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 Récit de Kalank Dralot

Kalank Dralot
Kalank Dralot
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MessageSujet: Récit de Kalank Dralot   Récit de Kalank Dralot Icon_minitimeVen 17 Avr 2015, 21:01
Registre Galactique des espèces
Kalank Dralot

Informations primaires

Sexe : Femme
Race : Krogan
Âge : 574 ans
Faction : Indépendante
Poste / Grade : Capitaine de son navire
Parenté : Fille de Kalank Grurdok et d'un guerrier Kalank.
Mère de Kalank Vix
Situation maritale : Célibataire
Planète d'origine : Tuchanka


Histoire

Dralot naquit en 1626 de l’ère commune. Sur la centaine d’œufs qu’eut sa mère, elle fut la seule à naître, avec ses frères, Gadok et Lukem, et sa sœur, Pakrag. Gadok mourru, quelques semaines après, d’une maladie. Sa fratrie l’oublia vite ; les faibles n’avaient pas leur place sur Tuchanka ; seuls les forts survivaient. Les autres n’étaient bons qu’à nourrir les prédateurs. Ainsi était leur monde : sauvage et impitoyable. Ils grandirent à son image.
Leur mère était Kalank Grurdok, encore qu’elle ne la connu pas plus qu’une autre. L’organisation du clan était telle qu’ils étaient sous la surveillance de plusieurs femelles, et éduquées par celles-ci. Bien sûr, leur génitrice faisant en sorte de les voir et se faisait connaître d’eux. Néanmoins et afin d’assurer la survie du groupe, toutes étaient responsables de diverses activités et nulles n’étaient destinées à pouponner à longueur de journée. Leur éducation était en tout cas celle que Grurdok avait voulu leur donner. Ils furent élevés dans les traditions krogannes, celles qui parlaient du sang et des Anciens.

Lorsqu’il fut assez âgé, Lukem fut chassé du clan des femelles et renvoyé aux mâles Kalank. Dralot et sa sœur continuèrent leur éducation. On lui apprit aussi que les mâles étaient des brutes imbéciles, incapable de réfléchir plus de quelques secondes si on leur agitait une Fertile sous le nez. Cela, il ne fallut pas longtemps avant qu’elle puisse l’observer. Il n’était pas rare que des envoyées du clan, parties négocier, ne reviennent avec un ou plusieurs hommes, autorisés, par leur bravoure, à résider chez elles. La jeune femme les haïssait. Ils étaient en effet idiots, papillonnant d’une femelle à l’autre, couchant avec qui l’acceptait, comme s’ils avaient gagné une quelconque récompense. Puis, ils disparaissaient, se contentant de guetter qui, parmi les enfants qu’elles leur envoyaient, leur ressemblait assez pour qu’ils puissent rêver d’un quelconque lien de paternité. Seule leur descendance les intéressaient ; ils n’avaient rien à faire de la douleur de l’accouchement, la douleur des fausses-couches, ni même de la honte de la stérilité. Tant qu’ils pouvaient prétendre avoir un fils ou une fille, ils étaient heureux. Ce mépris qu’elle leur portait était accru alors qu’elle voyait ses amies, souvent plus âgées, préférer s’offrir aux Dévoreurs après des naissances avortées. La mort, plutôt que le déshonneur d’être incapable d’enfanter.
Bien évidemment, elle haïssait le Génophage, cause de tous leurs mots. Par la faute des Galariens, ils étaient affaiblis. On leur avait retirés toute dignité, tout droit de se battre. Le pire était pour les femelles. Elles n’étaient plus des êtres vivants, mais bien des choses, réduites à des trophées. Pire encore pour qui était Fertile. Considérées comme de précieuses poupées, leur existence était presque cachée et l’idée même qu’elles sortent de l’enceinte protectrice du village était une horreur. Leur vie était réduite à la capacité d’enfanter. Rien d’autre ne comptait que les œufs qu’elles étaient capables de produire. Certaines le vivait comme un honneur tandis que bien de ses sœurs voyaient en leur utérus travailleur une malédiction.
Face à cela, la biotique considéra la maladie comme un défi. On avait voulu l’enchaîner ? Elle montrerait qu’elle était capable de dépasser cela. Les faibles mourraient. Les forts survivaient. Ses sœurs avaient préférés le suicide à la dure réalité. Elle allait se montrer plus forte qu’elles. Montrer qu’il était inutile de pleurer et, qu’un jour ou l’autre, elles arriveraient à produire une vie. Cette décision fut prise à son 112ième anniversaire. Il lui fallut trente-trois années exactement pour réussir cet exploit. Bien évidemment, elle n’accouchait pas à répétition, comme une vulgaire pondeuse. Son caractère impétueux et ses pouvoirs biotiques ne lui facilitait pas la tâche. Beaucoup, parmi les plus couards, préférèrent fuir son contact, craignant ses capacités. Rares étaient ceux qui y voyaient une preuve de force et se plaisait à venir la conquérir. En tout, elle fit une douzaine de fausse-couche avant que ne naisse sa fille. Oh, comme elle était fière à ce moment ! Seule parmi les fœtus silencieux, à observer. Jusqu’à ce qu’enfin, un mouvement n’attire son regard. Une petite, qui se débattait au milieu des coquilles, se battant déjà pour sa survie. Ah, comme elle avait ri à ce moment ! Un rire guttural de vainqueur. Qu’ils voyaient, ces Galariens ! Qu’ils observaient biens ! Elle avait enfanté. Tuchanka ne se laissait pas faire et ses enfants non plus ! Ils vaincraient, malgré les peurs sottes et les tentatives des autres de les museler.
Lorsqu’elle se calma, la Krogane ramassa avec milles précautions la petite vie. Elle passa quelques jours avec, observant, guettant si elle serait assez forte pour survivre. Puis, elle la confia à ses sœurs. Elle ne se ferait pas connaître d’elle ; selon son souhait, nulles n’étaient autorisées à évoquer cette vérité à celle qu’elle avait décidé de nommer Vix.

Après quoi, elle rejoignit les Chamans. Maintenant qu’elle avait vaincu la maladie honnie, elle ne se sentait plus la force de continuer. Elle avait réussi à donner une petite à leur planète. C’était suffisant. Elle considérait sa tâche comme accomplie. Les fausses-couches à répétition l’avaient marquée même si elle ne voulait pas se l’avouer. Ce n’était pas tellement l’idée des petits corps empilés, laissés aux charognards pour certains qui lui faisait du mal. Ni même le regard désapprobateur des mâles lorsqu’on leur annonçait qu’ils n’auraient aucun enfant d’elle. Non, c’était plutôt qu’une certaine mélancolie s’était emparée de son âme. Même physiquement, l’épreuve avait été éprouvante et l’avait laissé avec une impression d’épuisement. De plus, elle avait l’impression d’avoir réussi à accomplir sa mission. Désormais, rien ne la retenait ici. Pour autant, elle ne souhaitait pas mourir comme les autres avant elle. Elle n’enfanterait plus. Mais elle pouvait être la Gardienne de son peuple. Prouver sa force. Être leur mémoire. Veillez sur tous les fils et fils de Tuchanka.

Comme bien d’autres avant elle, elle dû passer les rites. Nul n’en parlait ; la seule chose qu’on voulut bien lui confier était la suivante : elle en ressortirait, changée à jamais, prête à entrer dans un nouveau monde. Ils avaient raisons.
Comme l’exigeait la coutume, on l’enferma dans une grotte, sans lumière et avec seulement sept jours de nourriture. Seule, dans le noir, Dralot fit ce qu’elle n’avait jamais fait auparavant : elle réfléchit, pensa, envisagea, médita. Auparavant, les occupations étaient assez présentes pour qu’elle n’ait pas le loisir de méditer. Ce n’était qu’alors qu’elle était privée de toute tâche qu’elle put se concentrer sur elle, leur monde, la galaxie et l’histoire de son peuple. A force de réfléchir, elle comprit. Que leur planète les façonnait, comme chaque planète façonnait ceux qui vivaient en son sein. Jamais les peuples ne pourraient se comprendre, car nul ne pourrait vivre ce que les autres vivaient. Et l’incompréhension amenait la peur, la rage, l’imbécilité.
C’était ce qu’étaient les mâles d’ici. Incapables de réfléchir plus loin que leur bout de leur nez, tout juste occupé à s’inquiéter de leur descendance. Jamais ils ne pourraient acquérir la sagesse car ils ne vivaient que de violence. C’était aux femelles, plus calmes et posées, de se charger de les guider.
Ses pensées divaguèrent sur la vie. Alors, elle comprit à quel point le Génophage n’était que la plus sublime et cruelle de ses représentations. La Vie était injuste. C’était ainsi. Qui vivait craignait, qui craignait agissait. C’était à cause de tout cela que la maladie était née. Qu’importait l’aide des Krogans lors de la Guerre Rachnis. Ils avaient créés de la peur, et on les avait injustement stérilisés.
La justice n’était rien d’autre qu’une idée. Elle n’existait pas. La seule chose qu’on pouvait faire était de lutter à son niveau. En tant que Chaman, elle le pourrait.

Au sixième jour, les vivres vinrent à manquer. Au septième, elle commença à avoir faim. Au huitième, elle comprit qu’on ne viendrait pas la chercher. Les aînés avaient raisons de lui dire qu’elle ne serait plus la même une fois sortie : soit elle serait morte, soit cette expérience faisait d’elle une autre femme. Quoiqu’il arrivait, la Dralot qui avait été scellée ne serait pas celle qui ressortirait. Forte de cette conclusion, elle se mit à creuser. Il lui fallut des jours pour réussir à trouver la sortie, creusant au hasard, à la force de ses mains. Elle puisa dans sa bosse afin de mobiliser toutes ses forces, luttant pour sa survie. Qui vivait ici, qui appartenait à sa race ne faisait que ça. Du jour de leur naissance à celui de leur mort.
Les forts vivaient. Les faibles mourraient.
Ce fut une charge biotique qui lui permit de voir le monde des vivants. Fatiguée et endolorie, elle avait senti ses doigts se heurter à une pierre, trop importante pour qu’elle puisse la déplacer par ses seuls muscles. Alors, en désespoir de cause, elle avait usée de ses pouvoirs, fonçant contre le mur afin de déloger le roc. Elle vola au loin, la laissant apercevoir le ciel pollué. Le contrecoup fut rude mais l’espoir renaissait. Après un peu de repos, elle parvint à mobiliser ses forces, dégageant assez les restes de terre pour se frayer un chemin vers la sortie. Après quoi, elle parvint à revenir au camp, prête à commencer sa seconde existence.

Désormais Chaman, ceux qui étaient biotiques l’aidèrent à développer ses pouvoirs, grâce à des entraînements quotidiens. Maintenant qu’elle était renait, elle voulait être connue comme une Gardienne des Traditions, mais aussi pour sa maîtrise de l’ézo. Autrefois, jamais elle n’aurait pensé progresser dans ce domaine. Le rite de la caverne lui avait démontré que c’était là que résidait son point le plus fort. Sans ça, jamais elle n’aurait pu sortir. Elle protègerait ses sœurs, mais aussi ses frères, grâce à ce don de Tuchanka. Durant 400 ans, elle affina ses pouvoirs, jusqu’à ce que sonne la fin, laquelle sera racontée plus tard.
En attendant, sa vie était calme. Les femelles étaient toujours confinées, et malgré ses sorties comme émissaires, rien de réellement spécial ne se déroulait. Les Kalank étaient trop importants pour qu’on se décide à leur lancer une guerre ouverte. Les plus petits qui s’y étaient essayés avaient été détruits. Elle eut à se battre, pourtant. Ne serait-ce que contre les mâles qui, offusqués qu’elle ne leur accorde pas de droit de visite, tentait de l’agresser. Elle avait tôt fait de les mater, surtout qu’ils attaquaient rarement en groupe et qu’elle avait des gardes du corps, encore qu’elle n’en avait pas tant besoin que ça. Il suffisait d’une projection pour que certains décampent.

En 2185, les choses commencèrent à changer d’une façon plutôt brutale. Le clan Urdnot se lança dans une campagne d’expansion impressionnante quand on savait que c’était un mâle qui était à leur tête et qu’il usait en majorité de négociations, parfois de méthodes plus violentes. Lorsqu’on lui demandait ce qu’elle en pensait, Dralot répondait que c’était impressionnant de voir un mâle capable de s’intéresser à autre chose que son carré. C’était en soit la preuve qu’elle avait au moins un peu d’admiration pour lui.
Pour autant, même les changements les plus brutaux prennent du temps sur l’échelle d’une planète. Certaines étaient lassées de ces combats, et n’y croyaient plus. Une partie croyait que leur salut viendrait d’ailleurs. Cela se renforça lorsqu’une rumeur commença à se propager. Celle d’un médecin galarien, qui les Uvneks avait pris, et qui travaillait sur la guérison du Génophage. Nombreuses furent celles du clan à y croire, encore qu’une partie seulement parti les rejoindre. Obéissant à son rôle de Chaman, Dralot et ses comparses retinrent ses sœurs par les paroles, les invitant à faire preuve de sagesse et ne pas croire les folles paroles que les vents portaient. L’avenir leur montra raison lorsque, plus tard, on apprit que celles qui s’étaient portées volontaires avaient été mutilées plus que soignées. Pourtant, une autre histoire surgit. Celles que des survivantes avaient été guéries et que des membres du GSI les avaient capturées. Qui aurait pu croire que cela était vrai ? Peu de monde. Et pourtant…
En 2187, alors que les Moissonneurs commençaient à envahir Tuchanka, l’humain Shepard et le scientifique galarien Mordin Solus, sur ordre du Chef de Guerre Urdnot Wrex, guérirent le poison. En échange, les Krogans qui étaient unifiés furent envoyés combattre sur les autres planètes. Il n’est pas faux de dire que la biotique les jalousaient. Malgré leur fertilité retrouvée, les femmes étaient encore cantonnées sur la planète, chargée de se reproduire et de se battre. Elles repoussaient les endoctrinés qui tentaient de les conquérir. Même Kalros, la Mère de tous les Dévoreurs, Âme de Tuchanka, défendit leur monde en abattant un Moissonneur, renforçant la terrible volonté de ses enfants.
Les faibles mourraient, les forts vivaient.

Puis, la guerre se termina et le nom de Shepard fut inscrit dans les mémoires des Krogans. Maintenant que le Génophage n’était plus et que le combat sur leur monde était fini, Dralot sentie une nouvelle fois que sa place n’était plus ici. Elle avait décidé qu’elle n’enfanterait plus ; la fin de leur stérilité ne la concernait plus.
Profitant du passage de nombreux vaisseaux mercenaire, elle s’engagea. Evidemment, elle ne le fit pas sous son vrai nom. A l’aide d’une armure intégrale et de ses traits troublants, elle s’engagea sous l’identité de Bratrog, guerrier muet puisqu’elle répondait la plupart du temps par un grognement. Pendant une dizaine d’année, elle parcourut la galaxie. Les missions auxquelles elle participa furent variées : protection, pillages, transports… Elle fit un peu de tout, encore qu’elle se refusa à certains actes.
Loin d’être comme ses confrères, lesquels cherchaient le luxe, elle apprécia la vie frustre qu’elle menait, notamment avec le manque de confort. Ses pouvoirs biotiques lui valurent d’être crainte, mais aussi respectées de certains, lesquels désiraient parfois faire d’elle leur foudre de guerre. Entre solitude et adoration, elle profita de la vie. Depuis qu’elle était sortie de la grotte, son cerveau n’avait jamais trouvé le repos et elle profitait des temps calmes pour réfléchir ou méditer.

Ce ne fut qu’en 2197 qu’elle décida de se révéler en tant que femme. Elle servait alors sous la bannière du mercenaire Katurar, lequel avait engagé en grande majorité des Krogans. Ils avaient réussis à intercepter et dominer un navire marchand. Leur chef voulait tuer la totalité des membres de l’équipage avant de procéder au pillage. Dralot s’y opposa vivement, ce qui valut un affrontement entre eux et leurs fidèles. Au final, ce fut la biotique qui gagna.
Tout comme une charge biotique marqua le début de sa seconde vie, ce fut ce même pouvoir qui marqua le début de la troisième. Grâce à ça, elle abattit le Krogan. Les plus virulents de ses partisans furent massacrés. Les plus modérés se virent offrir le choix : soit ils partaient après avoir déposés les armes et seraient laissés sur la planète habitée la plus proche, soit ils se battaient et mourraient. Soit, enfin, ils pouvaient la rejoindre. Il y eut des trois.
Elle libéra les marchands et prit possession du vaisseau, une corvette de ligne armée, de feu Katurar. Depuis, elle navigue avec ses hommes, obéissant à son propre crédo.

Les forts survivent. Les faibles peuvent se voir offrir un choix.


Apparence

Forte de ses deux mètres trente pour un poids de quatre-cent-dix-sept kilos, Dralot est à l'image même de sa race: Imposante.
Son apparence combattive est pourtant atténuée par la douceur de ses traits, lesquels sont particulièrement androgynes, même en termes Krogans. Sans doute que ses yeux bleus clairs et son regard souvent doux, ou en tout cas calme, contribue à lui donner un air "passif". Il n'en est pourtant rien, malgré son visage affichant souvent un air paisible. Il suffit de la jeter en combat pour voir qu’elle est plus féroce que diplomate.
Bien que cal soit difficile à voir pour les aliens - et nécessitant qu’elle retire son armure Fantôme – le corps de la femme est tout en muscles. Cependant sa bosse est plutôt moyenne pour une femme de sa trempe. Il ne s’agit pourtant pas d’une difficulté à chasser, mais plutôt d’un désir de garder une sensation de manque. D’après elle, cela ne la rendrait que plus enragée au combat.

Sa seule et unique arme est une Claymore usée, qui l’accompagne depuis son départ de Tuchanka. Les nombreuses rayures présentes sur l’outil ont été plus ou moins effacées par des réparations sommaires, mais l’aspect cabossé est ce qui plaît à la Krogane. Néanmoins, elle le garde surtout par nostalgie, ses attaques étaient plus basées sur la biotique et les coups de boule.
Par ailleurs, elle est incapable d’utiliser d’autres armes que les fusils à pompe.


Caractère

De par son passé, Dralot est ce qu’on peut qualifier d’une Krogane calme et réfléchit. Pour autant, elle est loin d’être rebutée par la violence. Au contraire, elle sait que la violence est une nécessité qui doit être utilisé. La seule chose qu’elle fait, c’est qu’elle l’utilise avec modération. En tout cas, modération selon la norme de son espèce.
Il n’est pas rare que ses longs silences, lorsqu’elle est seule ou même sur le pont, à regarder le vide intersidéral, soient la marque d’une réflexion profonde sur un sujet quelconque.
Ses pouvoirs lui permettent de renforcer son autorité naturelle, et elle le sait. S’il faut mater une rébellion ou faire une démonstration de force, elle n’hésitera pas un instant à les utiliser d’autant plus qu’elle les sait aiguiser. Au courant des efforts physiques que cela demande, elle fait en sorte de ne les utiliser « à fond » qu’en cas de nécessité, mais n’hésitera pas à dominer quelqu’un grâce à eux. La seule différence sera qu’elle évitera de le tuer. Son but sera alors uniquement de l’humilier.

Les femmes sont privilégiés par la biotique, laquelle n’a pas peur de le dire. En cas de conflit, à moins que les femelles ne soient considérées comme dangereuses, elle fera toujours en sorte de prendre leur partie. Toutefois, attention à qui cherche à abuser de cette préférence. Elle n’a aucun remord à tuer, qu’importe le sexe de son adversaire.
Les mâles sont considérés par elle, à l’exception d’Urdnot Wrex, comme des êtres imbéciles, prêt à se battre pour un rien et ce qu’importe leur espèce. Qui souhaiterait s’allier à elle devra lui prouver qu’il est digne d’intérêt et loin de ressembler à ses semblables.
Puisqu’elle a surtout côtoyé durant son existence des sœurs, elle tend à se montrer un peu plus « affectueuse » envers toutes les représentantes féminines. Comprenez par là qu’elle est moins propice à frapper et plus encline à leur parler, voir à leur enseigner la culture krogane.
Il est à noter que les Asaris ne sont pas considérés, par leur statut d’asexuées, comme étant de sexe féminin. Dès lors, elle se comporte avec elles comme si elles étaient des hommes.

Malgré son statut et ses ressources, elle préfère garder une sensation de manque, évitant le confort trop important ou de se bâfrer à la moindre occasion. Ce trait de caractère lui est resté depuis la fin de son rite dans la caverne. Comme elle aime à le dire « le manque l’a rendu plus forte et c’est lorsqu’elle souffrait qu’elle a réussi à dévoiler tout son potentiel ». Elle croit que ceci l’aide à la rendre plus puissante. Cependant, elle ne court plus autant derrière la force qu’auparavant.

Son code moral est très personnel, et dépend aussi de la situation. Rien n’est écrit dans la pierre, mais ce qui est inchangeable est le respect des traditions de son peuple. Puisqu’elle en est la Gardienne, quiconque entre sur son vaisseau doit les respecter. Du moins s’il appartient à son peuple. Elle n’attend rien de particulier des extraterrestres, mais avoir un minimum de connaissances sur ce sujet suffit à l’intriguer.


Compétences / Équipement


Équipement :

Armure : Fantôme - Armure lourde
Armes : Fusil à pompe Claymore
Armurerie : /

Compétences :

Militaire :
*Combat à distance: Maîtrise lourde
*Combat au corps à corps: KROOGAAAN! Ou entraîné

Biotique :
*Maîtrise biotique: Puissant
*Pouvoirs:
- Charge
- Impulsion
- Projection

Technologie :
* Omnitech simple
* Omnitech de combat
* Omnitech de défense




Compléments

: Signe(s) distinctif(s)Deux piercings au niveau de la mâchoire droite
Relations avec les autres :
Des liens prédéfinis ? : Non


Hors Personnage

Célébrité sur l'avatar (seulement si besoin) : /
Comment avez-vous connu le forum ? En le connaissant déjà, CQFD.
Est-ce un double compte ? A première vue, oui.
Des remarques ? KROOOOGAAAAAAN! AHOU! AHOU!




Adrien Annaz

Personnage RP
Faction : Alliance
Rang : Lieutenant
Adrien Annaz
Administrateur
Messages : 8542
Crédits : Matt Bomer - Lleyton Benam

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MessageSujet: Re: Récit de Kalank Dralot   Récit de Kalank Dralot Icon_minitimeVen 17 Avr 2015, 21:31
C'est tout bon.
 

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