Kora grogne un peu contre vous. Mais elle ne va pas en faire une affaire d'état. Epheth, quant à elle, vous fait un signe de la tête en guise de reconnaissance. Maintenant, il faut avancer.

L'escalier avait laissé place à un couloir, lequel est désormais jonché de cadavres d'ennemis malheureux d'avoir voulu s'opposer à vous. Il n'y a qu'une porte devant vous, fonctionnel, mais ayant l'air plus ou moins... ensanglantée. Pas le choix, de toute façon : vous la franchissez et bien plus prudent, vous dirigez votre arme contre ce qu'il peut se trouver derrière.

Heureusement, il ne s'agit que d'un panneau indiquant les différents étages et leurs spécialités. Niveau 0 - là où vous vous trouvez - ce sont les admissions, les urgences et le service du personnel. Le Niveau -1 contient le service en rapport avec la grossesse et les naissances. Le Niveau -2 concerne le traitement des maladies légères. Le niveau -3 concerne le traitement des maladies graves et/ou infectieuses. Et enfin, le Niveau -4 indique "Laboratoires & Morgue". En sommes, vous vous trouvez vraiment dans un hôpital basique. Et comme à l'usuel dans ce genre de bâtiment, il y a un passage à votre droite et à votre gauche. Sans doute qu'ils mènent au même endroit.

Bon, c'est malin. Mais on fait quoi maintenant ? Puitrucasse pourrait être n'importe où.

◊ Aller à droite.
◊ Aller à gauche.
◊ Examiner le panneau de plus près.

Gabe regarda vers la droite et décida de s'y aventurer avec ses compagnonnes.

Vous partez sur votre droite et tournez ensuite au coin qui s'offre à vous. Bizarrement, c'est ensuite un nouveau petit couloir qui se trouve là. La gauche vous aurait donc offert un chemin différent...

Quoiqu'il en soit, vous continuez dans votre chemin. Et au bout se tient l'accueil, modèle butarien. Lorsque vous vous approchez, vous remarquez un panneau, au-dessus de votre groupe. En vous dirigeant tout droit, derrière l'accueil, vous trouverez la DRH et le service du personnel. En tournant à droite, ce sont les services d'urgences. A gauche, une salle d'attente pouvant contenir - grand maximum - une vingtaine de personnes.

L'œil attentif, vous explorez. Toujours avec votre torche allumée, étant donné le manque de lumière. Kora passe devant vous et regarde ce qu'il se trouve derrière l'accueil. Elle vous fait un signe de la tête. Vous prenez ça pour un "Négatif". Pareil de votre côté. Pas de corps, de cadavres ou de moissonneurs à l'horizon. Constant aussi cet instant de tranquillité, la drell baisse son arme.

Ok. Je veux bien continuer à tourner en rond mais vous êtes d'accord : on est dans un gros foutoir, Wade. On nous avait indiqué qu'il n'y aurait pas d'ennemis, que ce serait une base... Résultat, on se retrouve dans un hôpital avec des moissonneurs et des foutus soldats de Cerberus en guise de décoration.

Je rejoins Zan'Kora. On savait déjà qu'il y avait une chance sur deux qu'on nous envoie au suicide. Mais là... Ça nous dépasse.

Elles ne prennent même pas la peine de chuchoter. Vous, vous vous contentez de regarder autour de vous, méfiant, en réfléchissant.

♦ Plus bas, vous deux. Vous risquez d'attirer du monde.
♦ Écoutez, on va fouiller chaque endroit pour en savoir plus. En attendant, on peut pas faire mieux.
♦ Écoutez, notre mission, c'est de mettre la main sur Puitrassier. Point final.
♦ Epheth, vous êtes médecin non ? Qu'est-ce que vous en pensez ?

Il était parfois rude mais il voulait garder un minimum de discipline dans les rangs. Il n'avait pas envie qu'une des deux prennent l'envie soudaine de déserter. Puis il espérait aussi que ce petit discours allait les booster un peu pour la suite.

Kora soupire et Epheth se contente de vous suivre, faisant mine d'être d'accord avec vous. Ils se souviendront de vos ordres et chercheront à trouver Puitrassier à tout prix.

Et où va t-on, maintenant, Gabe ?

Elles attendent vos instructions.

♦ On va tenter de trouver un moyen de contacter le Professeur. Dans le service du personnel, peut-être.
♦ On va tenter le service des urgences. Il y aura peut-être quelque chose d'utile.
♦ Il n'y a rien d'intéressant ici. On fait machine arrière.

Le Mercenaire regarda ses deux compères et partit en direction du lieu voulut, toujours aux aguets.

Vos compagnons vous suivent sans ronchonner et vous vous embarquez derrière le comptoir d'accueil. Très vite dans votre avancée, vous remarquez que le dit-service n'est pas très grand. Sur votre gauche, vous apercevez un tas de bureaux semblant abandonnées, derrière une vitre. Une porte doit se trouver plus loin. Avançant à pas de loup, vous remarquez quelques placards sur votre droite. "Archives", est-il indiqué. Momentanément, vous vous arrêtez.

Gabriel se dirigea vers les archives, à la recherche de la vérité.

Vos compagnons s'exécutent lorsque vous ouvrez la première porte qui vient. Eux se postent devant. Quant à vous, vous entrez à l'intérieur. Il fait toujours aussi sombre mais la salle est petite. S'il y avait eu un ennemi, vous l'auriez vu. Et tout ce que vous voyez, c'est un terminal avec quelques dossiers éparpillés. A priori, ils datent de l'ouverture du complexe, qui aurait l'air d'avoir eu lieu en 2180.

Autrement, vous vous dirigez vers le terminal. Un datapad se trouve à côté. Mais premièrement, vous activez le terminal. Quelques options s'offrent à vous et en cliquetant sur "Ok" à chaque fois, il vous logge automatiquement sur l'ID du Dr Nevaris. Là, vous pouvez constater que trois dossiers ont été ouverts récemment. Vous les parcourez vite fait et remarquez que tous ont besoin d'un code d'accès. Vous pousser un long soupire. Qui plus est, vous n'avez pris aucun spécialiste informatique avec vous.

◊ Jeter un coup d'œil au datapad.
◊ Sortir et fouiller les bureaux.
◊ Sortir et partir au bout du couloir.
◊ Sortir et faire marche arrière.

Le datapad ne révèle pas grand chose, mais ça n'en reste pas moins intéressant. Il y a écrit "Code d'accès : "afX174123". Cela ne vous avance pas à grand chose... Toujours est-il que vous pouvez toujours tenter d'ouvrir un des dossiers.

◊ Tenter d'ouvrir le dossier du Professeur Gendar Puitrassier.
◊ Tenter d'ouvrir le dossier du Directeur Amon Finasfayr.
◊ Tenter d'ouvrir le dossier de Cal Wood.
◊ Sortir et fouiller les bureaux.
◊ Sortir et partir au bout du couloir.
◊ Sortir et faire marche arrière.

Gabriel ouvrit le dossier de Putrassier, impatient de ce qu'il allait lire.

Vous tentez d'ouvrir le dossier, confiant... Et un "Code d'accès refusé" vient s'afficher. Vous faites grise mine. Vous regardez de nouveau le datapad. "Code d'accès : "afX174123". Plus que deux essais, du coup.

◊ Tenter d'ouvrir le dossier du Directeur Amon Finasfayr.
◊ Tenter d'ouvrir le dossier de Cal Wood.
◊ Sortir et fouiller les bureaux.
◊ Sortir et partir au bout du couloir.
◊ Sortir et faire marche arrière.

Information : Un nouvel objet a été ajouté dans votre inventaire.

Insatisfait, vous sortez de la petite pièce avec le code offert par la datapad. Vos compagnons vous demandent, naturellement, si vous avez trouvé quelque chose d'intéressant. Ronchon, vous ne leur dites rien et vous contentez de les diriger vers les bureaux.

Vous parcourez quelques mètres et vous finissez par trouver la porte qui mène à ces derniers. Vous laissez passer la quarienne, soit disant qu'elle est plus discrète. Puis vous entrer avec la drell. Tel que vous l'avez aperçu, la pièce a l'air vide. Dans l'immédiat, la seule chose à faire est de se disperser. Vos compagnons partent à la rechercher de renseignement sur les terminaux personnels et vous faites de même.

Assez vite dans votre investigation, vous trouvez un terminal allumé. Parcourant un peu la chose, vous trouvez une série de mails qui n'ont pas été effacés, du plus ancien au plus récent.

Vous vous éloignez de l'écran, ayant fait le plein d'information. Quant à Kora et Epheth, elles n'ont rien trouvé de pertinent. Il est temps de partir.

◊ Partir au bout du couloir.
◊ Retourner aux archives.
◊ Retourner à l'accueil.

Heureux de votre trouvaille, vous quittez les bureaux et retournez aux archives afin de lire le bon dossier. Tapotant sur le terminal, vous vous loggez de nouveaux et vous pouvez ouvrir le dossier du Directeur avec, cette fois, un code d'accès fonctionnel.

Vous en savez donc plus sur le centre dans lequel vous vous trouvez. Mais vous ne pouvez pas ouvrir plus de dossier pour l'instant.

◊ Partir au bout du couloir.
◊ Retourner à l'accueil.

Information : Un nouvel objet a été ajouté dans votre inventaire.

Cette fois, vous en avez eu pour votre argent. Vous sortez donc des archives et dites à vos deux compagnons de vous suivre jusqu'au bout de couloir. Vous longez les murs, dépassant les bureaux que vous avez trouvé au préalable. La porte du fond se rapproche de plus en plus et vous finissez par remarquer la plaque qui garnie cette dernière. "Bureau du Directeur". Sautant sur l'occasion, vous tentez d'ouvrir. Elle est verrouillée... Mais un message s'inscrit. "Entrer le code". A priori, vous constatez qu'il y aurait de la place pour deux termes différent dont un plus long que l'autre. Réfléchissant ensemble, Epheth vous indique qu'il s'agit peut-être de quelque chose que le Directeur aime.

◊ Introduire le code [à vous de le deviner]
◊ Retourner à l'accueil.

Vous tentez le code un peu à l'aveugle... Et miracle, ça fonctionne ! Kora, qui avait ricané après que vous ayez tenté de coiffer votre casque, a le bec cloué. Pendant ce temps là, Epheth et vous pénétrez à l'intérieur du bureau. Celui-ci est spacieux, pouvant être artificiellement éclairé et a même le droit à son canapé personnel. Le bougre de directeur aimait le confort.

Quoiqu'il en soit, vous vous précipitez sur son ordinateur. Sans aucun remord, vous démarrez ce terminal précis. L'écran se brouille au bout de quelques secondes et vous regardez vos deux compagnons inspecter la pièce. Et sans prévenir, une image vidéo s'affiche. Vous voyez un butarien de dos. Il est interpellé par un bruit et par réflexe, il se retourne. Et se rapproche très rapidement de l'écran.

Il n'avait pas l'air de savoir quelle émotion privilégier entre la colère et la surprise.

♦ Il fallait bien que je trouve un moyen de vous contacter, non ?
♦ Vous croyez que je serais ici si je n'étais pas compétent ?
♦ C'était un ami à vous, non ? Il avait de bons goûts.

Puitrassier se caresse ce qui lui sert de menton après votre vantardise évidente.

Il avait du culot, sachant qu'il vous a laissé un peu entrer un peu sans aucune indication.

♦ Il faudrait peut-être me dire où vous êtes, du coup.
♦ Je n'ai lu nulle part que c'était votre complexe personnel. Ça m'a plutôt l'air d'être un hôpital.
♦ On ne m'a jamais précisé que je devais vous sortir vivant, vous savez.