Sous-dossier Expérimentale :

Chasseur furtif - Xebra-V1




Domaine : Militaire
Type : Chasseur furtif de reconnaissance léger
Classe : Xebra-V1
Date de construction/insertion : 2196
Constructeur : Geth Armory Inc.©/Quarian Innovation Ent.©
Blindage : Kheran expérimentale
Boucliers : Boucliers cintoptique getho-quarien
Armement standard : 1 mitrailleuse légère à ferrofluide

Chasseurs expérimentaux basés sur de nouvelles technologies de pointes, le chasseur furtif Xebra-V1 fut un projet développé conjointement entre Geth et Quariens, afin de déboucher sur une furtivité quasi-totale pour un vaisseau léger. Pouvant être conduit par un geth, ou un quarien équipé d'une combinaison à oxygène spécifique, le chasseur Xebra est doté de boucliers à camouflage optique, couplé à un blindage expérimentale Kheran extrêmement léger et dont la surface empêche la réflexion des ondes radars, ladars, ou toutes autres ondes électromagnétiques. Ce chasseur très coûteux à produire et d'une grande fragilité au combat, n'est essentiellement utilisé que pour les longues missions de reconnaissance ou d'espionnage. Il a été parfois utilisé à risques dans frappes éclairs contre des navettes de transports, des bombardiers et des chasseurs, et à ainsi démontré également ses capacités offensives. Or, après plusieurs opérations, les ingénieurs quariens se sont tout de même aperçu qu'il était possible de détecte l'infime trace de sa présence à cause des légers mouvements magnétiques des gravitons produit par ses propulseurs. L'armement du chasseur se limite au port d'une mitrailleuse légère à ferrofluide, inspiré des dragons geth et du fusil sniper geth "Javelot", qui reste l'ultime recours, extrêmement mortelle du vaisseau, contre d'éventuels chasseurs d'interceptions adverses.

Raijü PXE4




Domaine : Militaire
Type : Frégate de soutien terrestre lourde
Classe : Raijü PXE4
Date de construction/insertion : 2196
Constructeur : Geth Armory Inc.©/Quarian Innovation Ent.©
Blindage : cinétique à damiers geth modifiés
Boucliers : ablatif léger
Armement standard : 4 canons lourds électrolaser + 3 tubes de missiles air-sol, (dont 1 lourd) + 1 système Gardia getho-quarien avec 4 tourelles dragon légères

Issue des dernières technologies en matière de création et d’utilisation énergétique, les classes Raijü PXE4 ont été élaborées à partir d’anciennes archives quariennes contenant divers prototypes militaires. Ressemblant en partie aux frégates quariennes actuelles par son aspect élancé mais aussi sphérique, au niveau de son réacteur, les Anciens Quariens avaient imaginé le prototype à l’époque de la Guerre de l’Eveil, afin de pouvoir maintenir la loi martiale et repousser les assauts geths au sol. N’ayant jamais été assemblé par manque de temps, pour cause de son coût trop élevé et surtout du manque de connaissances suffisante en matière de technologie d’alimentation à l’époque, le modèle fut repris, remanié, puis amélioré par Geth Armory Inc.© et Quarian Innovation Ent.© qui créèrent de surcroît une nouvelle génération de frégate de soutien terrestre. Toujours au stade expérimentale, quelqu'un de ces vaisseaux sont sortis des usines de fabrications et seulement 2 équipent les meilleurs groupes du GIP.

De taille proche d’un petit croiseur, les catégories Raijü PXE4 sont relativement très massif dû à la structure interne pleine du vaisseau à plus de 80%, laissant le reste d’espace disponible pour l’habitacle, c’est-à-dire très peu. Bien que possédant un blindage léger, cette densité joue positivement dans sa résistance aux dégâts mais réduit sa mobilité. Appuyé de plus par ses boucliers geths améliorés, il possède donc suffisamment de temps pour compenser sa lente accélération et atteindre sa vitesse maximale élevée afin d’échapper aux combats inter-vaisseaux, dans lesquels il se retrouve vulnérable.

Pouvant faire des ravages terrestres grâce à ses 4 canons électrolaser nouvelle génération dépliables, et ses différents tubes de lance-missiles air-sol, il utilise une tactique combiné d’annihilation hautement énergétique des boucliers renforcées ennemies, des véhicules moyens, et de l’infanterie au sol avec ces canons principaux, avant de finir les éventuelles unités lourdement blindés et les complexes protégés via des frappes d’ogives explosives. L’avantage et l'efficacité de cette tactique est seulement applicable aux unités terrestres sur une large zone d’action, étant beaucoup moins adaptés que les bâtiments spatiaux à de tels bombardements. Cependant l’un des plus gros inconvénients de ces frégates est la contribution énergétique du noyau d'ezo vers les canons principaux, qui réduit de manière significative sa résistance aux dégâts lors de leur mise à feu. Ce faisant, seulement 2 canons peuvent tirer en même temps, au risque d’un degré d’exposition augmenté.


Projet Haëstrom




Depuis les périodes de réconciliation civiles en 2190, le dossier confidentiel intitulé "Haëstrom" a été élaboré dans le plus grand secret par les deux gouvernements Rannochiens. Malgré le long travail coopératif d'une cinquantaine d'équipes techniques geth et quariennes, le dossier a été classé confidentiel puis a été rangé sans suite et sans aucune déclaration officielle de la part de la direction. Malgré l'implication de plusieurs centaines de personnes, aucune information viable n'avait fuité sur le sujet exact de ce dossier, ce qui avait eu pour impact la création d'une rumeur invraisemblable à propos de l'exploitation énergétique de l'étoile d'Haëstrom ; étoile de la Bordure Extérieur qui fut longtemps étudié par les geths et les quariens à cause de sa maturation exponentielle. Les seuls bruits à avoir été quelque peu fondé portaient sur l'importance capitale du projet et de son coût exorbitant, exagérement décris comme plus imposant que le Creuset.

C'est en 2194, qu'un petit groupe militaire d'interêt getho-quarien, composé de personnes influentes de haut-rang, mit la main sur ce fameux dossier. Associé conjointement aux ateliers de Geth Armory Inc.© et Quarian Innovation Ent.©, ils tentèrent de relancer la construction du projet secrètement. N'arrivant pas à obtenir le potentiel technique requis ni les ressources nécessaires à une tel construction, en plus de ne pas avoir eu l'accord gouvernementale obligatoire, ils furent rapidement arrêtés pour le vol de documents ultra-confidentiels. Après quelques jours dans les tribunaux militaires ils furent finalement relachés non sans avoir eu quelques peines mineurs. L'affiliation du groupe avec Geth Armory Inc.© et Quarian Innovation Ent.© ainsi que leur étrange jugement fit remuer quelque peu le dossier, faisant fuiter au passage quelques données générales du projet.

La plupart d'entre elles faisaient mention de l'édification d'un symbole fort getho-quarien, tellement grand, massif et technologiquement avancé qu'il devait censé représenter ; à la manière du Destiny Ascension représantant l'esprit d'alliance de l'espace concilien ; les liens et avantages indéniables de la coopération syntorganique dans toute la galaxie. Cette superstructure getho-quarienne s'établissit sous la forme d'un cuirassé titanesque, aussi imposant qu'un bâtiment Moissonneur, et étant décrit comme équipé d'un mystérieux canon énergétique parcourant la moitié du vaisseau. Doté d'une puissance de feu sans équivalent, son utilisation aurait été cantonné à la défense de l'espace Rannochien et autres systèmes perséens proche du Voile.

Depuis ces fuites, on entendit plus réellement parler de ces plans extrêmement coûteux, laissant à penser que le Conseil aurait touché deux mots aux gouvernements Rannochien, ces derniers qui ne respectait déjà pas le traité de Farixen*. Certaines rumeurs actuelles font état que les gouvernements Geth et Quarien aurait laissé filtrer le dossier au G.I.P nouvellement créé, (2196). Bien que ces rumeurs ne paraissent pas réellement fondés, elles sont, dans un sens, complètement cohérente par rapport à ce que la nouvelle organisation a pour principale but : créer une solidaire coalition getho-quarienne puissante et prospère.

*Traité de Farixen : Étant donné le potentiel terriblement destructeur des cuirassés, les races du Conseil se sont accordées, lors de la conférence navale de Farixen, d'imposer à chaque race des plafonds respectifs.