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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:13 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:14 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:14 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre- |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:15 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:15 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:16 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:16 | | | l pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:17 | | | l pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:17 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:18 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:19 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:19 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:20 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:21 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:21 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:22 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:22 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:23 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
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Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:23 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme dessinatrice |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:23 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:24 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme dessinatrice de comic divin |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:25 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme dessinatrice de comic divin mais vraiment |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:25 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
Mais alors un grand débile, Annaz qui croyait être bon d'être un pervers déjanté, avec son ami moche Arté qui ressemblait à rien, selon les critères humains et Intergalactiques approuvés par tous, du moins ceux intelligents, gambadaient dans les prairies fertiles du Rwanda désertique et agréable ainsi que paisibles, malgré les autochtones Turiens rouges de mongolie et ouvertement spéciaux, et même vraiment idéal pour s’adonner à la lecture de RP écris en prose et en très petite quantité à cause de leurs sonorité magnifique et lyrique telle Ariane aux doux fils d'or que je ne pensais pas en entendre puisqu'un fil n'est pas audible, sauf si il est ensorcelé.
Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme dessinatrice de comic divin mais vraiment lent |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:26 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
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Le bus était vieux et rouillé depuis que le professeur conteur, l'administrateur de nefar et la sublime Melany, avait couché avec Annaz, Artérius, et peut être même maudit le pauvre Lleyton, innocent au milieu de l'aridité de l'Espace crée par les Moissonneurs, pieuvres métalliques comme notre Cerberusse qui avait fait preuve d'un calme étonnant et surprenant pour des céphalopodes tel que notre illustre petit Sarkass, qui avait sa très profonde et immense grande comme la plus grande des immenses et superbement incroyable chose que Arté n'avait jamais résussi à voir comme la petite chose de Viks tellement pitoyable.
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Mais Anton Ardak, fils d'un quatre-oeil bien laid comme un vortcha malhabile et fini comme la Sagrada Familia alors que Viks et alyx la sublime asari et superbe femme dessinatrice de comic divin mais vraiment lent pour |
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| Sujet: Re: La phrase improbable Sam 09 Juin 2012, 01:27 | | | Il pense réussir à prendre Melany par les sentiments grâce aux cons et prudes dont Nefar le diabolique charmeur, en lui disant des choses explicites et sensuelles que seul Melany pouvait apprécier avec un amour factice ou réel mais vraiment fougueux et bien sentimentalement inadapté a la situation actuelle de Conseillère qu'elle était, superbe et vraiment très bien habillée ainsi que facialement irréprochable tout comme sa notoriété publique qui était en augmentation depuis qu'une quarienne perverse jeune et intelligente et perverse faussement d'être prude car elle était nue sous sa combinaison étanche et transparente comme l'acier qui la rendait parfaitement noobiste malgré que ce soit un crime de penser qu'elle était sage parce qu'en réalité elle l'était complètement.
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La répugnante et floodeuse ainsi que inoffensive trolleuse Melany était méchamment allumée tout comme Tash l'asari à l'avatar pourri malgré sa belle gentillesse et ses formes vraiment généreuses et agréable à observer et à tâter du bout des petits mais boudinés doigts d'Annaz qui n'y connait rien à la gente féminine.
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