elle a vu le jour au sein d’une famille respectant les termes du Synacte. En vertu de ce traité, Dalah Jakari (sa mère) était préposée au service d’un Hanari haut placé au sein du culte religieux. Elle avait elle-même fini par embrasser le culte des Porte-Flammes au détriment de ses anciennes croyances. Jokun Jakari (son père) était quant à lui demeuré fidèle aux anciennes coutumes tout en demeurant également au service de ce même Hanari. Il était chargé de sa protection en tant que garde du corps. C’est d’ailleurs ainsi que Dalah et Jokun se sont rencontrés. Ils sont très vite tombés amoureux et se sont mariés quelques années seulement après leur rencontre.

Ashaa a passé la majeure partie de son enfance sur Kahjé. Elle avait six ans quand le Hanari auquel ses parents et elle étaient liés décida de quitter sa planète natale pour se rendre sur Belan. La nouvelle eut le mérite d’enchanter la petite fille qui allait enfin quitter ce monde couvert d’eau pour une terre à ciel ouvert couverte de prairies verdoyantes. La planète sera cependant dévastée cinq années plus tard par le passage d’une comète qui ravagera tout l’écosystème et la majeure partie des installations. Malheureusement, ce ne fut pas la raison pour laquelle Ashaa devint orpheline.

Ashaa a donc six ans quand elle se retrouve sur Belan. C’était en 2180. Elle n’y restera cependant que moins d’une année. Des esclavagistes butariens s’attaquèrent en effet à la colonie et le hasard voulut qu’ils prirent d’assaut la ville dans laquelle avaient élu domicile Ashaa et sa famille. Ce fut un véritable massacre. Les Hanari se retrouvèrent sans défense quand les Butariens décimèrent leurs protecteurs drells. Ashaa perdit son père sans même avoir la chance de lui faire ses adieux. Sa mère et elle étaient calfeutrées dans la demeure de leur protecteur hanari quand les Butariens y pénétrèrent et achevèrent de sang-froid l’alien pourvu de longs tentacules. Ils découvrirent Dalah et sa fille et arrachèrent celle-ci des bras de sa mère. Sous le regard horrifié de l’enfant, la mère fut exécutée sans sommation. Au final, tous les adultes furent abattus et les Butariens n’épargnèrent que les enfants. À quelles fins ? Celui de devenir esclaves bien entendu. Les enfants sont plus dociles que les adultes. Et c’est ainsi que débuta la longue descente aux enfers de la pauvre Ashaa.

La jeune Drell fut conduite avec les autres prisonniers sur le monde natal de ses ravisseurs : Khar’Shan. Cette planète devint pour elle une prison ; une cage aux barreaux dorés qui n’en deviendra pas moins un véritable enfer pour elle. Vendue au plus offrant, Ashaa devint la propriété d’un dénommé Bartak Dal’Gundohar ; un très riche entrepreneur appartenant à l’une des plus hautes castes de la société. Il était réputé pour faire la pluie et le beau temps sur tout Khar’Shan. Il devint hélas ce jour-là le bourreau d’Ashaa et il la condamna à une longue vie de servitude.

Bartak possédait l’un des harems les plus réputés de la planète. L’un des plus fournis et l’un des plus… exotiques. Celui-ci comptait bon nombre d’esclaves butariennes ou humaines ; ainsi que quelques très rares asari ou galariennes. Ashaa fut cependant la seule Drell à en faire partie. Aux yeux de son maître, elle était un genre de pièce de collection. Une beauté rare dont il vantait les mérites lors de ses soirées mondaines. Il se servit d’elle pour faire naître la jalousie chez ses proches amis et collaborateurs ayant la malchance de ne pouvoir se procurer un tel trophée. Et si au début il ne la garda que pour ses bons plaisirs personnels, très vite il commença à la prêter à ceux qui surent lui témoigner tout le respect et la loyauté qu’il méritait ; voire à ceux qui savaient y mettre le prix. Ashaa n’avait que sept ans révolus lorsqu’elle découvrit ce que cela signifiait « être une femme ». Le harem de Bartak n’avait qu’une seule raison d’être : assouvir le moindre de ses caprices pervers ainsi que ceux de ses plus loyaux associés.

Ashaa devint très vite la favorite de Bartak. Néanmoins, ce prestige ne vint pas qu’avec des avantages. Il amena également son lot d’inconvénients : elle s’attira les foudres de ses compagnes condamnées à la même vie qu’elle et elle se retrouva à devoir lutter pour maintenir son statut. Les esclaves – de l’un ou l’autre des deux sexes – dont Bartak finissait par se lasser disparaissaient du jour au lendemain sans jamais laisser de traces de leur passage. Tous vivaient donc avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. La favorite du maître étant vraisemblablement la mieux placée pour ne pas subir cette purge, toutes cherchaient à prendre la place d’Ashaa pour assurer leur survie. À dix ans à peine, la douce Ashaa se retrouva au cœur de complots et de manigances visant à se tirer mutuellement dans les pattes entre esclaves afin de remporter le trône de la favorite. Mais Ashaa tint bon. Elle devait survivre.

Survivre ? Mais pour quoi faire ? Elle était condamnée à passer le restant de ses jours sur Khar’Shan. Il n’y avait aucun espoir de délivrance pour elle. Longtemps elle avait prié pour recouvrer sa liberté mais longtemps ses dieux étaient demeurés sourds à ses prières. C’est là qu’elle avait fini par leur tourner le dos et par les désavouer. Ses dieux n’existaient pas. Elle était toute seule. Seule au cœur de cet enfer. Elle ne pouvait compter que sur elle-même. Elle ne pouvait faire confiance à personne. Elle n’avait pas d’ami ni de confident. Juste des amants par dizaines qui se servaient d’elle comme si elle n’était qu’un objet sans conscience ni sentiment. Ashaa finit par se convaincre que c’était le cas. Elle toucha le fond si profondément qu’un jour elle tenta de s’ôter la vie en se taillant les poignets. Et tandis que son sang s’écoulait lentement hors de son corps, elle se risqua à espérer de nouveau être libre.

Bartak découvrit la Drell avant que la mort ne l’ait recouverte de son voile éternel. Il fit en sorte que la jeune femme soit sauvée et il ne manqua pas de la corriger lorsqu’elle eut suffisamment récupéré. Le fouet était son outil de correction de prédilection. Selon lui : les gifles étaient trop banales et passées de mode depuis longtemps. Rien ne valait un bon coup de fouet pour faire passer un message. Ashaa subit ce jour-là sa plus cuisante correction. Aujourd’hui encore elle en porte les vestiges le long de son échine. Et quand ce n’était pas le fouet, Bartak prenait plaisir à corriger ses esclaves en apposant tout contre leur peau un tison enflammé ou une barre chauffée à blanc. Ashaa n’y a pas échappé non plus. De même qu’elle n’échappa pas aux déviances sexuelles du maître et de ses principaux collaborateurs adeptes de rapports disons… moins conventionnels. Rien d’étonnant en somme que la jeune et douce Ashaa devint très vite une femme moralement brisée. Une enveloppe vide dépourvue de conscience.

Demeurant la favorite du maître, Ashaa passa l’année suivante entre la demeure principale de celui-ci à la capitale (Preobrajenskaya) et ses différentes villégiatures ici ou là dans l’arrière-pays (principalement les Côtes abhkaziennes). Elle n’était âgée que de douze ans seulement mais avait tout l’air d’en avoir le double. Le maître commença cependant à s’enticher d’une nouvelle acquisition plus jeune. La jeune femme y vit là un moyen de mettre fin à son calvaire ; mais entre sa vie actuelle et finir à moitié morte dans un caniveau après avoir été battue jusqu’à plus soif, son choix était vite fait. Elle fit tout ce qui fut en son pouvoir pour maintenir son statut et demeurer à sa place. C’est ainsi que les choses se passaient sur Khar’Shan et elle avait fini par se plier aux lois des castes et de la société.

Puis vinrent les affres de la guerre. Les Moissonneurs attaquèrent et ravagèrent la majeure partie de Khar’Shan. Les Butariens les plus riches et les plus puissants de la planète tentèrent de s’échapper en fuyant avant de perdre tout espoir. Bartak faisait parti du lot. Et quand bien même il laissa derrière lui la plus grande partie de son harem, il prit soin d’emmener avec lui sa favorite. Cependant, Ashaa ne se retrouva jamais à bord du vaisseau qui quitta la planète miraculeusement. Dans sa fuite, le maître fut piétiné à mort par ses propres esclaves cédant à la peur en voyant l’un de ces Moissonneurs mettre à feu et à sang la capitale. Ashaa tenta de suivre le mouvement ; mais du haut de ses douze ans, elle fut incapable de rivaliser avec les autres esclaves fuyant pour leur vie et cherchant à se venger d’elle, ses anciennes compagnes du harem l’abandonnèrent sur la planète pour qu’elle « paie » pour ses crimes. Voilà ce qui lui en coûta de s’être pliée aux règles et aux lois de Khar’Shan.

Ashaa crut sa fin imminente. Ce n’était pas un mal. Son maître était mort. Ce faisant, elle était libre et c’est donc libre qu’elle rendrait son dernier souffle. Mais le destin fut décidément bien cruel avec elle. Et ce jour-là, Ashaa ne fit que troquer un maître pour un autre. Certes, elle savoura sa liberté quelques semaines. Elle évita par elle ne sait qu’elle miracle de succomber sous les attaques de ces monstrueuses créatures endoctrinées. Elle trouva un moyen de survivre en attendant la fin. Paradoxal ? L’instinct de survie ne se contrôle pas. Et le fait est que là, il avait pris le dessus sur tout ; même sur le désespoir. Et vint la fin de la guerre. Ashaa était toujours en vie. Mais c’était aussi le cas de Gorbak ; le fils de Bartak. Ashaa l’avait cru mort et fut choquée de découvrir que lui aussi avait survécu. Et c’est à ce moment-là que son cauchemar reprit. Elle passa du père au fils ; échangeant un monstre pour un autre.

Ashaa passa les huit années suivantes au service de Gorbak. Ce ne fut en rien comparable à la « belle vie » qu’elle avait eue durant son service auprès de maître Bartak. Sa cage n’était plus aussi dorée que par le passé. Gorbak était bien plus instable que son père et il transféra sur la jeune femme toutes les cruautés qu’il reprochait à son père. Il avait toujours détesté son géniteur et il lui reprochait de n’avoir jamais cherché à tisser de liens avec son fils. Rejeté et mis au ban de la société, Gorbak avait toujours hautement jalousé les « amis » de son père. De même, il avait haï ce dernier qui prêtait allégrement à ses proches ses trophées vivants alors que lui-même n’avait pour ainsi dire pas le droit de les regarder. Nul besoin de préciser qu’il rattrapa sans tarder son retard avec Ashaa et les quelques autres femmes qu’il était parvenu à récupérer suite à la débâcle de son paternel. Et si cela parut tout d’abord impensable aux yeux d’Ashaa, elle découvrit que la vie du temps de Bartak n’était finalement pas si sombre que cela. Ce n’était vraiment rien en comparaison de vivre sous la férule de Gorbak.

Et vint le jour où finalement elle ne put plus en supporter davantage. Elle avait atteint les bas-fonds du désespoir et s’était surprise à continuer de creuser plus profondément. Elle n’avait plus rien à perdre. Elle était brisée et préférait encore mourir en tentant de fuir plutôt que de continuer à supporter cette misère et cette souffrance. Et c’est donc en prenant son courage à deux mains qu’elle s’arma et tenta d’arracher la vie à son tortionnaire. Celui-ci prenait son bain quand il la fit mander. Ashaa se présenta à lui comme d’ordinaire ; mais au lieu de le rejoindre dans l’eau, c’est la lame qui plongea et s’enfonça dans la poitrine du Butarien. Le laissant pour mort en train de se vider de son sang dans son bain, Ashaa quitta la demeure et trouva par miracle le moyen de se glisser dans un cargo au départ du spatioport. Le destin avait-il finalement décidé de se montrer favorable à elle ? Difficile à dire… Toujours est-il que c’est en 2194 et à l’âge de vingt ans révolus qu’Ashaa recouvra enfin sa liberté tant désirée.

Ashaa se retrouva dès lors larguée dans un monde dont elle ne connaissait absolument rien. Khar’Shan était une prison ; un endroit où les informations ne circulaient pas librement. Elle n’avait absolument aucune idée de comment le monde tournait loin de la planète natale des Butariens. Elle ignorait tout des forces et des pouvoirs en place. Elle n’avait jamais entendu parler de la Citadelle ou du Conseil. Elle ne connaissait du monde extérieur qu’une seule chose : Oméga. Le maître en avait fait mention à de très nombreuses reprises. Le hasard voulut que ce soit sur la station pirate que la malheureuse créature se retrouva après sa fuite. Elle découvrit là un monde sombre et dangereux qui lui rappelait cependant sa vie passée sur Khar’Shan. Elle se prit de fascination pour l’astéroïde. Une fascination malsaine. Elle en avait peur et aurait souhaité fuir cet endroit au plus vite, mais la troublante ressemblance avec sa vie passé était somme toute rassurant. Elle n’avait jamais rien connu d’autre dans sa vie. Un environnement semblable à ce qu’elle avait jadis connu était donc source de sécurité ; d’une manière tout à fait tordue. Mais c’est tout ce qu’elle pouvait se permettre pour l’heure. Cet endroit avait beau fonctionner comme sur Khar’Shan, ce n’était pas Khar’Shan. Elle était libre à présent. Vraiment libre.

Durant une année entière, Ashaa survécut en volant ce dont elle avait besoin sur la station. Elle vécut au jour le jour sans se préoccuper du lendemain. Elle élut domicile dans un secteur aussi calme que cela puisse être sur Oméga. Les rares fois où elle fut importunée, elle réussit à faire fuir ses agresseurs avant qu’ils ne puissent lui mettre la main dessus. Bien sûr, chaque fois que cela se produisait, Ashaa prenait soin de déménager dans un autre secteur de la station afin d’éviter toutes représailles. À défaut d’avoir la vie dont elle avait rêvé enfant, elle parvenait à survivre loin des déviances sexuelles de ses maîtres, ou de leurs corrections toutes plus douloureuses les unes que les autres. Mais tout changea le jour où elle rencontra Dalyn : un Elcor qui apporta un peu de lumière dans sa vie enténébrées.

Ashaa prenait soin de demeurer à l’écart des hommes. Ces derniers avaient tant abusé d’elle jadis que la jeune femme prenait peur dès qu’elle était en face de l’un d’eux. Cependant, Dalyn fut l’exception à la règle. Elle fit sa rencontre après avoir volé de la nourriture dans le magasin qu’il tenait. Elle avait fui avant qu’il puisse la rattraper ; mais le hasard voulut que leurs chemins se recroisent quelques heures plus tard. Seule face à des assaillants désireux de disposer d’elle, Ashaa était en fort mauvaise posture. Elle ne dut son salut ce jour-là qu’à l’intervention de l’Elcor qui parvint à faire fuir les agresseurs avant qu’ils n’aient obtenu ce qu’ils désiraient. Ashaa voulut fuir, mais Dalyn se montra étonnement prévenant à son égard. Et au fil du temps, la jeune femme se rendit compte qu’il était peut-être le seul individu à même de mériter sa confiance dans toute cette galaxie. Il devint comme un père pour elle ; ce qu’elle n’avait plus eu depuis ses six ans. Il la prit sous son aile et lui offrit un toit et de la nourriture ; ainsi que des vêtements propres et un lit confortable dans lequel faire ses nuits.

Les quatre années qui suivirent furent de loin les plus belles de sa vie. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, Ashaa fut de nouveau rattrapée par ses vieux démons. En rentrant un jour du marché, elle découvrit le magasin de Dalyn complètement ravagé. Il y avait du sang partout ; trop même. De fait, elle découvrit le corps sans vie de son père adoptif au fond de la réserve. Avec une note, destinée à son attention. Son monde bascula quand elle découvrit le contenu du message et son origine.

« Tu es à moi. Tu m’appartiens. Ne l’oublie jamais. Où que tu iras je te retrouverai. Reviens de ton plein gré et je serai clément. Force-moi la main et tu le regretteras. Je n’ai pas oublié ta trahison. Gorbak. »


Apparence

Ashaa est plutôt grande et effilée. Compte tenu du statut qui était le sien avant la Grande Guerre, elle a toujours présenté un corps athlétique bien proportionné. Une condition indispensable au maintien de ses avantages et de sa position dominante au sein du harem de son maître. Elle se devait d’être en permanence physiquement irréprochable. Les traits de son visage sont fins et délicats. Ses pommettes sont hautes et son menton pointu. Elle a un nez droit tout simplement adorable et de grands yeux aux prunelles cerise (une nuance de rose très sombre). Les écailles qui couvrent l’intégralité du corps de la jeune femme sont également roses ; un rose très pâle qui tire sur le beige. Cette nuance tire sur le saumon là où la chair est mise à nu et non couverte d’écailles (comme par exemple sous la gorge).
Le corps d’Ashaa est couvert de vilaines cicatrices ; principalement dans le dos, mais aussi sur les bras et l’arrière des cuisses (des zones facilement camouflables sous des vêtements). Ce sont des marques laissées sur sa peau par la morsure du fouet ou les brûlures de tisons ardents. Voilà ce qu’il en coûte de désobéir à un ordre direct ou de commettre la moindre erreur durant un événement mondain. La punition est sans appel et douloureuse. Certaines marques sont cependant le fruit de déviances perverses relevant du domaine de l’intimité. Ce sont certainement les plus douloureuses.


Caractère

Ashaa est avant tout une femme brisée qui tente de se reconstruire petit à petit. Enlevée à sa famille, elle a été vendue très jeune comme esclave et n’a donc pas eu une enfance aussi dorée qu’elle aurait pu être. Elle a été forcée de mûrir bien trop vite pour son âge et à devenir une femme avant l’heure. Le résultat est qu’Ashaa est une jeune femme blasée dont les rêves et les espoirs ont volé en éclats faute de lumière au fond de l’abîme dans lequel elle s’est très vite retrouvée. Mais depuis récemment, elle se sent renaître et semble retrouver lentement goût à la vie.
Néanmoins, elle reste prisonnière de ses vieux démons. Ils continuent de la hanter encore aujourd’hui. De fait, Ashaa est une femme qui se révèle craintive et peureuse en présence d’un représentant de la gente masculine. Abusée par eux des années durant, elle est incapable de leur faire confiance et craint toujours le pire en leur présence. À ses yeux, les hommes sont tous des animaux. Des bêtes dominées par leurs plus vils instincts. Quant aux femmes : elle voit en elles des rivales prêtes à tout pour survivre dans un monde dominé par les hommes. Elle a vécu des années durant de cette manière sur Khar’shan et les vieilles habitudes ont hélas la vie dure. Elle se sent en permanence menacée. Mais récemment, elle a pris sur elle pour changer cette manière de voir les choses. Il faudra faire montre de patience.
Dernier point : les croyances religieuses. Les Drells y sont très attachés et ce fut également le cas de la jeune Ashaa. Elle a grandi et s’est épanouie dans le respect des rites ancestraux. Et ce jusqu’au jour de son enlèvement. Elle a ensuite fini par perdre la foi en ses dieux en voyant que son calvaire ne prenait pas fin alors qu’elle passait ses nuits à prier pour recouvrer sa liberté. Ses croyances diraient que si les dieux n’ont pas répondu à ses appels c’est parce qu’elle était confrontée à une épreuve à laquelle elle était capable de faire face et de laquelle elle aurait dû ressortir plus forte et plus endurcie. Mais selon Ashaa, ce ne sont que des balivernes. Les dieux n’existent pas et n’ont jamais existé. De fait, forcée de se faire une raison, elle succomba au désespoir de ne plus jamais être de nouveau libre. C’est ce qui l’a poussée à faire une tentative de suicide. Mais son maître est intervenu, l’empêchant de passer à l’acte.
Aujourd’hui, forte hélas d’une mémoire eidétique que possèdent tous les Drells, Ashaa revit en permanence les horreurs de son passé. Et il ne se passe pas un instant sans qu’elle cède aux larmes en se demandant si son calvaire prendra fin un jour ou l’autre.


Compétences

Furtivité : agile / Corps à corps : pugiliste / Maîtrise des armes : pistolet et petit couteau


Compléments

Signe(s) distinctif(s) : Aucun.
Relations avec les autres : Plutôt distantes et farouches. Ashaa est craintive de nature.
Des liens prédéfinis ? Aucun.


Hors Personnage

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Comment avez-vous connu le forum ? En surfant sur Internet. Ça reste le plus simple.
Est-ce un double compte ? Par souci de confidentialité, cette question restera sans réponse.
Des remarques ? Aucune. Du moins pour l’instant…


Adrien Annaz

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Adrien Annaz
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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 13:16
Je ne vois rien de particulier à redire. J'attends juste le mot de passe du règlement par MP avant de te valider.
Adrien Annaz

Personnage RP
Faction : Alliance
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Adrien Annaz
Administrateur
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Crédits : Matt Bomer - Lleyton Benam

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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 13:43
Le mot de passe est bon, place à la validation.

Je te donne le lien pour trouver des partenaires RP : ->ici<-

Si tu veux chercher des liens avec les autres joueurs, je te conseil de lire les Journaux de Bord.

Bienvenue chez les fous !
Ashaa Jakari

Personnage RP
Faction : Indépendante
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Ashaa Jakari
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Messages : 30
Crédits : clems76 & Krelek

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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 13:47
Merci beaucoup Adrien Very Happy
Dahl Elkoss
Dahl Elkoss
Roi de la Chasse Sauvage
Messages : 1768

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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 14:48
Bienvenue à toi ! Dans le genre vie malheureuse, tu te pose bien là x)
Mmmh, on se croisera peut être IRP à l'occasion, vu que le siège de mon entreprise est à Oméga Gné
Bref, bonne chance pour la suite de tes aventures !
Keedan Braha'n

Personnage RP
Faction : Conseil
Rang : Haut-Veilleur
Keedan Braha'n
L'Âme et le Maître des Codex
Messages : 954

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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 16:09
Bienvenue parmi nous Ashaa Redman Histoire très intéressante et bien torturée. Amuse-toi bien ici
Kyreshorl Venterra

Personnage RP
Faction : L'orphelinat des Ombres
Rang : Ardat-Yakshi
Kyreshorl Venterra
Nuit blanche
Messages : 606

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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitimeJeu 15 Jan 2015, 18:13
Bienvenue ! Hesite pas a jetter un oeil aux "journal de bords" on est quelques-uns a passer notre vie ( Ou la mêtre en jeu Gné ) sur Omega, donc fais nous signe si tu as une idée de Rp.
Vu ton histoire je pense que ce sera facile de trouver un truc à faire ! Wink

Enjoy ! Gahbye
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MessageSujet: Re: Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]   Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%] Icon_minitime
 

Ashaa Jakari [TERMINÉ - 100%]

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