Née en 1697, Ayara est issue d’une union de sa mère avec un général turien, rencontré sur la Citadelle durant une permission. Celle-ci est alors une des proches de la conseillère asari, qu’elle aide dans plusieurs domaines, qu’il s’agisse de lui indiquer les positions politiques les plus populaires comme de chercher des renseignements compromettants sur certaines personnes d’importances. De temps en temps, il était également nécessaire que Vana use de ses charmes pour obtenir l’une ou l’autre information, ce qui fut d’abord le cas avec le général Algor Vartas, envoyé par la Hiérarchie pour négocier un accès des forces armées turiennes à plusieurs laboratoires expérimentaux asaris, suite à un obscur imbroglio politique, comprenant notamment l’assassinat d’un dignitaire turien avec une arme expérimentale asari.

Le fait que ce jeune général fasse son entrée dans la politique par cet événement était fâcheux par bien des points, notamment parce que les diplomates asaris chargées de négocier ne savaient rien sur lui, aussi il fut décidé d’en apprendre plus, par tous les moyens nécessaires. Il ne fallut à Vana que deux ou trois rencontres pour entraîner le général dans son lit, et quelques nuits afin d’en apprendre suffisamment pour permettre au corps diplomatique de préparer sa position au mieux. Selon toute logique, Vana aurait dû couper les ponts avec Algor Vartas, mais elle avait trouvé en lui une droiture presque parfaite, un courage et une honnêteté qu’elle n’avait plus croisé depuis longtemps chez les politiciens, ce qui la poussa à entretenir une relation plus officielle avec lui, bien qu’elle attendit la fin des tractations pour l’officialiser. Si l’issue de ces pourparlers demeura secrète et gardée loin des archives, l’union de Vana et du général donna, elle, lieu à la naissance d’Ayara Vartas-T’Xin. Elle vint au monde sur Thessia, où sa mère avait insisté pour accoucher, entourée de sa famille et de ses proches, ainsi que d’une partie de la famille turienne d’Algor. Celui-ci dut par la suite reprendre ses obligations au sien de la Hiérarchie, laissant sa compagne et sa fille en arrière, non sans leur promettre de les rejoindre dès qu’il le pourrait.

Après une première année sur Thessia, l’enfance de la jeune asari se déroula sur la Citadelle, où son père obtint un poste de moindre importance, pour rester avec sa famille. Elle vécut celle-ci de façon heureuse, et put recevoir, grâce à l’influence de sa mère auprès de la conseillère asari, les meilleurs enseignements en matière de biotique et de diplomatie. Son père, lui, se chargea très tôt de lui apprendre à se défendre au corps à corps, puis, plus tard, à se servir d’un pistolet de façon à pouvoir se défendre s’il fallait en arriver là. Lorsqu’elle eut 23 ans, Ayara dut cependant choisir sa voie d’une façon assez singulière : lors d’un désaccord sur son avenir, ses parents avaient tout deux usé de leur influence pour lui offrir une opportunité de voir le monde, comme le besoin s’en faisait sentir en elle : En bon Général, Algor ne rêvait que de voir sa fille devenir un soldat émérite, alors que Vana pensait que sa fille serait bien plus compétente et utile aux Républiques et au Conseil en tant que diplomate. Le premier obtint donc à Ayara une place sur un croiseur concilien, tandis que la deuxième fit marcher ses connexions pour lui obtenir un poste d’assistante auprès d’une ambassadrice asari.

Le choix fut difficile pour la jeune femme, qui ne voulait décevoir aucun de ses parents, mais elle finit néanmoins par accepter l’offre de sa mère, et rejoignit le corps diplomatique asari en tant qu’assistante personnelle de l’ambassadrice Faore, étoile montante de la politique extérieure asari, et amie proche de sa mère. Bien que son père lui assura respecter son choix et être fier d’elle, Ayara n’eut aucun mal, malgré son jeune âge, à voir l’étincelle d’espoir de voir sa lignée de guerriers se perpétuer s’éteindre lorsqu’elle lui annonça son choix. Ce même regard qu’elle aurait à affronter des années plus tard, à la mort de celui-ci.

Le travail d’assistante n’avait rien de passionnant, et consistait bien souvent à arranger les rendez-vous, à faire coïncider les agendas, à télécharger des fiches d’identification, réserver des chambres d’hôtel quand c’était possible, et briefer l’ambassadrice quant aux rencontres qu’elle aurait à faire, aux discours et aux soirées auxquelles elle devrait participer. Cependant, Ayara comprit bien vite que l’intérêt principal de cette fonction n’était pas dans les tâches à accomplir, mais dans les lieux qu’elle visitait, les espèces qu’elle rencontrait, le fait de voir sa supérieure se jouer de tous les tempéraments, son adaptation à chaque personnalité. Son apprentissage se situait surtout là, et Ayara prit un soin extrême à étudier les différences, parfois infimes, entre les différents grades de la Hiérarchie turienne, les castes galariennes. Elle s’intéressa ensuite aux méthodes de négociations volus, ainsi qu’à la foi sans failles que les Hanaris vouaient aux prothéens. Lors d’un voyage sur Tuchanka, Ayara tenta même de comprendre les traditions des différents clans krogans, sans succès malheureusement, ceux-ci restant très fermés au sujet de leurs coutumes.

Ce fut durant ces premiers voyages qu’Ayara connut sa première Fusion, avec un jeune officier turien chargé d’escorter la suite de l’ambassadrice durant un séjour sur Palaven. Découvrant les joies de l’amour, Ayara se détourna un temps de l’examen minutieux des autres espèces pour se tourner vers les plaisirs que lui offraient la vie, se contentant de fournir à sa supérieure le travail qu’elle lui demandait d’accomplir, rien de plus, rien de moins. Elle s’adonna ainsi au jeu, à la boisson, et à tous les plaisirs que leurs différentes étapes pouvaient lui apporter. Finalement, elle finit par quitter le service de l’ambassadrice alors qu’elle était âgée de 84 ans, pour parcourir la galaxie par ses propres moyens et découvrir une autre façon de vivre.

Le début de ses errances s’avéra difficile, Ayara ayant parfois du mal à financer son train de vie souvent déluré, malgré l’aide financière envoyée chaque mois par sa mère. Atterrissant sur Ilium, elle finit par se lier d’amitié avec un groupe de jeunes asaris qui cherchaient également un moyen de gagner de l’argent relativement facilement. Ensemble, elles décidèrent de monter un réseau d’informations, se servant de leurs charmes pour obtenir des renseignements gênants, importants, ou simplement compromettants. Ayara se montra vite extrêmement douée pour ce genre de jeux, se servant de ce qu’elle avait appris pour paraître la plus attirante possible aux yeux de ses proies, elle devint bien vite la plus efficace de ses comparses, si bien que, par manque de prudence, elle finit par être repérée, et sa tête mise à prix par l’un ou l’autre riche négociant à qui elle avait arraché des secrets commerciaux.

Devant quitter Ilium en urgence, l’asari chercha un moyen de se faire oublier, et finit par entrer en contact avec un butarien, qui se présenta comme étant un agent du Courtier de l’Ombre. Celui-ci se proposa d’effacer toute trace de mise à prix concernant Ayara, en échange de quelques services, en temps voulu. Sautant sur l’occasion, Ayara accepta bien vite, pour ensuite s’en retourner à ses distractions, loin d’Ilium et d’éventuels ennuis.

Quelques années plus tard, Ayara revint pour la première fois sur la Citadelle, afin d’assister à la crémation de son père, décédé à l’âge honorable de 153 ans. Alors âgée de 105 ans, la Demoiselle n’eut pas l’occasion de parler une dernière fois à son père, mais celui-ci lui avait laissé un enregistrement, dans lequel il lui répétait qu’il était fier d’elle, et qu’un jour, elle ferait de grandes choses. Malgré tout, ce fut ce manque d’espoir dans les yeux de son géniteur, le même qu’elle avait perçu lors de son départ, qui marqua Ayara plus profondément que les mots. Ce furent ces yeux qui mirent plus tard un terme pour de bon à ses errements, ces yeux qui la hantèrent et la hantent encore parfois dans ses mauvais rêves. Malgré tout, Ayara, poussée par sa soif d'aventures etla eur d'affronter le regard de sa mère, reprit la route pendant encore un siècle, offrant ses services comme courtière en information privée auprès de différentes sociétés, à qui elle fournit des résultats plutôt satisfaisants.

De retour sur la Citadelle, alors âgée de 210 ans, et forte de ses compétences en recherche d’information, Ayara accepta d’abord un poste d’analyste pour le Conseil, poste dans lequel elle excella, s’attirant les compliments de ses supérieurs. Néanmoins, l’asari n’était pas satisfaite de son travail, qu’elle quitta en 1827 pour un poste de diplomate, qu’elle obtint grâce à ses connaissances, et non plus grâce aux faveurs de sa mère, devenue une proche conseillère de la conseillère asari. D’abord affectée à des affaires sans importances sur la Citadelle, Ayara renoua néanmoins avec les subtilités de la communication inter-espèce, et parfois la difficulté à s’entendre. Le fait d’être au commandes apporta une responsabilité supplémentaire à la jeune Asari, qui se devait en plus, faute d’importance, de tout gérer seule, n’ayant pas d’assistante à sa disposition.

Les premières affaires qu’elle traita s’avérèrent pour la plupart des échecs, aussi se résigna-t-elle, encore une fois, à demander l’aide de sa mère. Celle-ci lui offrit les conseils dont elle avait besoin, la conseilla sur les formations qu’elle devait suivre, notamment dans le domaine économique et légal, les connaissances de base d’Ayara ne suffisant forcément plus pour gérer des affaires sans personne d’autre pour la conseiller. Si l’asari ne devint pas une experte du jour au lendemain, elle fut bien vite capable de tenir une négociation, et son taux de réussite se fit plus important, si bien qu’on finit par lui faire confiance sur des affaires plus importantes.

Ayara connut un tournant décisif dans sa carrière 12 ans après l’exil Quarien, lorsqu’elle fut mandatée en secret pour garder un certain contact avec la Flotte, de façon à ne pas laisser tout un peuple basculer dans la piraterie, ou simplement disparaître. Cela devait se faire de façon officieuse, à travers des contacts sécurisés, non enregistrés, qui ne permettaient en rien de prouver que les asaris gardaient un contact régulier avec les Quariens. Il était raisonnable de penser que les autres races devaient également le faire, mais il convenait avant tout de conserver les apparences, et le bannissement des Quariens était encore trop récent que pour laisser pareille liaison éclater au grand jour.

La jeune diplomate avait été choisie en grande partie pour le fait qu’elle avait désormais une certaine expertise en matière de diplomatie, mais qu’elle n’était pas connue du public, aussi il était probable qu’elle ne soit pas surveillée par d’autres politiciens ou journalistes. Ayara basa tous ses contacts sur le respect de la culture quarienne, se montra d’abord ouverte et compréhensive face à l’hostilité latente de ceux-ci suite à la fermeture de leur ambassade, prit autant de renseignements qu’elle le pouvait sur leur organisation, au point de pouvoir nommer les enfants de chaque amiraux et de certains capitaines de vaisseau par leur prénom. Ayara se plait à penser qu’elle a permis aux relations entre quariens et asaris de ne pas s’envenimer, voire à s’améliorer d’une certaine manière, même si à l’époque, elle n’avait pas les informations nécessaires pour être certaine qu’elle était la seule à agir dans ce sens.

Pourtant, lorsque les relations entre le Conseil et les quariens s’apaisèrent, ce fut Ayara qui fut chargée de faire la liaison entre la Flotte et le Conseil, qui devait s’assurer qu’ils respectaient bien les accords commerciaux lors de leurs échanges, gérer les problèmes pouvant survenir suite aux Pélerinages, ainsi que tout autre sujet lié aux affaires quariennes. Ce fut sur cette base qu’Ayara bâtit sa réputation, et son importance pour le gouvernement.

En effet, de par leur nomadisme forcé, les quariens se trouvaient souvent en contact avec les différentes espèces conciliennes, si bien que l’Asari pu nouer des contacts avec certains politicens qui ne faisaient alors que leur début, pariant sur leur réussite future. Certains furent des échecs, d’autres des réussites, mais Ayara parvint petit à petit à se faire un nom en politique, jusqu’à obtenir le statut officiel d’Ambassadrice, lors de la Guerre du Premier Contact.

Ayara fit en effet partie de la délégation concilienne, en compagnie d’autres asaris, de galariens et de turiens. Participant activement aux discussions de paix, ce fut notamment elle qui obtint que les turiens ne soient pas dans l’obligation de faire des excuses publiques aux humains, ce qui aurait sans aucun doute créé plus de tensions qu’il n’y en avait déjà entre les deux races. Les deux races finirent par s’entendre pour ne pas admettre une faute totale, et s’ensuivit une paix durable. Lors de ces négociations, Ayara fit également la connaissance d’un politicien turien, avec qui elle eut deux filles, Demya et Jina, qui choisirent toutes deux d’entamer la formation de Chasseresse lorsqu’elles furent en âge.

La mère d’Ayara, Vana, finit elle par retourner sur Thessia, ayant le sentiment de ne plus pouvoir rien apporter à la Citadelle. Elle y prit un rôle important dans la vie de la planète, offrant son avis et son expérience à celles qui voulaient l’écouter. De son côté, Ayara continua à gagner en influence, notamment en s’imposant comme médiatrice entre les humains et les turiens, puis en cherchant, sans succès, une solution face à l’escalade des violences entre Butariens et humains sur Anhur, où elle manquera de peu d’être tuée lorsque la guerre civile éclata.

Jusqu’à la Grande Guerre, Ayara continua à appuyer le Conseil et son gouvernement de son mieux, négociant des accords commerciaux, résolvant des litiges et étouffant des conflits dans l’œuf. Lorsque les Moissonneurs envahirent Palaven et la Terre, elle compta parmi celles qui voulaient apporter leur soutien aux races conciliennes, et apporta en sous-main un soutien aux Asaris révoltées par le secret de la balise prothéenne, apportant également lors des débats l'idée qu'i était temps pour les asaris de s'ouvrir un peu plus aux autres peuples. Elle perdit également son compagnon durant la guerre, celui-ci s’étant fait tuer lors de la défense de Palaven. Ses deux filles, fort heureusement, ne furent que moyennement touchées par la guerre, et survécurent toutes les deux aux combats lors de la reprise de Londres, notamment grâce à l’aide de combattants humains.

Les années qui suivirent la Grande Guerre furent celles de l’ascension d’Ayara, qui sut utiliser à bon escient la popularité qu’elle avait gagné pendant la guerre. Elle sut, grâce à des conseillers et à son expérience, associer son nom aux bonnes campagnes d’aides et de reconstruction, qu’il s’agisse de Thessia ou de planètes amies. Elle s’intégra totalement au paysage politique intérieur comme extérieur, mit en avant certains événements de sa vie et en occulta d’autres. En bien des points, elle s’inspira de la politique humaine pour se forger une image auprès des autres races, jusqu’à devenir l’une des ambassadrices les plus influentes et les plus demandées dans la galaxie. Et, pour finir, elle saisit l’opportunité d’investir ses propres richesses dans certaines entreprises, qui prirent leur essor dans la reconstruction du monde, sécurisant ainsi une somme plus que correcte. Certaines asaris voient en elle la prochaine Themessianne, d’ici un siècle ou deux peut-être, d’autres pensent qu’elle acceptera plutôt la place de Conseillère, mais la plupart pensent qu’elle est promise à un brillant avenir… Même s’il se murmure dans les hautes sphères que, malgré tout ce qu’elle a, l’Ambassadrice est loin d’être heureuse, et ne chercherait que la reconnaissance de son père.

Mesurant 1 mètre 78, Ayara est relativement grande parmi son espèce, et reste dans les standards esthétiques de celui-ci, son poids ne dépassant pas les 68 kilos. Ses yeux, de même que sa peau, sont de couleur azurée, cette dernière étant presqu’uniforme si ce n’est pour la pigmentation des appendices du haut de son crânes, et les quelques tâches plus claires sur son visage. Ayara a préféré ne pas se faire tatouer comme d’autres Asaris peuvent le faire. Néanmoins, elle prend grand soin de son visage, usant de cures afin de garder un teint frais quelles que soient les circonstances .

De la même façon, Ayara fait en sorte que son apparence soit toujours parfaitement adaptée à la situation, sachant pertinemment que son influence et son image dépendaient en partie de son corps, pas uniquement de ses idées. Elle s’offre dès lors une garde-robe entièrement faite sur mesure, selon les standards et les modes actuelles, n’hésitant pas parfois à adopter une tenue plus proche de la mode des espèces avec lesquelles Ayara doit négocier. En tant normal, elle reste cependant dans les standards asaris, adoptant des robes près du corps, mettant en valeur ses formes.

En effet, Ayara ne fait pas exception à son espèce, et présente un corps dénué d’imperfections, une poitrine plutôt généreuse et une allure élancée et sportive, cependant elle n’a pas la musculature aussi développée que les Chasseresses de sa race, étant très loin de l’entrainement des guerrières asari. Elle garde également une attitude et un non verbal posé, veillant à rester altière et droite lorsqu’elle négocie, cherchant avant toute chose à maintenir le paraître, même si cette attitude peut changer en privé. De la même façon, sa démarche et son attitude son en parfaite adéquation avec sa position, préférant adopter une démarche plus marquée et agile, Ayara cherche par tous les moyens d’afficher son rang en société.

Attachant tout autant d’importance aux détails, Ayara est toujours manucurée finement, de façon à ce que ses mains semblent naturelles, mais néanmoins parfaitement soignées. Elle porte également un parfum discret mais agréable, qu’elle change également parfois en fonction des goûts de la partie adverse qu’elle doit rencontrer.

Comme tout politicien qui se respecte, Ayara excelle dans l’art du paraître, peut-être plus que dans celui de l’être. Elle a appris depuis longtemps l’art de ne dire que des demis vérités plutôt que de mentir, afin de ne pouvoir être attaquée par la suite. Minutieuse de nature, elle ne laisse pas les détails dans l’ombre, préférant parfois perdre un peu de temps pour être certaine de bien comprendre une situation plutôt que de s’y lancer hâtivement. Cette attention pour le détail peut d’ailleurs facilement tourner en une obsession, par exemple lorsqu’Ayara ne parvient pas à apprendre ce qu’elle veut savoir.

Etant issue d’une éducation des plus strictes, Ayara est quelqu’un d’agréable et posé lorsqu’elle se trouve en public. Ayant la conversation facile, elle est de bonne compagnie et généralement appréciée par ses interlocuteurs. Cultivée, elle est capable de discuter sur de nombreux sujets, cependant son âge l’amènent trop souvent à tenir ses positions face à des races plus jeunes, voire à montrer une pointe de condescendance. Malgré ses expériences, Ayara ne peut parfois pas s’empêcher de faire remarquer à ses interlocuteurs plus jeunes le manque de vision de leurs propos, surtout lorsqu’ils se montrent trop sûrs d’eux en sa présence.

En privé, Ayara joue un rôle moins feint, laissant transparaître auprès de ses proches une certaine mélancolie lasse, due à des pensées trop souvent ressassées. Les personnes capables de réellement éclairer sa journée sont rares, et se comptent sur les doigts d’une main jusqu’à présent.

Malgré des préjugés quant à l’impulsivité et le manque de maturité de certaines espèces, Ayara n’est pas foncièrement xénophobe. Pro-concilienne, elle pense cependant que seules les asaris sont capables de guider les autres espèces, de par leur longévité et leur ancienneté sur l’échiquier galactique. Elle entend dès lors donner ce rôle de guide à son peuple, afin de permettre aux autres espèces d’évoluer sur la bonne voie. En revanche, elle éprouve une certaine inimitié avec les Krogans, dont elle considère qu’ils ont totalement gâché leur potentiel en se tournant vers la guerre et la violence.

Pour terminer, Ayara voue une grande importance à la famille, et la place au dessus de ses intérêts, comme ont pu le faire ses parents avant elle.

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Équipement :

Armure : Tenue civile, sauf situations extraordinaires
Armes : Dans les situations "dangereuses", peut porter un pistolet Acolyte
Armurerie : Aucune autre

Compétences :

Militaire : Maîtrise basique du tir, Combattante corps à corps entraînée
Biotique : Biotique entraînée, maîtrise la barrière biotique, Impulsion, Lévitation, Projection, Singularité
Technologie : Omni-Tech simple, avec permissions diplomatiques

Signe(s) distinctif(s) : Relativement connue dans le monde politique
Relations avec les autres : Posée, polie et calme
Des liens prédéfinis: Pas pour l'instant

Célébrité sur l'avatar (seulement si besoin) : Nope
Comment avez-vous connu le forum ?: Google
Est-ce un double compte ? Non
Des remarques ? Merci d'avoir lu L'Histoire peut paraître peu précise, mais j'ai tenté de faire relativement court, j'espère pouvoir apporter des précisions via des RPs BG plus tard. N'hésitez pas à en demander si des points sont trop flous, ceci dit