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 Présentation de Ravilla Aper

Ravilla Aper

Personnage RP
Faction : Hiérarchie
Rang : Lieutenante
Ravilla Aper
De Sang et d'Acier
Messages : 1383
Crédits : Davinarfel

Présentation de Ravilla Aper Empty
MessageSujet: Présentation de Ravilla Aper   Présentation de Ravilla Aper Icon_minitimeJeu 09 Oct 2014, 18:06
Registre Galactique des espèces
PRENOMS / NOM DU PERSONNAGE

Informations primaires

Sexe :  Femelle
Race : Turienne
Âge : 35
Faction :  Armée Turienne
Poste / Grade : Adjudant
Parenté : Fille de Sertor et Cotta Aper, tous deux décédés sur Palaven lors de la guerre contre les Reapers
Situation maritale : Célibataire
Planète d'origine : Palaven


Histoire

Ravilla tapota nerveusement des doigts sur le rebord du fauteuil. Son regard coulait souvent vers la porte. D’après ses estimations, elle pouvait l’atteindre en cinq ou six secondes et être au bout de l’avenue dans quinze. Il faudrait peut-être frapper son assaillante, ce qui lui rajouterait trois secondes de plus. Est-ce qu’il y avait un service de sécurité ? Si oui, ça compliquerait les choses…
L’Asari, elle, continuait à la regarder avec un grand sourire, comme si elle avait l’habitude. Puis elle croisa les jambes, sortit un datapad et commença à le consulter, sans démordre de sa bonne humeur feinte.

-Ravilla Aper, enchantée de vous rencontrer. Vous êtes ici sur demande de votre Lieutenant, n’est-ce pas ? Il parait que vous êtes anormalement nerveuse ces derniers temps et que vous dormez mal.
Je vous propose de me parler de ce qui vous préoccupe afin que nous voyions ensemble comment vous aider.


Un claquement fut sa seule réponse. La turienne ne semblait pas vouloir en discuter. La médecin tenta de convaincre sa patiente du bienfondé de  la thérapie pendant plusieurs minutes. Face à l’inefficacité de sa tactique, elle décida de changer sa formulation pour une plus adapté aux patients turiens récalcitrants. Elle minauda presque, prenant une voix aussi mielleuse que possible :

-Ecoutez, peut-être que vous avez du mal à assumer une de vos décisions passées…

Cette fois-ci, la réaction ne se fit pas attendre. En même temps, le sous-entendu relevait de l’insulte. Le ton froid avec lequel la soldat parlait

-Qu’est-ce que vous voulez savoir ?

La psychologue retint un sourire pour prendre un air plus humble. Intérieurement, elle se félicitait de la facilité qu’avaient les turiens à se prêter à l’exercice. Enfin, dès lors qu’on mettait en doute leur sens de l’honneur.

-Parlez-moi de votre famille par exemple, des évènements marquants de votre vie… Tout ce qui pourrait nous aider à comprendre votre trouble.

Aper finit par se prêter à l’exercice, sur un ton calme tandis qu’elle regardait fixement par la fenêtre de l’hôpital.

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Elle s'appelait donc Ravilla Aper. Fille de Sertor Aper, médecin, et de Cotta Aper, ancienne lieutenant dans l'Armée Turienne et revenue à la vie civile à ses cinquante ans. Elle était née sur Palaven, et plus exactement à Cipritine, en 2164. Un frère aîné, né en 2160, et une jeune soeur, née en 21682 pour mourir suite à une malformation cardiaque en 2174.
Elle avait suivi le cursus classique des turiens et avait fait ses classes en 2179 On leur avait fait suivre des cours de stratégie, de logistique, appris à manier les armes, à suivre les ordres, ne jamais paniquer sous le feu ennemi... Par ailleurs, si elle avait touché à tout lors des entraînements aux tirs, elle s'était vite tourner vers les fusils de précisions. Elle adorait le bruit que faisait un coup de Veuve, plus encore celui de la Veuve Noire. A chaque fois qu’elle tirait avec, elle ne pouvait empêcher ses mandibules de claquer, trahissant son excitation. Même le bruit du Mantis ou du Viper était plaisant à ses oreilles. Elle en avait passé des heures au stand de tir, à peaufiner sa visée, à mieux appréhender les reculs, à apprendre à recharger aussi rapidement que sûrement. A vrai dire, elle avait fini par y aller dès qu'elle avait besoin de se défouler, que son moral était un peu bas ou qu'elle voulait fêter une nouvelle.
Quand elle fut envoyée sur les champs de bataille, elle apprécia encore plus son choix d'arme. Se retrouver, dos contre son couvert, à recharger son arme tandis que les coups de feu fusaient, ça avait un goût unique. Comme une bulle de calme en pleine tempête. Et puis, se relever, chercher la prochaine cible, sans perdre de temps, viser et tirer. Le mieux, c'était quand elle réussissait à prévoir les mouvements d'un ennemi et qu'elle l'abattait en pleine action.

En 2186, les Reapers arrivèrent. Le début du cauchemar.
-----------------------------------

-Prenez votre temps. N’hésitez pas à respirer si ça peut vous aider à rester calme.

Aper jeta un regard perplexe à l’Asari. Celle-ci désigna les mains de sa patiente.

-Vous tremblez.

C’était le cas. Elle ne s’en était pas rendu compte, mais elle se tenait les mains, lesquels étaient agitées de légers tremblements. Instinctivement, elle resserra sa prise, cherchant à se calmer. La guerre avait laissé des marques sur bien des soldats assura la médecin. Cependant, elle se retint de dire que les patients turiens étaient rares. Leur goût du secret et de l’abnégation les rendaient rares à venir consulter.

-Reprenez dès que vous vous sentez prête.

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L'invasion de Palaven donc. Ravilla était en service sur un vaisseau militaire, le Karvy, lorsque les Reapers arrivèrent. La capitale fut la première visée. Lorsqu'elle apprit la nouvelle, la turienne tenta de contacter sa famille. Sans succès, malgré ses nombreuses tentatives. Pourtant, elle ne perdit pas espoir. En tout cas pas tout de suite. La famille de son père habitait une colonie et ses parents allaient souvent les voir, aussi elle tenta de se rassurer en se disant qu'ils devaient y être. Et si chaque appel en absence continuait à lui glacer le coeur, elle n'en démordait pas. Elle reçut bien vite des nouvelles de son frère, lequel était garde du SSC, sur la Citadelle. Au moins, cela la rassura un peu. Et puis, de toute façon, la guerre ne lui laissa pas vraiment le temps de s'inquiéter.
Comme d'autres régiments, le sien fut envoyé auprès de différentes colonies turiennes. Leur but, outre de lutter contre les Moissonneurs, était d'aider les civils à évacuer les zones attaqués. Et les combats furent nombreux. Ce n'était pas rare qu'ils passent des jours et des nuits au milieu de ruines, à essuyer les tirs ennemis, afin de défendre une position.
Elle avait vu des alliés tomber au combat, d'autres devenir ces... choses au service des Reapers. Des civils trop lents se faire massacrer par des zombis, ou bien piégés dans des bâtiments en flamme. Qu'importe l'endroit où ils se rendaient, c'était la même chose qui se répétait. Le chaos et la destruction marchant main dans la main. A ce moment, on pensait encore que certains endroits pouvaient être sauvés et que d’autres, comme la Citadelle, pouvait rester intouchés.

Et puis évidemment, pour bien détruire l’espoir qui restait, il y avait eu l'attaque de la citadelle par Cerberus. Juste quelques jours avant qu’Aper n’ait sa permission. Comme si la guerre ne suffisait pas, cette foutue organisation humaine avait décidé de se manifester. Ils avaient réussis à infiltrer le complexe et à semer la panique, tuant civils et membres du SSC. Son frère faisait partie des victimes, mais ça elle ne l’apprit que plus tard. Lorsqu’elle y débarqua à vrai dire.
Elle eut le temps de faire quelques pas sur le quai 57 où leur vaisseau venait d’amarrer qu’un officier humain avait débarqué, demandant à lui parler « en privé ». Et puis, il avait présenté ses respects, condoléances, tout le tintouin habituel qu’on adresse aux familles après lui avoir annoncé la mort d’Hek’. Pendant un instant, la turienne resta sans bouger, ne semblant pas comprendre ce qu’on tentait de lui dire. Le temps de réaliser, que les mots prennent un sens.
Elle avait passé deux jours à se saouler au Purgatory avec d’autres du régiment dans le même cas qu’elle. Ils avaient échangés des anecdotes sur leur famille disparue, promis de massacrer les Reapers qui se présenteraient, ils avaient dansés comme des imbéciles….
Ensuite, elle s'était reprise et avait passé le reste de sa permission au stand de tir.


Il y avait eu encore quelques missions, puis la fameuse bataille sur Terre. La quasi-totalité des troupes furent rappelées à ce moment-là afin de lancer le combat final. Turiens, Krogans, Quariens, Humains, Geths.... Il manquait peut être quelques races, mais tous menaient la guerre de leur côté et presque tous sur la planète natale des Humains. C'en était même assez impressionnant. Voir des Krogans et des Turiens rester côte à côte sans que ça ne finisse en pugilat, ça avait un côté fantastique. En d'autres circonstances, ça aurait même été irréel.

Ils furent déployés sur les restes d'un hôtel un peu excentré. Leur mission était d'observer les mouvements ennemis et de tenir les positions, afin de les empêcher de venir en renfort. Pendant un temps, l'endroit fut calme. Disons plutôt que les vagues d'ennemi étaient éparses et qu'il n'y avait pas plus d'une quinzaine d'individus contre une petite trentaine de soldats entraînés et sur leurs gardes. De leur position, les turiens pouvaient attaquer sans subir de grosses pertes. On entendait au loin la fureur des combats, le "wouhm" des Reapers, le bruit ds vaisseaux qui parcouraient le ciel de Londres. Et puis, ils arrivèrent. Une masse de Furies, des Brutes, Maraudeurs, Zombies et Cannibales, avançaient, comme attirés.
Dans un premier temps, la troupe réussit à les contenir. Mais plus les minutes s'écoulaient, plus les tirs et pouvoirs biotiques ennemis s'intensifiaient. Les zombies grimpaient le long des murs, se ruant sur eux et les obligeant à contenir la menace immédiate. Pendant ce temps, le reste des esclaves Moissonneurs en profitaient pour avancer. Les Brutes chargèrent plusieurs fois dans le rez-de chaussé dans l'espoir de détruire des murs porteurs et faire collapser le bâtiment. Ils réussirent au bout de la cinquième ou sixième tentative, se faisant écraser alors que les étages s'effondraient.

La plupart des membres du régiment eurent le temps de sauter à l'extérieur, profitant d'être au premier étage, par l'emplacement de ce qui devait être une ancienne baie vitrée. Toutefois, tous n'eurent pas ce réflexe, ou ne furent pas assez rapide. Ce fut le cas de leur commandant. Alors qu'il venait de se jeter dans le vide, des décombres coupèrent son élan, ainsi que la moitié de son corps lorsqu'ils retombèrent lourdement sur le sol. Il ne restait qu'une quinzaine de turiens, plus ou moins en bon état.
Plusieurs zombies se mirent à escalader les ruines alors que, de l'autre côté, les brutes chargeaient et les Furies déchaînaient leur pouvoirs afin de se dégager un passage.

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- Et qu'est-ce qu'il s'est passé?

Le silence dura quelques secondes avant qu'Aper ne réponde. Elle commençait à avoir la voix un peu rauque et continuait de triturer ses mains de nervosité.

- J'ai fait ce que tout turien aurait fait à un tel moment. J'ai pris les rênes. J'ai demandé à ce qu'on relève les blessés et à ce qu'on se replie vers le centre. On ne laissait personne derrière, juste les morts.
On a été quatorze à s'en tirer.


Il y eu une pause. Les mandibules de l’extraterrestre claquèrent cinq ou six fois avant qu'elle ne reprenne.

- Avant que les Moissonneurs ne soient détruits, on est tombés dans un cul-de-sac. On a failli y rester. Et c'est là que je l'ai vu.

La médecin bleue souleva un sourcil. Sa patiente montrait des signes de nervosité croissante. Elles approchaient du déclencheur.

- Racontez moi tout ça.

-----------------------------------------

Ils avaient erré dans les décombres d'une ville qu'ils ne connaissaient pas, fuyant la horde de serviteurs qui leur couraient après. Moitié clopinant, moitié courant. Ils s'étaient retrouvés plus d'une fois dans des impasses, obligés de faire demi-tour et de perdre de leur précieuse avance. Ce jeux du chat et de la souris dura un temps. Puis, ils se retrouvèrent piégés dans une ancienne cour d'immeubles parsemés de débris. Et déjà derrière eux, les zombies accouraient. En désespoir de cause, ils trouvèrent refuges derrières d'anciens garages à moitié tombés. Les plus blessés furent mis en sécurité derrière le couvert; ceux en bonne santé saisirent leurs armes, prêts à se défendre. Aper se fendit même d'un discours qui pouvait se résumer ainsi: Quitte à mourir, autant que ça soit dignement.

Ils réussirent à contenir les zombies mais l'arrivés de leurs renforts compliqua la tâche. Les munitions vinrent à manquer pour une bonne moitié des soldats, les forçant à se rabattre sur les quelques pouvoirs techs qu'ils savaient maîtriser.
Ravilla elle même commençait à manquer de munition. Son Carnifex était à moitié chargé et sa Veuve ne contenait plus qu'une balle. La turienne pris une grande inspiration et se releva de son couvert, prête à tirer sur la première brute qu'elle aurait en joue. Elle balada un instant son viseur à la recherche de sa proie. Une balle siffla non loin d'elle, une autre s'enfonçant dans le béton, à quelques centimètres en dessous d'elle. La soldat ne les remarqua même pas. La seule chose sur laquelle elle portait toute son attention, c'était le maraudeur qu'elle avait en joue. Le visage de la créature lui était familière. Elle l'avait déjà vu des dizaines, des centaines, des milliers de fois avant qu'il ne soit si horriblement défiguré. Même avec ces tuyaux et ce regard vide, mort, elle reconnaissait celle qui avait été sa mère.
Et ses doigts s'étaient figés. Elle n'avait pas pu tirer jusqu'au moment où la chose avait levé sa propre arme. Là, ce furent ses réflexes qui lui sauvèrent la vie. Ce qui avait été Cotta Aper parti en arrière, sa tête perforée, pendant que sa fille jetait son arme à terre et essayait de retenir son envie de vomir. Après quoi, elle avait saisi son pistolet et s'était remise à tirer.

Et puis Shepard avait sauvé la galaxie. Le ciel avait rougit d'un coup et les Reapers et leur esclaves avaient été tués. Les dégâts avaient été considérables et, bien que victorieuses, toutes les espèces portaient les stigmates de la guerre. Alors, pendant deux ans, Ravilla avait troqué ses armes contre des pelles et des pioches. Elle mis la main à la pâte pour aider Palaven à se relever et à aider les civils. Après quoi elle revint finir ses années de service à l'armée.

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Une fois Aper partie, l'Asari souffla un peu. Elle n'avait jamais vu une turienne aussi têtue que celle-ci. Elle avait tout refusé. Les propositions de rendez-vous, les médicaments, les arrêts... Selon elle, elle était juste "un peu nerveuse" et rien ne justifiait un traitement quelconque. En effet, seul son caractère semblait avoir été affecté. A la limite la fatigue pouvait devenir un problème, mais pour l'instant, ça ne semblait pas être le cas.

La médecin soupira, enregistra les données du Datapad et fit signe à son assistante de faire entrer le prochain patient.




Apparence

Aper pèse 85kg et mesure 1m90. Sa peau grise et sa carapace, relativement pâle pour une turienne, rehausse  la couleur verte pâle de ses marques claniques. Ses marques sont complémentées par un maquillage sombre qu'elle porte autour des yeux, agrémentés de deux traits allant du front jusqu'au bas de ses mandibules. Il ne s'agit pas là d'esthétisme mais d'un symbole de deuil.  Toutefois, la couleur noire permet de souligner son regard doré.

Son corps est fin et musclé de par son entraînement militaire. Ses bras ont été renforcés à l'aide d'implants, la rendant capable de maîtriser les fusils de précisions les plus lourds, comme les Veuves et Veuves noires. Cependant, ses qualités principales ne résident pas dans sa force physique mais plutôt dans la souplesse et la rapidité dont elle sait faire preuve.
Elle porte souvent des armes, ses préférées étant une Veuve Noire et un Carnifex, qu'elle juge suffisants pour se défendre.

Elle porte en générale des armures de couleurs claires, préférant privilégier la discrétion que le côté voyant. A noter toutefois que ses armures sont accompagnées d'une capuche qui, selon elle, l'aide à se concentrer lorsqu'elle tire.


Caractère

En temps normal, Ravilla est une turienne sérieuse mais d'un naturel enjouée. Enfin, enjouée pour sa race. Disons qu'elle n'est pas souvent en colère, ni déprimé. Elle sait garder son calme et il lui arrive même de rire à certaines blagues. Bien qu'il soit difficile de percevoir certaines de ses émotions, le claquement de ses mandibules diffère selon ses humeurs.
Comme beaucoup des siens, elle reconnait la totalité de ses actions et en assume les responsabilités. Son code d'honneur et sa morale la pousse à être aussi intègre et juste que possible. Cependant, cette intégrité et justice pourra parfois se traduire par un excès de violence; pour elle, abattre un ennemi blessé peut, selon les situations, être une expression de pitié, voir rendre service au mourant.

Notre guerrière est très admirative du Héros de Guerre turien, Garrus Vakarian, qu'elle considère comme un modèle à suivre. Depuis quelques années, elle tente de faire passer sa capacité de réflexion avant l'obéissance aveugle à la Hiérarchie. Cette "indiscipline" n'est présente que lorsqu'elle juge les ordres donnés comme "mauvais" et selon le grade de son supérieur. Elle tente d'explorer ainsi son côté rebelle, lequel, s'il était déjà présent avant, n'a jamais été réellement exploité auparavant.

Loin d'être xénophobe, elle a cependant du mal à comprendre certaines races, dont les Humains, qu'elle juge "incohérents" dans leur façon de vivre. Longtemps, la capacité des humains à ressembler au genre opposé la laissa perplexe, avant qu'elle n'en arrive à la conclusion que cela était sans importance. Elle reste toutefois étonné par leur résistance malgré la mollesse de leur épiderme.  
Son désir de compréhension la rend curieuse vis à vis des différentes coutumes des autres peuples, bien qu'elle ne réussisse pas toujours bien à les interpréter.

Bien qu'elle ait un goût prononcé du combat, notamment celui à mains nues et qu'elle voue un véritable amour  envers ses Veuves, elle tente toujours de trouver une solution diplomatique aux conflits avant d'attaquer. Hors champs de bataille, elle n'en viendra aux mains que si elle est agressée ou provoquée.


Depuis quelques mois, Ravilla est en proie à des cauchemars dont le nombre croissant lui remémore les temps les plus sombres de la guerre contre les Reapers. Ainsi, elle tends à être plus irritable et nerveuse qu'à son habitude. Sa patience est aussi affectée selon son état de fatigue.
Avoir une arme à portée de main tend à la rassurer.



Compléments

Signe(s) distinctif(s) : Sa peau plus pâle que la moyenne des turiens ainsi que ses marques de deuil noires.
Relations avec les autres : Ravilla ne va pas souvent vers les autres mais reste ouverte au dialogue.
Des liens prédéfinis : Aucun


Hors Personnage

Célébrité sur l'avatar (seulement si besoin) : /
Comment avez-vous connu le forum ? Via les rps de la semaine de la page FB Mass Effect France
Est-ce un double compte ? Non
Des remarques ? /



Adrien Annaz

Personnage RP
Faction : Alliance
Rang : Lieutenant
Adrien Annaz
Administrateur
Messages : 8542
Crédits : Matt Bomer - Lleyton Benam

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MessageSujet: Re: Présentation de Ravilla Aper   Présentation de Ravilla Aper Icon_minitimeJeu 09 Oct 2014, 18:33
Bon bon bon, ben c'est bien. D'un autre coté, je t'ai fais les corrections en live Trollface

Donc, je te laisse signer le règlement puisque ce n'est pas encore fait vraisemblablement, et je te redirige vers la recherche de RP ici.

Et bienvenue à toi.
 

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