Suite à la rencontre de Rosa que j’ai mis sur papier, mes derniers instants avec elle me reviennent constamment.
COMBAT 500
Pour la première fois j’écris une partie de mon emprisonnement en format numérique et non sur papier. J’ai toujours écris mes mémoires à l’ancien ou en m’enregistrent parler. Mais là, mes mains trembles trop et un nœud dans ma gorge ces former à l’idée des évènements que je m’apprête à taper.
Je souffrais mille mort, mon épaule droite était disloquer et je ne comptais même pus le nombre de côte casser que j’avais. Pour ce combat le dirigent de l’arène avaient mis le paquet. Ils m’avaient envoyé un jeune krogan adulte sans armure. À bout de souffle je regarde le dirigent butarien qui se croyait invincible protéger par sa grille de métal qui nous séparait. Je réussi à sortir mon poignard de la mâchoire du krogan.
J’entendis le son caractéristique de l’ascenseur, qui est à l’opposer du dirigent de l’arène. On m’amenait un autre adversaire. J’étais pétrifier, les combattants n’avaient jamais fait deux combats consécutif. Je regarde le dirigent de l’arène et il me point l’ascenseur en me disant avec un sourire de mort.
–Ton ultime combat. Les poulies qui faisaient monter l’ascenseur continuaient de tourner. Je n’avais jamais affronté deux adversaires consécutifs, mais qui que ce soit, j’étais prêt a tuer n’importe qui pour gagner se cinq-centième combat et avoir droit à ma liberté.
Je m'étais blessé au front durant mon affrontement contre le krogan. La blessure saignait sans arrêt et teintait ma vision de rouge, essuyé le sang ne servais a rien. L'ascenseur s'arrête et je vois mon dernier adversaire avant de pouvoir sortir de cet enfer. Une silhouette d'un homme petit se dirige vers moi en marchant, sa garde baissé. Je restais debout sans bouger, la douleur m'empêchait de faire quoi que ce soit et le voile rouge qui couvrait ma vision me fit voir peu à peu la personne que je vais de voir tuer.
Je tremblais à cause de la peur que me procurait cette personne, j'étais l'agneau et lui le loup. Il continuait d’avancer, je pus distinguer un poignard dans sa main gauche. Quelle ironie je me disais, j'allais être tué par une arme similaire avec laquelle j'ai tué des centaines de personnes. Il continuait d’avancer, la personne était vêtue d’un habit intégralement de bleu. Il s'arrête, je profite de ce moment pour essuyer le sang qui m'obstruait la vue.
Je tombe à genoux et je pleure en silence, tout ce que j'ai vu est faut. Ce n'est pas un homme de petite stature, c’est une femme. Elle n'est pas seulement vêtue d’une robe bleue, sa peau est bleue. Cette personne est Rosa. Je devais tuer la personne qui est devenu ma sœur durant ces 4 ans pour sortir de cet enfer.
Rosa s’agenouilla juste devant moi, son visage était paisible et elle ne tremblait pas contrairement à moi. Le fait que Rosa sois dans l’arène me fit comprendre automatiquement que un de nous deux allaient mourir. Je quitte son visage des yeux pour fixer mon poignard tacher du sang du krogan que je venais de tuer. Je lui avais fait la promesse à de la faire sortir de ce monde et de lui faire vivre une vie normal, à l’abri de ce genre d’endroit.
Une solution m’est venue à l’esprit, pour sauver Rosa il suffisait que je m’enlève la vie. Je lève mon regard de ma lame pour voir le visage de Rosa une dernière fois avant de m’enlever la vie. Elle avait un fabuleux sourire, son dernier également. Je me redresse debout et essuie mes yeux pour mourir avec dignité. Je me place de dos a Rosa pour pas qu’elle me voit m’être fin à ma vie.
Je soulève l’instrument de mort vers ma gorge quand j’entendis un coup de feu. Le tir arrête mon mouvement, croyant que j’ai été la cible. Je vis le rictus du dirigent avec un pistolet dans les mains pointent derrière moi. Ses yeux était fixé sur un point derrière moi, un point très proche derrière mon dos. Une main m'effleure le bras, une main frêle et sans vie. Un corps bleu s'effondre au sol accompagné d'un son sourd. Rosa avait le visage tourné vers le ciel, une ligne de sang coulait du bord de ses lèvres. Ses yeux qui ont toujours été plein de vie sont désormais vides de toute émotion.
Et moi je restais debout sans rien dire en la regardent refusant de croire à sa mort. Cette personne était la seule chose qui me rattachait à un monde d'humain et non de bête sanguinaire assoiffé de sang et de pulsion animal. La porte principal de l’arène, là où rentrais les monstres qui dépensaient sans réserve pour voir des esclaves se battre jusqu'à la mort, s’ouvrir. La tête de Rosa pivote vers moi. Je n'avais même pas remarqué que la seule personne qui comptait pour moi vivait encore, mais souffrait. Elle était en train de s'étouffait avec son propre sang, son regard m'implorait de faire un acte qui me tourmenterait à jamais. Je laissai tomber l'arme au sol qui devait quelque instant plus-tôt me tuer pour permettre à Rosa de vivre. Mon regard resta fixé sur celui de Rosa jusqu'à ce que la vie quitte son corps. La vie avait quitté son corps du puis longtemps quand un spectateur bourré à la drogue et l'alcool tira un coup de feu sur le cadavre sans vie de Rosa. Se tire gratuit me ramena à la réalité, j’ai laissé une mort atroce l’emporter tandis que j’aurais pis l’aidé. Un poignard similaire au mien était dans la main inerte de Rosa. Elle l'avait sûrement obtenu de Pallen avant qu'il se fasse tuer dans l'arène. Je prends la lame de Rosa avec ma main valide, mon poignard rangé dans son fourreau sur ma cuisse droite, pour ensuite ne diriger vers la sortie de l'arène persuadé de mourir d'une balle avant de regagner ma liberté. Arriver à la sortie de l’arène, personne ne tira un coup de feu. Le maître des lieux avait disparu de son siège et je pus sortir de ce monde abject.