Le haut parleur du Fédorian annonçât le prochain mouvement. Enfin, après tout ce temps à se ramollir les jambes un peu d'activités ne ferait pas de mal. Même si maintenant j'avais une charge supplémentaire. Il fallait garder un œil sur l'humaine malgré tout.
*Tous les soldats sont demandé dans le hangar. * L'écho raisonnait inlassablement pendant les quatre prochaines minutes.
Je me dirigeais rapidement vers le lieu indiqué. Ainsi je faisais un crochet par l'infirmerie et y trouvais Zoya penchée sur le terminal de la salle.
- Hey ! Suis moi rapidement, tu as besoins d'y assister. C'était brut de décoffrage? Peut être un peu mais il fallait y être présent et rapidement. Elle allait sûrement nous accompagner et nous n'avions pas le temps de nous perdre en explication déjà donnée. Le vaisseau était déjà en route vers notre lieu d'intervention encore inconnu. Nous croisions plusieurs soldats qui allaient dans tous les sens. Les opérateurs radios entrain de de s'affoler et de donner des indications , j'entendis rapidement .
- Dépêchez vous de rejoindre les coordoonées, l'alliance vous protégera jusqu'à bon port !
Que se passait il ? Un conflit spatiale ? Non quand même pas, par tous les esprits pas de ça je vous en prie ! Un regard en arrière me permis de voir que Zoya arrivait à suivre mais elle était bloquée derrière un groupe de soldat. Je l'attendis afin de lui attraper le bras histoire d'aller à mon rythme. Les soldats que l'on avaient croisé s'en foutaient de l'appel, c'était des navigateurs. Ils se rendaient auprès du Capitaine pour définir l'itinéraire.
- désolé de vous presser. De te presser...
Je venais de penser qu'elle n'avait pas eu le temps de s'équiper.. Pas grave, le temps on l'aurait après le débrief. Une fois dans la salle il y avait foule de soldat en armes. Le son d'une voix raisonnant dans le haut parleur de la salle m'indiqua que c'était Kimbree qui prenait la parole.
Deux minutes après il ne manquait personne à l'appel. Dentar nous fit signe au loin, a travers la foule nous le rejoignions.
- Et bien je vous salue une nouvelle fois doc ! Vous vous faîtes au vaisseau ?
Quelques secondes après la réponse de Zoya, Les ordres tombèrent. c'était sérieux mine de rien. Qui était venu foutre la merde encore une fois...
- je vous fais le topo rapidement. Deux de nos frégates en transit pour une mission secrète ont été attaquée par un groupe de pirates bien armée. Ils ont procédés à un pillonage du convois à bord de trois frégates de combat. L'une des notres c'est crashée sur la planète du système il y a trois heures. Eletania. c'est une planète avec un ecosystème dangereux. Sous aucun prétexte vous ne devez retirer vos casque. Ou vous aurez de gros soucis si vous respirez l'air de l'athmosphère.
Nous devons agir vite, les pirates vont bientôt aller chercher leurs butins et massacrer les survivants. Sauvez les et anéantissez l'ennemi et trouvez si ils sont indépendant ou non. de plus, Nous seront en territoire de l'Alliance, ils nous envoient une frégate et une équipe au sol.
Nous allons dépêcher cinquantes hommes. Trente d'entre vous devront défendre la carcasse du vaisseau avec les humains, les autres vous chercherez les survivants. Vous devrez mettre en sécurité le contenu que transportait le vaisseau, il ne doit pas tomber entre leurs mains, c'est top secret. Maintenant, je souhaite bonne chance à tout le monde. Fantassins, battez vous comme des chiens de guerres, artilleurs, visez aussi bien que vous l'avez toujours fait ! En selle, arrivée dans quarante minutes.
Ok ok ok . On enchaîne vraiment les galères. Il faudra vraiment que nos vaisseaux empêchent les frégates adverses de faire une razzia sur nous. Un oeil sur Zoya m'indiquait qu'elle semblait avoir tout suivit. Tout le monde s'en allait vers son poste et l'agitation d'une fourmilière se mit en place.
- Tu as des questions ? Après nous iront t'équiper. Enfin, tu iras, je dois réunir les hommes de l'unité pour faire le point avec eux de notre rôle, dépêche toi je t'attendrai pour commencer.
Après avoir répondus à ses éventuelles questions, je cherchaient dans la foule à rassembler mes hommes, Dentar étant déjà la il amenait avec lui le reste de la troupe. Mon grade nouvellement acquis me donnait le droit à diriger six hommes au combat et prendre le commandement d'unités isolées.
Je les laissaient me donner leurs impressions avant de pouvoir commencer. Dentar parla le premier. - Cette fois on a pas Kimbree avec nous n'est ce pas ?
- En effet, pas cette fois. Il doit superviser la bataille spatiale .
Nous serions bientôt fixée. Notre frégate était tombée car ils les avaient eu par surprise. Cette fois nous avions l'initiative, il fallait juste qu'il ne soit pas beaucoup en terme d'infanterie voir de véhicule. Je préférais défendre des positions fortifié que me faire parachuter depuis l'espace en territoire inconnue avec menace de l'écosystème en prime.
Quand on attaque la hiérarchie « ... Rp feat Telhius, Zoya & Helena ... »
Cela faisait bientôt 2 jours qu'elle avait fini son stage à l'académie, pas mécontente de sa promotion, la sous officier Harper s'ennuyait tout de même sur Piétas. Pas de réelle occupation, pas de night club où les décibels sont aussi présente que l'alcool. Soit, elle se cantonna donc à la lecture de roman comme ce qui l'a occupée pendant ses années de scolarité, c'est alors, comme le tintement d'une cloche salvatrice, son pc se mit a biper. Sautant en bas de son lit et traversent le petit appartement que l'alliance lui fournis en deux foulée, elle consulta le mail qui venait de lui parvenir. Une demande officiel de mission, c'était ce qu'elle pouvait de rêvé de mieux en étant coincée sur cette planète. Elle ouvrit le dossier pour consulter les détails relatif, il semblerait donc que des vaisseau Turiens aient été attaqué dans notre partie de la galaxie. Une mission de sauvetage sans l'ombre d'un doute, la planète avait de bonnes condition climatique mais un gros problème de micro-organisme dans l'air provoque des allergies assez foudroyante. Une bonne armure est de rigueurs avec un système parfaitement étanche.
Prenant le stricte minimum, elle fonça au spatioport où elle devait se rendre pour embarqué dans une navette qui la mènera à la frégate de la mission. Elle était nerveuse mais à la fois excitée, sa première vrais mission depuis qu'elle était sortie de sa formation de sous-officier. Elle arrivait sur le vaisseau, elle était impressionnée, en émoi. Mais pas le temps de rêvasser, elle enfila son armure qu'on lui avait fournis à l'Académie Shepard et se rendit au briefing de la mission mené par son superieur. C'était le Major Eddy Parks, c'était lui qui allait dirigé les troupes aux sol pendant le sauvetage.
Mesdames, Messieurs, c'est un véritable plaisir, sachez le, d'être ici en votre compagnie. Pour certains d'entre vous ce sera votre première mission sur le terrain (dit il en regardant Harper). Vous ne devez donc pas sombrez dans la panique, nous allons sûrement rencontrer des pirates, mais c'est en restant soudés que nous les repousserons. Pour ceux qui ne saurait pas nous allons sauvé des collègues Turiens qui était en mission, ce qui est arrivé est regrettable mais je ne veux pas de distinction. Vous devez aidez ces Turiens comme si ils étaient vos compagnons d'armes de tout les jours. Me suis je bien fait comprendre ?
la troupe en cœur : CHEF OUI CHEF !
J'ai mal entendu, vous voulez les sauvez ces Turiens ?!
la troupe en cœur : CHEF OUI CHEF !!
Bien, rompez les rangs mais tenez vous prêts a partir dès que nous serons arrivé à Elétania.
Tous ce dispersèrent, Helena s'apprêtais à repartir quand le Major Parks l'interpella.
-Second-Maitre Harper ?
-Oui Major ?
-J'ai lu votre dossier, c'est une histoire bien étrange qui vous entoure et j'en suis désolé. J'ai eu les résultat de l'Académie Shepard, vous êtes impressionnante. Vous ferez partis du commando qui couvrira les escouades de secours autour du vaisseau, vos talent de franc tireuse seront parfait dans ce rôle. Etes vous angoissée, avez vous peur ?
-Non Major, je suis impatiente de commencer et de faire mon devoir ! (dit elle en le saluant )
Il la salue en retour et lui fit signe de rompre les rangs. La jeune femme s'en alla dans les quartier de l'équipage pour réfléchir à la mission, pour ce préparer mentalement aux éléments à venir. Elle se disait aussi que c'était triste que c'est dans de tel circonstance qu'elle va pouvoir admirer de beaux Turiens en uniforme. Il est vrais que la jeune femme a toujours eu un faible assez important pour cette race de la galaxie. Perdue dans ses songes, elle fut extirpée de ces douces images par l'alerte de proximité. Nous étions arrivé à Elétania, prenant ses armes (Son N7 Valiant et un Carnifex) elle courue se mettre en place, se frayant un chemin à travers les autres hommes agités par le bruit de l'alarme. Tous en rang dans le hangar où ce trouve les navettes, ils prenaient leurs derniers ordres puis sur les « go go go » des supérieur montèrent dans les Kodiak. C'était l'heure, assise dans le petit vaisseau, elle mis son casque et le ferma hermétiquement pour se couper du monde exterieur.
Je me bat pour ma patrie : la Galaxie
Dernière édition par Helena Harper le Lun 15 Avr 2013, 19:59, édité 6 fois
Depuis son arrivée les journées avaient été plutôt calmes, Zoya avait entamé les premières "visite médical", lui permettant ainsi de vérifier que les dossiers médicaux étaient à jour et correct. Cela permettait aussi de faire la connaissance de la majorité des membres de l’équipage ce qui n’était pas négligeable étant donné son poste à bord. Certain était curieux de sa présence, lui posait des questions, d’autre plus froid se laissait ausculter en silence et il y avait la troisième catégorie qui essayait d’éviter à tout prix ce passage à l’infirmerie. Elle était en train d’enregistrer les données de ses dernières visites lorsque Telhius débarqua. Trop concentrée, elle n’avait entendu l’écho qui demandait au soldat de se rendre au hangar et ce fut donc sans poser de question qu’elle suivit le Turien dans les couloirs. Elle se rendit compte alors de l’agitation, essayant de suivre comme elle le pouvait son ami mais ils n’étaient pas seule dans le couloir, la pauvre médecin semblait presque ridicule au milieu de tous ces turiens, c’est en voyant que la demoiselle galérait à dépasser un groupe que Telhius l’attrapa par le bras, l’emmenant sans autre préambule vers le hangard.
Retrouvant alors Dentar, le premier membre du vaisseau qu’elle avait croisé après Telhius, quelqu’un qu’elle qualifiait de bon vivant, sympathique et ouvert. Lui souriant, elle le salua à son tour :
- Et bien je vous salue une nouvelle fois doc ! Vous vous faîtes au vaisseau ? « Oui même si je n’ai pas eu l’occasion de visiter chaque recoin de celui-ci »
Elle allait ajouter quelque chose à sa phrase mais ce n’était plus l’heure au bavardage de courtoisie inutile. Le briefing commençait et comme chaque personne présente dans le hangar, le silence fut presque religieux et seul le résumé de la situation et ce que l’on attendait de chacun d’eux se faisait entendre. Les choses semblaient sérieuse, et il était tout à fait logique qu’elle parte avec eux sur le terrain, un tel crash suggérait d’éventuel blessé. L’adrénaline s’insinuait doucement dans ses veines, une sensation qu’elle appréciait autant que cette situation la rendait nerveuse. Mais si elle avait décidé de devenir médecin militaire ce n’était pas pour rester dans un cabinet à devenir jour après jour de plus en plus aigris devant la monotonie de son métier. Avait-elle peur ? Se serait mentir que de dire non, mais c’était le genre de peur qu’elle cherchait, repousser ses limites, avoir réellement l’impression que sa présence pouvait peser dans la balance.
Avait-elle des questions ? Son cerveau fonctionnait rapidement, dans sa tête elle composait déjà le matériel médical dont elle aurait besoin et les questions étaient secondaire. Elle connaissait l’essentiel et n’avait rien à ajouter à ce qui venait d’être dit.
« Pas de question, je vais me préparer, je te retrouve ici »
La personnalité de la jeune femme semblait changer du tout au tout, la situation l’exigeait après tout. N’attendait pas plus longtemps, elle se faufila dans l’agitation général pour rejoindre son infirmerie, sortant le kit médical de base, elle y ajouta plusieurs doses d’épinéphrine, l’air de cette planète provoquait des chocs anaphylactiques sévère, le crash laissait à supposer que les éventuels survivant n’avait pas pu se préparer à temps ou le choc avait pu endommager leur armure. En d’autre terme, si ils avaient la chance de découvrir une victime des micro-organismes de cette planète, ses doses seraient d’un grand secours pour augmenter les chances de survies.
Vérifiant d’un coup d’œil rapide que les aiguilles étaient bien celle prévus pour traverser la peau d’un turien, elle se prépara alors. Combinaison et armure mise, elle n’avait pas encore activé la visière de son casque. Calant à sa taille le kit médical ainsi que son arme de service, elle rejoint rapidement le hangar une nouvelle fois, cherchant du regard Telhius.
L'heure était bientôt à l'embarquement. J'aperçus ainsi Zoya dans la foule lui faisant signe du bras. Au bout de quelques secondes elle se dirigea vers moi. J'enfilais mon casque plutôt imposant par rapport à ceux des humains.
- Tu vas monter avec nous je pense. Et.. Jolie l'armure en action.
Après quoi nous montions dans la navette de largage. Nous étions une douzaine dans la navette. Celle ci étaient légèrement plus grosses que celles de débarquement classique Kodiak. Nous partions à quatre véhicule. A l'intérieur un autre Turien vînt me voir.
- Lieutenant Sharkan, je suis le Lieutenant Valoran. Nos équipes vont devoir coopérer durant la mission. Je n'ai pas été averti de la présence d'une humaine.
C'est sans le laisser finir que je lui rétorquais.
- Elle est dans mon équipe Valoran, pas de soucis. C'est un médecin elle aidera nos hommes en cas de besoin. Et elle saura tirer et tuer par la même occasion. Si nous devons coopérer, alors je vous souhaite bonne chance à vous et vos homme lieutenant.
- Vous de même. Pilote, le plan.
Le turien qui dirigeait la navette s'éxécuta sur le champ et un plan de la zone de larguage s'afficha sur un écran fixé dans la paroi du véhicule juste à côté de moi. La zone était sacrément enfumée par le crash, la terre creusée et des débris jonchaient le sol, de gros débris et autant de couverture, une zone bien défendable, mais peu solide. Chaque homme étudiait chaque détail pouvant lui sauver la vie lors des combats.
Un bruit sourd retentit, la sirène d'ouverture. Le grand sas du hangar s'ouvrit et les navettes s'élançerent dans un vacarme impressionnant. Dans la navette un crie de guerrier retentit de manière a se donner du courage et de la combativité. *Pour le 5ème et pour nos frères ! * cria un jeune caporal.
Je vînt m'asseoir prêt de l'humaine.
- T'en fais pas. Jusqu'ici tout se passe normalement.
PENDANT CE TEMPS.
Le capitaine Felchor était sur le pied de guerre, en relation avec le capitaine de la frégate Humaine.
- Ici le Capitaine du Fédorian. Nous avons largués nos hommes. Or, les frégates ennemis aussi, et leurs systèmes de détéctions nous ont repérés. dépêchez vous d'arriver. Nous passons en phase d'interception.
L'agitation dans le vaisseau était à son comble. Chaque artilleur armait et enlever la sécurité des terminaux de commandes des systèmes de défenses, les torpilleurs étaient prêt à entrer les donner de trajectoires des batteries GARDIA. Le combat spatial allait commencer.
DANS LA NAVETTE.
La transmission au pilote fût retranscrite à l'écran. Un turien aparraissait, c'était l'officier des communications.
- A toutes les escouades, l'ennemis déploient des hommes sur la planète au sud du site de crash. Préparez vos défenses avant qu'ils arrivent. Ils ont un gros chargement dans un petit cargo, nous pensons qu'un char de combat léger type Mako est à l'intérieur. Bonne chance à tous ! Terminé !
Valoran prit ainsi la parole devant les hommes qui avaient complètement changé de regard.
- Oui vous le savez, nos groupes ne sont pas équipés pour démonter ce véhicule. Ils faudra protéger Delta, les assauts lourds, eux seuls pourront s'en occuper, mais ils auront besoin de nous pour distraire l'ennemi le temps qu'ils ajustent leurs tirs. Et puis les humains pourront peut être s'en occuper.
Je me tournais vers la jeune femme, mais son expréssion m'était étrangère, je donnerai beaucoup pour lire dans ses pensées en ce moment précis. Plusieurs minutes après nous arrivions sur le sol de la planète, la navette se posa délicatement et tout le monde sortit en trombe. L'agitation était la première réaction de tout le monde. De l'herbe.. quelques montagnes au loin, un beau paysage, mais dangereux semblait il. Il faisait beau, parfait pour se battre. La pluit aurait été une plaie en plus pour cette journée.
Quand on attaque la hiérarchie « ... Rp feat Telhius, Zoya & Helena ... »
Les navettes n'avaient pas encore décollées qu'elle ce demandais déjà ce qu'elle allait trouvé la bas, des douzaines de mercenaires ou de pirates, sûrement bien armé. Il faudra qu'elle soit très prudente la bas surtout qu'elle ne connais pas la topographie du terrain, c'est point fort ou faible, si il y avait de quoi ce cacher. Elle commençait à s’inquiéter de la situation plus elle essayant de l'analysée, c'est quand tout à coup l'écran holo de la navette s'activa. C'était le Major Parks qui était monté avec une autre unité qui allait sûrement nous transmettre des ordres. Il nous expliqua la situation sur la planète, les troupes ennemis déployait leurs forces et avait peut être déployé un char de type Mako. Il demandait alors aux soldats lourdement armé de rejoindre la troupe Alpha pour s'occuper de ça. Helena était la seule qui ne possédait pas d'arme assez puissante pour contrer le Mako et demanda à son supérieur ce qu'elle devait faire. Il lui répondit qu'il fallait qu'elle rejoigne les troupes Turienne à l'arrière pour leurs offrir une couverture, il lui fournis alors la carte de la zone avant de terminer la transmission. Ce levant pour être prête a partir dès que la navette atterrira, elle affiché la carte avec son omnitech pour l'étudiée. Elle était schématisée car les prises de photo était très peu lisible à cause de la fumée causée par le crash. Il y avait de gros débris un peu partout ce qui pourrait lui servir de couverture quand elle tirera ou quand elle devras remonter jusqu'au vaisseau tombé, car en effet la navette s’arrêtait à presque 2km au sud pour facilité le déploiement des hommes. Elle était perdue dans ses pensés quand elle vit les hommes ce lever, la navette allait ce posée. La porte s'ouvrit et elle put alors découvrir la planète, au delà du champ de bataille, c'était un décors majestueux mais peut de gens l'admirait en ce moment même. Quand le Kodiak toucha terre, tous sortis en trombe. L'unité lourde ce rendit 6m plus loins pour rejoindre le Major, Helena ce retourna et vit au loin le vaisseau qui était en haut d'une légère pente. Pas de temps à perdre, alors que les autres ce mettaient en place pour couvrir les Turiens qui débarquait et allait essayer de ce débarrassé de ce char pas encore en action , Helena partie en courant vers le vaisseau endommagé. Cette légère colline était un atout majeur pour elle et sa spécialité, elle passait par dessus les débris et évitais parfois quelques trous formé par le crash qui venaient la déséquilibrage. Il ne fallait surtout pas qu'elle s'arrête. Mais une question lui vint à l'esprit, de qui prendrais t'elle ses ordres la bas? Après tout les Turiens ne sont pas ses supérieurs et il n'y a pas de chef avec elle. Peut être aurait elle le droit de briller en temps que chef pendant cette mission. Elle arriva enfin près des troupes Turienne, un Turien s'avança pour lui parler :
-Présentez vous, humaine.
-Second Maitre Harper, on m'a demandé de remonter jusqu'à vous pour vous offrir une aide supplémentaire car je suis franc tireuse.
-Fort bien, je suis le capitaine du vaisseau accidenté, je suis Sceptimus Ashokan. Mes hommes valides et moi ainsi que les troupes de secours vont protéger ce vaisseau t'en bien que mal. Allez vous mettre avec les autres franc tireur Harper.
Elle exécuta les ordres du capitaine et alla ce placer auprès des Turiens sniper pour empêcher d'éventuelle fuite ennemis d'approcher. l'Adrénaline coulait dans les veines d'Helena, prenant son fusil et l’arment elle commençait à analyser les couloirs de passages que les ennemis emprunterons et décida de visé le flanc gauche qui était assez restreint et qu'on aurait forcément tendance à délaissé. Continuant à faire un tour d'horizon en observant à travers la lunette de son arme, elle se releva d'étonnement quand elle vit à environs 15m une autre humaine. Avait elle été envoyée ici par le Major ? Non elle ne l'avait pas vu sur le vaisseau. Elle serait donc avec les Turiens ? un petit coup d'oeil dans la lunette lui permis de voir sa trousse de soin, c'était donc une médecin. On aurait dit qu'elle restait près d'un Turien en particulier, peut être faudrait il leurs parler?
Elle n’esquissa qu’un très bref sourire au compliment de son armure. Ses pensées étaient ailleurs, comme elle avait déjà pu le faire en lisant sous ses yeux, elle semblait être dans sa bulle, devenant ce pourquoi elle avait été affecté à ce vaisseau, ce pourquoi elle avait envoyé en mission humanitaire à la citadelle…Suivant le reste de l’équipe à bord de la navette, elle s’installa, surprenant de par sa présence le lieutenant Valoran, elle s’apprêtait à faire brièvement les présentations mais le turien la devança. Elle ne lui en voulait pas, à vrai dire, cela l’arrangeait. Balayant d’un regard la navette qui venait de partir, elle observait avec admiration l’esprit combatif des Turiens à l’œuvre, leur cri, cette union, tous connaissaient les risques mais il y avait une sorte d’osmose, une confiance les uns envers les autres dont elle n’avait jamais été témoin. Elle y voyait une certaine forme de beauté et surtout, dans ses démonstrations de courage, elle se trouva elle-même emporté. Si elle gardait le silence, elle n’en restait pas moins gonflé à bloc, ce que Dentar semblait avoir remarqué lorsque leurs regards se croisèrent. Un échange bref, il hocha la tête alors que Telhius s’installait à ses côtés.
Appréciant la sollicitude qu’il témoignait à son égard, elle planta ses yeux dans les siens, quelque seconde durant lesquels elle ne sut pas vraiment quoi dire. Il n’y avait pas de mot parfait dans ce genre de moment, la détermination se lisait dans son regard, finissant par simplement lui dire :
« Pour le 5ème et pour nos frères… »
Elle n’avait peut-être pas le même ton que les turiens mais la sincérité de ces paroles ne laissaient aucun doute. Ses yeux se posèrent sur la transmission, les pirates semblaient vraiment bien équipé, peut-être l’était-il un peu trop pour que cela ne soit qu’une "simple attaque pirate". Gardant ses réflexions pour elle-même, elle se concentrait sur son unique objectif : le vaisseau et ses survivants. Le regard dans le vide, elle écoutait, ne se rendant pas compte qu’à ses côtés le turien l’observait. Ce n’est que lorsqu’elle senti la navette se poser qu’elle détacha sa ceinture, se levant en même temps que le reste de la troupe. Le casque, l’oxygène, tout était sous contrôle. Suivant l’agitation, elle se retrouva rapidement sur la terre ferme, arme à la main. Son regard se fixant essentiellement sur le site du crash qui se trouvait non loin, elle échangea un regard avec Telhius, ils n’avaient pas le temps pour le blabla, tous les deux savaient où ils devaient se rendre.
C’est au pas de course qu’ils s’y rendirent, les signes, Zoya ne pouvait pourtant s’empêcher de garder un œil sur la majorité des turiens qui les accompagnait, continuant d’avancer, ils arrivèrent sans encombre. Le site du crash était impressionnant, tout comme pouvait l’être la beauté de la planète mais la médecin ne prenait visiblement pas le temps d’observer le paysage, se présentant au Turien qui s’était déjà avancé à leur rencontre :
« Dr. Ivanek...», se présenta-t-elle en premier lieu « Quels sont les statistiques ? Avez-vous rassemblez vos blessés ? »
Parler de chiffre plutôt que d’être vivant, c’était une façon de garder un certain recul, un recul nécessaire dans ce métier.
Dernière édition par Zoya Ivanek le Mer 20 Mar 2013, 23:48, édité 3 fois
La rapidité de l'action fût immédiate. Nous courrions vers le site du crash, Zoya elle se dirigeait vers l'intérieur afin de se renseigner sur les blessés et autres en même temps que l'équipe de recherche. Je ne voyais pas les humains, ils devaient être un peu moins proches du site. Ils serviraient de première garde ? Qui sait .
Pendant ce temps, à bord du vaisseau, répondait à Zoya.
- Avénius Telaran, médecin en chef de la frégate. On a commencé oui, mais certains sont coincés sous des débris et nous essayons de déblayer le terrain. Madame, j'ai jamais vu ça, la plus pars essaye de cracher leurs poumons presque, il se passe quoi ici. Plusieurs sont déjà mort, en plus des décès du crash. J'ai déjà un bilan de 25 morts pour 30 blessé, sur le total de l'équipage, ont est plus beaucoup en état je le crains... J'espère que nos frères savent se battre.
( Retour sur Telhius.)
Le terrain, une dizaine de débris offraient une couverture raisonnable pour la défense, un peu en auteur. Le vaisseau bloquait tout notre arrière, la fuite serait impossible, mais la position dur à prendre. Parfait, enfin tant que nous la tenions.
- Dentar ! Prends deux hommes avec toi et place toi plus sur la droite, ouvrez l'oeil. Sikar, prends toi aussi deux hommes et occupes toi de la gauche. Couvrez les angles mort du groupe Bêta de Valoran. Charlie est plus en avant avec l'alliance et Delta fouille le vaisseau. Préparez vous. Je vois qu'une navette avec des tireurs d'élites est passée. Comptez sur eux, vous ne les voyaient pas mais ils nous couvrerons.
A l'intérieur du vaisseau crashé, l'unité de communication de secours, une IV de bord en gros. Permettait la communication avec le Fédorian, c'est comme ça que le capitaine du crash informa nos troupes que le combat spatiale avait commencé.
Dans l'espace.
*Les techniciens sont demandés au niveaux des systèmes de défenses.* Et dans la seconde qui suivait les ordres fusaient de partout. Le canon bougea, puis dans le silence spatiale ouvrit le feu. L'obus alla se désintégrer sur le bouclier de la frégate ennemie, puis d'autres tirs suivirent. la riposte commençait.
Le bouclier du Fédorian était costaud et pourrait tenir un sacré moment encore. Les frégates auraient beaucoup plus de mal.
Sur la planète.
J'attendais patiemment. Me remémorrant les couvertures, où étaient mes hommes. Tous les détails important. Les humains, en première ligne, suivis de Charlie, puis du groupe de Valoran et le miens sur la même ligne de front. Le temps passait. Je mettais mon oeil dans la lunette du Phaëton, au loin on aperçevait les groupes que je venais de décrire. Rien à signaler. Que faisait il ? La réponse fût presque immédiatement donnée.
Les tirs commencèrent un peu plus loin. Juste quelques balles perdues nous arrivaient dessus, rien d'inquiétant. toujours en observant dans la lunette, merde un humain venait de tomber quand déjà quatre pirates à découvert succombaient de leurs blessures. J'en comptais une vingtaine encore debout. Puis ce que je redoutais. Le mako, Quatre de mes frères furent eux aussi touché, mortellement je le crains.
Je criais dans la comm. - Charlie ! couvrez les humains , couvrez les ! ils doivent détruire ce transport d'infanterie !
la réponse se fût immédiate entrecoupée de tir. - Je veux bien ! on peut pas sortir la tête pour les arroser, l’ennemie prends du terrain et l'infanterie va nous débusquer!
Une roquette humaine partie n'importe comment vers le ciel. Le tireur fût abattu en même temps qu'il ouvrait le feu . Les francs tireur ouvraient le feu sur l'adversaire, mais vu la distance, très peut, vraiment trop peu de tirs atteignaient leurs cibles. Putain.. il fallait faire quelque chose, ne pas les perdre.
- Les gars! on avance la ligne de défense pour leurs fournir un appui ! on se magne, sinon c'est foutu ! Alpha avec moi ! Valoran, derrière nous en couverture, on progresse ensemble. Criais je pour couvrir le tir.
C'est dans une descente en enfer que nous nous engagions, le mako nous voyaient déscendre. Il ne nous restaient plus que 20 mètres à parcourir avant la position défensive derrière des débris d'acire volumineux. Une rafale de calibre lourd du véhicule nous arrivas en pleine face. Personne ne fût touché. Merde si, Sikar ! Putain sikar été tombé, la balle avait brisé le métal de son armure, il chutait dans une roulade laissant une trainé de sang bleue derrière lui. Je traversais le terrain en parallèle à l'ennemi pour aller vers mon ami. Pendant ce temps le mako pris une roquette sur le devant. Malheureusement en pleine puissance de ses boucliers defecteurs, ce qui n'eut aucun effet hormis reporter l'attention sur nos allié, le mako nous laisserai tranquille pendant ce temps.
Au pied de sikar.
- Non mon frère ! tiens bon, jvais te mettre à l'abris. Tiens bon mon pote, me fait pas ce coup la ! Je ne le vis pas, et en le trainant avec moi jusqu'à la couverture, je n'avais pas vu qu'il était mort sur le coup, continuant quand même à lui parler pour l'inciter à vivre. Pendant ce temps la Dentar été lui aussi sous le choque. Par la rage je me mis délibérément à découvert laissant dépasser plus de la moitié haute de mon bassin afin d'envoyer une salve de balles inutiles qui s'entassèrent dans le sol ou sur les boucliers du mako ennemi.
Pendant ce temps, avec notre diversion, cinq ennemis de plus été tombés.
Les combats avaient commencé, on entendait le bruits des balles qui fusaient dans l'air. Plus loin, une roquette s'éleva dans les airs : le tireur, membre de l'Alliance, avait été abattu à la seconde même où il avait pressé la détente. Plus loin, une poignée de Turiens prit l'initiative de se rapprocher des lignes ennemies pour mieux pouvoir les aligner. Au cours de l'avancée, l'un d'eux tomba au sol et roula vers le bas de la colline, touché de plein fouet par un tir du Mako. C'est alors qu'Helena remarqua qu'un autre Turien, sans doute celui qui les commandait, à en juger par la façon dont il beuglait des ordres, se précipiter vers l'autre qui venait de tomber. Elle le vit traîner le corps déjà sans vie de son compagnon à couvert, tout en lui hurlant à pleins poumons de ne pas baisser les bras et de tenir le coup. Elle regardait ce spectacle impuissante, ne sachant pas quoi faire. Les cris l'empêchaient de se concentrer. Il fallait qu'elle agisse, c'est alors qu'elle repensa au fait qu'elle était la seule membre de l'Alliance ici, aucun supérieur pour la surveiller, elle pouvait faire ce qu'elle désirait. Jetant un œil rapide sur le terrain elle établissait des chemins surs. A cette distance personne ou presque ne touchait leurs cibles ; il fallait se rapprocher pour couvrir au mieux les forces au front. Elle se leva et interpella les franc tireurs.
-Écoutez moi ! On est inutile à une pareille distance ! Il faut ce lever et se rapprocher !!!
Les Turiens ce regardèrent les uns et les autres, perturbés par le fait qu'une humaine leur donne des ordres. Elle continua à leur dire qu'il fallait se rapprocher, qu'il fallait l'écouter.
-Si vous restez là, tous vos frères mourrons ! Et les miens aussi !! Vous voulez ça ? Vous voulez les abandonner soldats !?
-Non, nous ne voulons pas une telle chose !!!
-Alors suivez moi !! Vous prenez des débris et passer par là, mettez vous en rang et restez cachés derrière les morceaux de métal !
Helena fit de même et arracha au sol un morceau de leur ancienne couverture et s'en servit comme bouclier. Le groupe de Turiens qui la suivait ce mettait derrière elle, renforçant leur couverture avec d'autres morceaux de la carlingue du vaisseau. Avançant doucement mais surement ils s'arrêtaient quand ils sentaient les balles du Mako taper contre leurs boucliers de fortune. Ils ne devaient pas abandonner maintenant, redoublant de courage ils reprirent leur décente. La jeune femme surveillait attentivement où ils se trouvaient avant de faire signe qu'ils avaient atteint leur objectif. Se déployant et abattant leurs boucliers au sol pour établir une couverture ils se mirent en position. Helena leur cria de faire feu sur les pirates. Une pluie meurtrière s'abattit alors sur les rangs ennemis, faisant tomber les assaillants comme des mouches. Il fallait protéger les troupes alliées le temps qu'elles fassent tomber les bouclier du Mako et éradiquer ce véhicule de malheur.
Dans l'espace :
Les tirs avaient commencé, le croiseur Turien passait à l'offensive mais les boucliers ennemis tenaient bon. La frégate de l'Alliance, agile et rapide vira de bord pour aller harceler l'ennemis sur son flanc. Tout le monde étaient attentif aux moindres mouvement, les capitaines communiquait pour grouper leurs tirs afin d'ouvrir une breche dans les bouclier pour pilonner et abattre la menace.
je me bat pour ma patrie : la Galaxie
Dernière édition par Helena Harper le Mer 24 Avr 2013, 21:17, édité 3 fois
« L’air de cette planète provoque des chocs anaphylactiques, ne me dites que vous l’ignoriez ! »
Etait-ce la panique du moment, elle se montrait presque sévère, sortant une partie de son matériel, elle vérifia les doses d’épinéphrine, c’était des doses standard étant donné la mission, il était difficile de calculé la dose exact selon le poids. Donnant une pochette contenant une moitié de ces doses au médecin en chef, elle garda l’autre moitié.
« Traité les chocs les moins violents, les doses sont limités et il va falloir faire un choix. »
C’était la triste réalité des choses, traité les chocs les moins violents permettait surtout d’en traité plus et par conséquent, d’en sauver plus.
« Vérifier les casques des soldats décédés, ils peuvent remplacer les casques défectueux des survivants. Vous avez compris ? Un dose, voie intramusculaire ! Il va falloir être rapide, extrêmement rapide. » Abandonnant le médecin en chef à son travail, elle alla faire le sien, s’occupant d’un premier turien, le diagnostic était facile à faire, après quelque vérification rapide, elle sortit une première, la planta sans ménagement dans la cuisse après avoir placé l’aiguille entre deux pièces de l’armure. Une infime dose de médigel permettait de refermer directement la petite pointe que l’aiguille laissa derrière elle, protégeant le turien. Son casque, déjà mis, ne semblait pas avoir subi de dégât, activant son omnitech pour vérifier les fonctions vitales les plus importantes, les rythmes cardiaques irrégulier commençait à reprendre une constante normal, la tension remontait lentement…Les choses semblaient revenir à la normal, elle le signala avant de passer au suivant. Elle dut répéter l’opération à plusieurs reprise, soignant parfois plus que le choc anaphylactique, des blessures du au crash, certains succombèrent, d’autre survécurent mais Zoya n’avait clairement pas le temps de s’apitoyer, les soins devaient être rapide, l’urgent en priorité, stabiliser le plus de cas pour pouvoir s’occuper d’eux de façon plus pousser par après.
Oubliant la peur, elle n’entendait pas les tirs à l’extérieur, ni les hurlements. Elle ne revint à la surface que lorsque les soins des membres hors décombres était fait. Elle avait eu l’impression d’entendre quelque chose dans les décombres, comme un « tac » régulier. Elle suivit le bruit, se glissant parmi les débris, se faufilant, rampant, elle avait l’impression d’entendre de plus en plus fort, s’avançant plus profondément dans la poussière et les débris métalliques, sa fine taille lui permettait peut-être de faire ce chemin plus facilement. C’est dans une petite pièce qu’elle découvrit la source de ce bruit. Coucher au sol, un turien en armure était prisonnier des décombres, sa jambe gauche coincé sous d’énorme morceau de ferraille.
« Aidez-moi, je n’arrive pas à me dégager »
S’approchant, Zoya était obliger de rester accroupit, son omnitech indiquait aucun problème de tension, aucune tachycardie ou bradycardie, en d’autre terme aucun signe d’un choc allergique quelconque. Il portait son casque, avait-il eut le réflexe de le mettre au moment du crash ? Ce n’était pas le temps de poser des questions de ce genre, le soldat avait eu beaucoup de chance que celui-ci ne se soit pas brisé. Analysant la scène, elle pouvait voir la jambe coincé sous les débris…
« Quel est votre nom ? » « Sortez-moi de là » « J’ai besoin d’évaluer votre état mental, quel est votre nom ? » « Artilleur Vegrull Chellinian » « Artilleur, je suis le Dr. Zoya Ivanek, je suis arrivée avec le 5eme bataillon, je vais tenter de vous sortir là. » « Ils bottent le cul à ces salauds de pirate ? »
Elle esquissa un sourire.
« J’en suis sûr. Dites moi, quel jour on est ?»
Il répondait correctement à chacune de ses questions et alors qu'elle essayait de dégager sa jambe, les hurlements qu'il poussa la fit s'interrompre directement. Ca s'annonçait mal, elle essaya de joindre quelqu’un par radio.
Dernière édition par Zoya Ivanek le Mer 27 Mar 2013, 20:27, édité 1 fois
J'y croyais pas.. Sikar était mort, il était pourtant à mes yeux, un immortel. je ne pu m'attarder plus longtemps sur ce malheur que plusieurs tirs lourds se firent entendre venant de m'arrière. cette fois ils touchaient leurs cibles, je ne sais pas ce qu'ils avaient foutus jusque la, mais leurs soucis étaient réglés. L'infanterie ennemi était hors d'état de nuire. Le mako entamait une procédure de repli, mais une salve de tir mortels vint s'abattre sur ces boucliers et enfin percer la coque. Les roquettes en général n'était pas explosives, ce qui provoquait l'explosion, c'était sa chaleur. Car Le missile, au moment de l'impact produisait un genre de fusion avec le metal, la chaleur intense provoquait l'explosion des munitions du char c'est pourquoi ce dernier explosait dans une ribambelle d'éclat, il se coucha sur le flanc après avoir lâché deux de ses roues gauche. Lorsque l'écoutille s'ouvrit, une epaisse fumé en sorti ainsi que deux hommes hurlant la mort tout autant qu'ils brûlaient, l'alliance ne fit pas de cadeau et les laissa souffrir au lieu de mettre fin à ce supplice. C'était déjà fini ? Rien de plus n'avait été signalé.
Dentar arrivait vers moi en courant. - Sikar putain ! Il est pas mort !? Tel bordel il est pas mort !
C'est avec tristesse que je ne pu que lui confirmer son décès. Reprenant le contrôle de ses émotions, c'est sans plus rien dire que mon ami pris la plaque de sikar sous son armure et s'en alla en premier vers la carcasse du vaisseau. Ils se connaissaient tous les deux depuis bien longtemps avant mon arrivée ici. C'était vraiment un coup dur pour lui. Je laissais Valoran s"excuser pour mon homme à terre bien qu'il n'en avait pas besoin, je lui donnais mes directives afin que je puisse rejoindre le vaisseau, il fallait que je fasse un état de la situation pour Felchor, j'en profiterai pour voir ou cela en été avec les blessés.
Un peu avant que je ne puisse rentrer dans la frégate détruite, un groupe de sniper vînt à ma rencontre, Un major je pouvais deviner au nombres et à la forme des traits sur son épaulette.
- Lieutenant? C'est fini ? J'espère que cela c'est bien passé.
- Ouai, jcrois bien que c'est bon pour cette fois, j'espère. Cette saloperie a fait du mal. J'ai perdu un homme, l'un des meilleurs que je connaisse, et notre première ligne à failli se faire décimer. Je n'arrive pas à concevoir cela comme une victoire. Major, ces hommes ne sont pas normaux, ce ne sont pas de simples pirates, ils sont trop bien entrainé et équipé. Je dois faire un rapport au capitaine Felchor.
Après avoir discuté un peu avec les tireurs d'élites, ainsi qu'une femme humaine, d'ailleurs que faisait elle ici ? Qu'avait tous les humains à se faufiler parmis le 5ème pensais je avec un petit rictus, qui s'effaça bien vite en entrant dans le vaisseau. Cadavre, puanteur, et blessé jurant de toutes leurs forces, voila le combat des médecins à présent. L'humaine me suivait peut être, je lui avais dit qu'elle pourrait s'occuper de son compte rendu avec le capitaine de l'alliance, car je crois bien que leurs leader au sol s'était fait abattre.
Une fois devant l'holocom encore en état de marche je joignais le Fédorian. - Ici le lieutenant Sharkan, Fédorian, vous me recevez ? C'est une réponse un peu grisée de l'officier de transmission qui me mis en contact avec le capitaine. Celui ci me demanda un avis sur la situation.
- On a un soucis, enfin pas directement. Trop des nôtres sont tombés, l'attaque à été repoussée. Mais j'ai une inquiétude. Vous vous rapellez de notre ennemi de la station humaine "Gargarine" ? Je crois qu'ils appartiennent au même groupe. Ils sont bien entraîné, et j'ai reconnu des uniformes de l'alliance modifiés parmi les adversaires. Soyez prudents en haut.
C'est un turien inquiet qui me répondait maintenant.
- Bien Sharkan. Je comprends vos soucis, les pilotes ennemi savent se battre eux aussi. Nos boucliers sont presque HS mais nous tenons bon. Une de leurs frégates est détruite et la deuxième devrait bientôt céder. Nous vous envoyons vingt hommes supplémentaire avec les navettes que vous nous avaient retournées. C'est le seul moment ou elles pourront partir tant que les frégates ennemis sont en manoeuvre d'esquive. Terminé .
PENDANT CE TEMPS.
Mon nom est Katrine Zelvsech. Après la guerre j'ai vécue dans les terres mortes non loin de Moscou, j'avais forgée un groupe de rebelles qui se fît remarquer par notre chef actuelle pour sa détermination. Je savais que cette dernière nous couterait un jour la vie. Mais nos convictions étaient plus fortes que notre désirs de s'en sortir. Vous savez bien ! le plaisir de savoir que vous emportez avec vous dans la mort votre ennemi.
Cela faisait deux heures que nous faisions route vers Elatiana pour supporter nos collègues, ceci s'étaient retrouvés confronté à une alliance humano Turienne. Je vis avec espoir et sourire sur un rapport, que le Fédorian était de la partie, ces enfoirés étaient encore la, et nous avions enfin notre revanche. Je ne connaissais pas l'unité humaine présente sur le combat, mais peu importe. Nous étions trois frégates, en moins bon état que nos collègues, mais assez pour finir le travail, et nous avions assez d'hommes pour éradiquer la présence sur la planète et récupérer le colis. Dans encore quatre heures nous seront arrivés. Malgré tout, notre présence dans le système devait déjà être détectée. Et il fallait faire vite avant que des renforts spatiaux de l'alliance ne se pointe.
L'heure de la revanche est la. Et leurs morts n'est qu'une question de temps.
Quand on attaque la hiérarchie « ... Rp feat Telhius, Zoya & Helena ... »
Les tirs ne s'arrêtaient pas, sans relâche, sans nous ménager, nous faisions pleuvoir la mort sur les troupes ennemis. Les plus téméraires tentaient de nous abattre malgré leurs matériel non adapté pour une aussi longue distance, mais leurs tentatives étaient récompensé d'une balle dans la tête ou dans le cœur. On pouvait en voir certains ce tordre de douleurs, d'autres blessé rampaient en replis. Quand un ennemis lourdement armé je faisait signes à certains Turien, ils balançaient alors un tir percussif pour éradiquer la menace. L’ennemi était en déroute, mais il fallait éradiquer ce Mako sinon il poserait des problèmes par le futur. Helena chercha alors à contacter quelqu'un de l'Alliance qui s'y trouvait non loin. Elle eu en radio un officier, c'était le Major qu'elle avait rencontrée sur le vaisseau qui l'avait amenée ici.
-Soldat ?!
-Major, ici le soldat Harper, j'ai une idée pour le Mako.
-Je vous écoute Second Maître.
-Si vous avez avec vous des Hommes qui on des maîtrise techniques, surcharger les boucliers du véhicule, après quoi balancé lui une roquette ou quelque chose de ce genre !
Approuvant le plan de la jeune femme, Parks ordonna sur le champ une surcharge. Trois gars attaquèrent technologiquement le véhicule dont les boucliers tentaient de survivre mais en vint. Ils ce désactivèrent au deuxième assaut, c'est tout de suite qu'un artilleur lourd doté d'un lance missile tira. Le missile vola jusqu'au Mako, il s'enfonça alors lourdement dans sa tourelle. Parks n’eut le temps que de hurler « A COUVERT ! » que le véhicule explosa avec une grande violence projetant les soldats alentours au sol. Harper et les autres Turiens se levèrent et poussèrent des cris de joie à la vue de ce spectacle. Ils avaient gagné du moins, pour le moment. Se donnant des tapes sur les épaules de soulagement, certains vinrent féliciter l'humaine pour son excellent travail pour une « non turienne », si ils savaient, se disait-elle.
Le Major Parks, ce remettant de ses émotions rassemblait ses hommes en bas. C'est alors qu'il contactait Harper qu'un Turien vint lui parler.
-Harper ?
-Veuillez patienter Major
Le Turien lui demanda ce qu'elle faisait ici, elle lui répondit que c'était son supérieur qui l'avait envoyée en soutient étant la seule sniper du groupe. Il lui proposa alors d'aller faire son rapport à son supérieur, mais il ne lui ordonna pas de quitter les lieux. C'était l'une des rares chance que la jeune femme avait de fréquenter des Turiens en soit sa race, préférée, dirons nous. Hésitant un moment le Major l'appelant de nouveau
-Harper venez au point de rendez-vous
-Je... (faux grésillement) je vous reçois ma.. (faux grésillement) Major ? (faux grésillement) Major ? Quel est votr.. (faux grésillement)
-Harper !?
-Je (faux grésillement) pas (faux grésillement)
Elle coupa alors sa radio faisant croire à un problème de transmission. Elle aura ainsi un peu de temps devant elle pour profiter de cet entourage très agréable. Rangeant son sniper en le compactant, elle suivit d'un pied léger le Turien qui lui avait adressée la parole. Elle remarqua en observant son armure qu'il était celui qui avait traîné un de ses hommes mort pensant qu'il y avait encore de l'espoir pour lui. A cet instant elle aurais aimée lui parler, lui dire une parole réconfortante. Mais elle savait que cela serait inutile. Et, après tout ne le cachons pas, si elle pouvait faire plus que des paroles elle ne s'en priverait pas. Se faufilant gracieusement, si on pouvait être gracieux avec une armure de type n7, elle le suivait dans la carcasse du vaisseau tout en regardant autour d'elle.
Se postant près de lui, elle restait à assez bonne distance mais tentais toute fois d'écouter sa conversation avec un de ses supérieurs. Elle entendait des morceaux de phrases, parfois des mots comme : « On a un soucis » « une inquiétude » « notre ennemi de la station humaine » « même groupe » et enfin « Soyez prudents en haut. »
Elle ne savait pas ce qui ce passait mais rien de bon ce tramais, les choses allaient empirés. Mais elle ce demandais ce que vaisseau avait d'aussi spécial pour le vouloir. Simple rancune ? Vu que les adversaires ne sembles pas inconnus, ou alors, il y avait quelque choses d'important qu'ils voulaient récupéré ? Elle s 'avança pour poser des question au Turien mais n'osa pas l’interpellé. Étant donné qu'il ne l'avait pas vue, car elle était dans son dos, elle fit quelques pas en arrière et repris sa position initiale.
Je me bat pour ma patrie : La Galaxie
Dernière édition par Helena Harper le Lun 15 Avr 2013, 23:47, édité 3 fois
Par radio, elle avait fait part des derniers évènements, de sa position, du blessé à ses côtés, tant et si bien qu’un soldat les rejoint, le matériel qu’elle avait demandé avec lui. Observant les deux turiens, elle déballa le sac de matériel encore sous emballage. Elle le savait, cette décision ne serait pas facile à prendre, et encore moins à accepter mais si le turien souhaitait vivre, il n’avait pas le choix.
« Doc vous allez pas… » « Je n’ai pas le choix… » « C’est de MA jambe dont il s’agit ! »
Se rendant compte qu’elle allait trop vite en besogne, elle laissa de côté son matériel pour se tourner vers l’artilleur, elle comprenait sa détresse et si il paniquait maintenant cela n’arrangerait en rien leur affaire.
« Ecoutez, je ne peux pas prendre le risque de faire soulever les grava, nous n’avons pas le temps de faire déblayer ce qu’il y a au-dessus de nos têtes et en admettant que nous avions le temps nécessaire nous risquerions le syndrome de compression… » « Qu’est-ce que c’est ? »
Elle inspira, prenant le temps de réfléchir quelque seconde, de trouver la meilleure façon d’expliquer cela pour que cela soit compréhensible.
« Une partie de votre jambe n’est plus irrigué par votre sang, les tissus ont certainement commencé à se nécroser. Ces tissus nécrosés dégagent des toxines, si on dégage votre jambe ces poisons vont se propager dans votre organisme et provoquer un arrêt cardiaque… » « Vous ne pouvez pas gérer ça ? »
Surprise par une telle demande, elle se rendait compte qu’objectivement, oui, elle pouvait gérer un arrêt cardiaque mais l’idée restait trop risqué…Bien trop folle.
« Objectivement, je pourrais, mais ça ne garantirait pas votre survie. Sans compter que ce genre d’intervention laisserait de véritable séquelle sur votre muscle. Vous aurez mal, tout le temps, tous les jours, et ça c’est si on suppose le meilleur des scénarios. Ecoutez, je sais que c’est difficile pour vous mais dans le cas de l’amputation, nos avancés technologique vous permettront d’avoir une prothèse et une vie normal. Dans le second cas, je réussi à dégager votre jambe, à gérer l’arrêt cardiaque et toute les complications qui en résulterait, vous finirez certainement avec une canne à boiter tout le reste de votre vie et à souffrir tout le reste de votre vie. »
Le silence reprenait ses droits, et dans ce mutisme commun on pouvait percevoir au loin l’écho du combat. Observant le turien, elle patientait silencieusement que celui-ci prenne sa décision. C’est l’autre soldat qui prit la parole.
« C’est qu’une jambe, tu ne peux pas nous laissez tomber pour ça »
Il ferma les yeux, soupira, et prononça enfin son accord. Se tournant à nouveau vers son matériel, elle prépara le médigel.
« Je ne peux pas vous endormir…L’air est chargé de micro-organisme qui profiterait de la plaie que provoquerait l’injection pour vous faire un choc allergique fatal. »
Plaçant une sangle autour de la jambe, elle la plaça un peu plus haut.
« Le garrot va couper votre circulation, ce qui me permettra de procéder à l’amputation en minimisant au maximum les risques de choc allergique…Mais je vais avoir besoin de vous. »
Elle jeta un regard sur le turien qui avait amené le matériel.
« L’amputation va se dérouler en deux partie, la première consistera à découper la peau, la graisse et les muscles au scalpel. Ca sera la partie la plus rapide, il restera alors deux os à couper, je mettrai autant de temps sur l’un que sur l’autre mais quand ça sera fait…Vous devrez immédiatement appliquer le médigel sur sa plaie. Cela protégera celle-ci de l’air, et empêchera les micro-organismes de provoquer une allergie. Il va falloir être rapide. »
Il acquiesça, elle observa les deux turiens.
« Je vais avoir mal ? »
Elle serra le garrot, assurant la coupure de la circulation.
« Oui » « Comment ? » « Comme vous n’avez jamais eu mal auparavant. »
Mentir était une chose qu’elle était incapable de faire, ils échangèrent un bref regard, conscient que c’était maintenant ou jamais. Elle entama donc les premières incisions, découpant jusqu’à atteindre l’os alors qu’à leur côté le turien s’efforçait de ne pas exprimer sa douleur. Lorsqu’elle atteignit l’os, c’est à l’omni-lame qu’elle dut finir le reste. Obtenir une scie ici était de l’ordre de l’impossible. C’est sans attendre qu’elle entama le plus dur du travail, les hurlements cette fois-ci ne pouvait pas être retenu, et lorsqu’enfin elle atteignit le bout, elle se recula en disant
« Vas-y ! »
Le turien, comme convenu plaça tout le médigel qu’elle avait demandé, protégeant ainsi l’entièreté du moignon. L’opération semblait être un franc succès. Vérifiant les signes vitaux de l’artilleur, il était temps de le sortir de là. C’est avec l’aide du second soldat qu’elle fit le chemin inverse, le silence était lourd et pesant, retrouvant enfin le reste de l’équipe, elle aida le soldat à placer l’artilleur sur une civière. A présent, avec le matériel qu’ils avaient, il n’y avait plus rien d’autre à faire que d’attendre. Le turien amputé était stable, inconscient à cause de la douleur, il ne tarderait pas à se réveiller mais il allait bien et c’était tout ce qui comptait.
Retrouvant le médecin chef, ils discutèrent brièvement, cherchant d’un coup d’œil Telhius, elle se dirigea vers lui, ignorant la présence de l’humaine, Telhius semblait tout juste de finir une discussion quand Zoya apparut en face de lui.
« Telhius, faut qu’on évacue les blesser d’ici, ce n’est pas le combat qui va les tuer, c’est cette planète. »
Je fis quelques pas encore dans les décombres, les navettes étaient arrivées, et il semblerait que les brancardiers étaient au courants, car plusieurs blessés transitaient du vaisseaux aux navettes... il n'y avait pas beaucoup de place, le reste devrait être évacuer avec la frégate. Les renforts ducoup, étaient arrivés par ces mêmes navettes... des renforts, et un mauvais préssentiment, tout ce que j'aimais...
- Hey vous derrière, vous vous croyez invisible ? marchez à mon niveau au moins.
Disais-je en "rigolant" malgré les évènements. Je n'étais pas un maître de la discrétion, mais marchait sans faire de bruits dans ce fourbis était impossible, pas avec nos armures et nos armes. C'était une humaine, l'humaine de tout à l'heure même. Je ne pensais pas qu'elle était encore la. Mais avant de n'avoir pu dire quoi que ce soit, Zoya arrivait un peu alerte.
Elle me recommandait.. vivement de ramener les blessés, je le savais déjà. Et je réalisais maintenant, que nous étions avec Valoran, les deux seuls officiers sur le terrain. A nous les décisions sur ce plan... Merde, j'aime pas ça.
- Je sais, les premiers blessés sont en train d'être installé dans les navettes venant d'atterir, mais il n'y en a que deux pour le moment. Je peux en faire décoller deux autres, mais nous n’aurions plus d'appui.Ils ont combien de temps? Il faudrait qu'ils puissent tenir jusqu'a l'atterissage de la frégate humaine par exemple, mais une telle manoeuvre n'est pas encore possible, le combat étant engagé.
*se tournant vers la deuxième humaine*
- Pouvez vous nous obtenir un état de la situation de l'alliance dans l'espace ? Bien que je doute qu'ils ne soient disponibles... Cela serait formidable !
Avant que quiconque ne puisse répondre, je reçus une nouvelle communication via mon omnitech qui se mit ainsi a parler... Pas très discret selon les informations.. Rha... C'était le capitaine en personne !
- Ici Felchor. Nous devons vite vous extrader. Nous venons d'abattre la dernière frégate, mais trois signatures hostiles ont été repéré à quelque minutes de notre position. Nous avons au mieux un quart d'heure. Nos boucliers peinent à se recharger, il faut filer !
Voila, le pressentiment arrivait doucement. Mais violemment, je ne puis pas cacher l'information aux humaines qui avait tout entendu. C'était à moi..
- Ce n'est pas possible, il faut faire plusieurs voyages, nos navettes sont déjà en train de ramener les blessé sur le Fédorian. Ne pouvez vous pas contacter une planète proche ? Une station ? Féros n'est pas si loin si ?
- Je ne sais pas pour féros ou autre, il faut traiter avec l'alliance, mais cette fois, nous n'y arriverons pas seul. Et au fait Lieutenant, vous aviez raisons, ce sont les renégats. Je ne veux pas sacrifier mes hommes, alors je ne peux que vous souhaiter bonne chance. On reste en contact.
- Felchor.. Capitaine, Le 5ème ne tombe pas comme ça, vous devriez le savoir aha ! Le temps que vous reveniez on en sera déjà à l'apero, bonne chance.
Avant de couper je demandais à la représentante de l'alliance si elle pouvait obtenir des infos auprès de ses supérieurs pour avoir du renfort spatiale dans une extrême rapidité. Malgré un humour pas très convaincant, la situation était passé de reglée à, dans le chaos. J'attendais la réaction des deux femmes, puis j'irais distribuer quelques ordres, notamment aux médecins pour ce coup. Je ne voulais pas que d'autres hommes tombent aujourd'hui. Pourquoi pour sauver, il fallait toujours sacrifier en échange ? En ce cas ne valait il pas mieux laisser ? On sauve des vies pour en perdre.. comme sur Gargarine, comme sur la citadelle... C'était surement ça la différence entre Zoya et moi, entre le docteur et le soldat, je devais tuer et payer un sacrifice pour sauver des vies, quand elle se contentait de leurs donner une nouvelle chance sans semer le chaos autour d'elle.
ESPACE.
Katrine jetez des ordres à tout va, les frégates ne se préparaient pas à la bataille spatiale, ils avaient compris que la coalition alliée était en train de plier bagage. Mais elle savait aussi que les rescapés étaient encore sur la planète.
Il restait dix minutes avant l'envoi de l'infanterie pour terminer le boulot. Elle ne savait pas qu'un renforcement avait été effectué en revanche. Cela retarderait peut être l'assaut final dans ce cas. Dans tous les cas, elle jubilait de pouvoir venger ses amis tombés il y a bientôt un mois. Les hommes étaient remontés comme jamais et voulaient en découdre avec le 5ème qu'ils avaient déjà rencontré, et massacrer leurs anciens collègues de l'alliance, la "maudite" alliance, leurs étaient tout aussi jouissif. voila l'état d'esprit des renégats prêt à être envoyé sur l'échiquier de la vie. Qui serait le meilleur stratège, le fort ou le rusé ?
Quand on attaque la hiérarchie « ... Rp feat Telhius, Zoya & Helena ... »
Ses pensés ce bousculaient dans sa tête, son cerveau en pleine ébullition, il essayait d'imaginer toutes les possibilités au sujet de cette histoire. Trouver la vérité, faire des théories pour et supprimer à chaque fois les éventualités trop invraisemblable. Cela faisait un moment que la jeune femme n'avait pas réfléchis autant, surtout au sujet de cachotterie. Néanmoins, si elle ne sais pas tout, comment peut elle établir une stratégie ? Comment préservé les survivants et ce qui attire ces pirates ? Elle était très perturbée par tout ça, par ce qu'elle avait entendu de la communication du Turien. Elle devait se résoudre à lui parler, il lui faut des réponses. C'est alors que le Turien lui adressa la parole, sur un ton plutôt plaisantin. Il s'amusait du fait qu'elle restait en retrait, tel une ombre, mais cela ne la dérangeais pas d'être une ombre. Quand on en est une, on vois tout, mais les autres ne nous vois pas, on peut tout savoir, tout obtenir en se fondant dans le décors. Elle avança à son niveau :
- Pardonnez moi, je ne voulais vous dérangez pendant vos communication... (elle regarda l'armure du Turien pour établir son rang) Lieutenant. Permettez moi de me présentée, Helena Harper, spécialiste franc tireur de l'Alliance.
Elle se garda bien de dire son rang, ici ça n'avait aucune importance, seule la coopération compte quand on est dans le même camp mais pas de la même équipe. A sa grande surprise une humaine entra dans la pièce, d'un pas rapide mais léger, elle se dirigea vers le Lieutenant Turien. Qui était elle ? Un rapide coup d'oeil sur son armure et son équipement pour comprendre qu'elle est la médecin qu'elle avait remarqué avant le début du combat. Vu les couleurs et les imprimés sur son plastron, c'est une médecin concillienne qui a été accréditée à la flotte Turienne, une chance en soit, aux yeux d'Helena. Elle semblait tellement aspirée dans son travail que plus rien autour d'elle n'existait.. Très bon pour la concentration, ça reste néanmoins un handicape si des ennemis furtif était tout près. Elle parlait de faire évacuer les blessés, qui semble être en nombre considérable. Du côté de l'Alliance, la jeune femme savait pertinemment que c'était grosso-modo la même chose. Nous sommes donc en position de faiblesse si une vague d'ennemis rappliquait. Telhius, car c'est ainsi qu'il s’appelait, ce tourna vers moi après avoir fini le rapport de la situation avec sa collègue. Il demanda à Helena :
- Pouvez vous nous obtenir un état de la situation de l'alliance dans l'espace ? Bien que je doute qu'ils ne soient disponibles... Cela serait formidable !
Avant qu'elle ne puisse répondre une communication entrante dans l'intercome du Lieutenant Telhius se fit entendre de tous :
- Je ne sais pas pour féros ou autre, il faut traiter avec l'alliance, mais cette fois, nous n'y arriverons pas seul. Et au fait Lieutenant, vous aviez raisons, ce sont les renégats. Je ne veux pas sacrifier mes hommes, alors je ne peux que vous souhaiter bonne chance. On reste en contact.
- Felchor.. Capitaine, Le 5ème ne tombe pas comme ça, vous devriez le savoir aha ! Le temps que vous reveniez on en sera déjà à l'apero, bonne chance.
La jeune femme sentie la peur dans la voix du Turien, il essayait de faire de l'humour pour ce remonter un peu le moral et dédramatiser, mais cela ne faisait que rehaussé les craintes de la soldate. Il fallait agir vite, et bien. Si les signatures hostiles s'avèrent réel ils étaient dans le plus gros merdier inimaginable. Telhius demanda à Helena d'aller trouver des informations au près de ses supérieur pour savoir si des renforts spatial pouvait être donné et ce rapidement. Elle affirma qu'elle allait chercher les infos de ce pas, et mis une main sur l'épaule du Turien pour le rassurer, afin d'appuyer ses mots et leurs donner une plus grande ampleur. Ce faufilant dans les décombres du vaisseau, elle cherchait une console peu endommagée par le crash. Elle fini par en trouvez une et se connecta dessus via son omnitech.
Utilisateur: Soldat Helena Harper Motdepasse: ***********
>Corps des forces armées de l'Alliance Interstellaire > demande de communication [Accès réglementé] > mise en place de balise de sécurité >communication acceptée >Mise en relation avec le vaisseau commandant
Une fenetre s'ouvrit on pouvait y voir une jeune femme, c'était une opératrice de bord. Elle ce trouvait dans un des vaisseaux en orbite au dessus d'Eletania. Elle brancha son micro pour pouvoir communiquer avec la jeune femme.
- Harper vous étiez recherchée par votre Major, veuillez le rejoindre au point de rendez vous.
- Je me contre fiche du point de rendez vous ! La situation est grave, très grave.
- La situation est sous contrôle. Veuillez rejoindre votre escouade (Elle sursauta quand Helena frappa du point sur la console la pliant légerement)
- Des ennemis sont en approche, ils vont profitez de l'evacuation des blessés pour nous anéantire. On a besoin de renfort ou ces turiens et mêmes les équipes de l'Alliance au sol ne seront pas épargnez. Et pendant qu'on se fera dilapidé, le reste des ennemis s'empressera de finir vos boucliers et de vous descendre en flèche !!!
- Je....
- Il nous faut de l'aide, mettez moi en relation avec Feros et vite ! Ils sont notre seule chance de repousser l'ennemis.
- Je m'en occupe de suite.
Helena tentais de gardée son calme mais le temps pressais, la barre de chargement de la connexion était un supplice. Elle lui hurlais d'aller plus vite quand la connexion s’établi enfin. L'opérateur de Feros avait l'air plus ouvert a la communication que celle du vaisseau.
- Que voulez vous ?
- Nous sommes sur Eletania, nous avons besoin d'un appuis spatiale rapidement. Trois signatures hostiles sont en approche, nous avons beaucoup de blessé a évacuer et les boucliers des vaisseaux sont HS. Il nous faut votre aide.
- Nous allons vous envoyez 4 vaisseau en renfort, un des 4 est un remorqueur rapide, il arrivera très vite d'ici 5 minute tout au plus, il vous permettras d’emmener les blessés en lieux sur. Pour l’appui en combat vous devrez hélas compter entre une dizaine à une vingtaine de minute, le temps de les préparer.
- Merci on compte sur vous.
La communication se rompus, il fallait retournez auprès du Lieutenant Telhius. Esquivant les débris et exprimant une certaine souplesse malgré son armure. Elle fit son rapport immédiatement et maintenant priais pour que tout ce passe comme prévu.
Je me bat pour ma patrie : La Galaxie
Dernière édition par Helena Harper le Lun 15 Avr 2013, 20:19, édité 1 fois
Les yeux rivés sur le turien, elle était rassurée d’entendre que les premières navettes avec des blessés allaient bientôt partir. Pourtant, elle avait un choix à faire et pas des moindres. Elle avait exécuté une amputation dans un lieu absolument pas adéquat, sur une planète à l’atmosphère hostile, en d’autre terme, elle ne pouvait se permettre de le laisser partir seul et de croiser les doigts pour qu’il survive. Elle lui avait ôté une demi-jambe et il fallait que ce sacrifice ne soit pas pour rien.
« Une majorité peuvent attendre, nous avons utilisé les casques de ceux qui n’ont pas survécu pour les protéger de l’air ambiant. Mais j’ai retrouvé un artilleur dans les décombres et j’ai été amené à prendre la décision de lui amputer la jambe pour sa survie…Il doit quitter cette planète au plus vite, il n’y survivra pas sinon… »
Les choses étaient sérieuse, l’air qu’elle arborait sur son visage n’était que l’expression de toute la passion qu’elle mettait dans son métier. Si elle était capable de parler des morts sans, visiblement, aucun regret, il n’était pas difficile de voir que les vivants et leur sort l’importait réellement. Tout comme elle, Telhius était entrainé par l’intensité du moment, s’adressant à une seconde humaine, ce n’est qu’en cet instant qu’elle remarqua sa présence. L’alliance était bel et bien là, comme prévu, aussi elle n’était pas surprise. Se retrouvant rapidement seule dans son coin, elle retourna voir Vergrull, conscient, il n’en était pas moins en état de choc.
« Vergrull, écoutez-moi, je vais vous ramenez... »
Suivant le reste du flot, elle ordonna sans autre préambule qu’on évacue le Turien, et qu’on l’attende. Elle partirait avec eux. Il y avait d’autre médecin ici sur cette planète, ce n’était plus le cas pour le vaisseau du 5eme bataillon, gardant le contact avec la navette. Elle était retrouva rapidement Telhius.
« Ecoutez, je vais évacuer avec les blesser. Certains ont encore besoin de mes soins et il y a bien assez de médecin ici… »
Elle ne lui laissait que très peu le choix, c’était son devoir de partir et aussi bien lui qu’elle le savait pertinemment. Avant de retourner auprès de la navette, elle observa le turien.
« Tâche de revenir, je dois encore t’apprendre à jouer aux échecs »
Une simple boutade, le tutoyant le temps de quelque seconde, elle reparti, grimpant dans la navette où se trouvait le Turien amputer.
Spoiler:
Alors je sais que ça peut paraitre assez soudain que je me "tire" ainsi mais je vais être honnête, je me sens juste terriblement "hors jeu" et appart dans ce topic, en d’autre terme, je sers à rien. Vous vous semblez savoir où vous allez et je préfère me retirer.
Pendant que le soldat de l'alliance était partie demander de l'aide, Zoya me faisait un résumé de la situation de son côté. Cela semblait plutôt mal empoint et bon nombres avaient l'air gravement touchés par le crash, pas surprenant, mais un peu plus de chance aurait été la bienvenue. Avant qu'une possibilité de répondre se fasse, elle se dirigea rapidement vers un médecin turien proche de la. Elle lui donna des consignes concernant les blessés et s'attarda sur l'un d'eux avant de revenir vers moi. Le blessé se retrouvait une jambe en moins, c'était plutôt moche pour lui, mais il devrait s'en sortir sans trop de dégats supplémentaires.
C'est à ce moment qu'elle m'annonça son départ tout en tentant encore un peu d'humour.
- Je comprends. Soyez rapide, bientôt vous ne pourrez plus atteindre le Fédorian allez vous en ! Préparez le jeu.
A peine la phrase terminée qu'elle se mit à courir pour rattraper le groupe de turiens qui portaient l'amputé. Dans la minute les navettes s'en allaient. Elles n'avaient plus le choix, bientôt le Fédorian serait en position de fuite pour éviter de se faire tout simplement éliminer. C'est le moment que choisis Harper, la soldate de l'alliance qui était partie chercher du soutient il y a peu, pour revenir.
- Vous avez pu obtenir quelque chose ? J'espère que oui, Féros est notre seule chance. Ici nous n'avons nulle part autre ou aller, le vaisseau détruit sera notre meilleure... "Forteresse". Vous avez déjà défendu une position comme celle ci ? Nous pouvons largement tenir, mais pas comme la première fois, trop à découvert. Je n'ai pas vu combien vous étiez, pas beaucoup il me semble, mais exactement combien êtes vous ?
Juste après que l'humaine m'aie répondus, je parlais à toutes les sections dans le canal de comm qui nous reliaient tous.
- A toutes les unités. Tout ceux qui peuvent encore se battre, qu'ils se ramènent tout de suite devant le site de crash, Le commandement sera assuré par Valloran et moi même. (Etant les plus haut gradé Turiens sur zone). Je veux 4 hommes en guets aux alentours du site du crash. Les survivants encore valide de la frégate détruite, rendez vous, vous aussi au point de rendez vous. Terminé.
C'est après ces quelques revendications que je me tournais à nouveau vers la jeune femme.
- Si vous ne savez pas quoi faire venez avec moi.
Finissais-je avant de partir vers le lieu que j'avais indiqué à tout le monde devant le vaisseau. En arrivant, la pluspars des hommes étaient ici, leurs postures indiquaient qu'ils étaient prêt à tout entendre, je ne décelais pas de signes de fatigues apparent. Le combat précédent avait été plutôt rapide malgré tout, et assez statique. je m'avançais devant eux. Pour quelles raisons ? Je ne le savais pas, mais beaucoup allait mourir, à moins que nous réussissions un exploits dignes des plus grandes légendes de nos plus grands héros.
- Bien. J'ai pas pour habitude de parler ainsi. Mais pour ne rien vous cacher, dans quelques minutes ici sa va être le merdier total. Le but sera de défendre la position DEPUIS le vaisseau, pour éviter tout revers et posséder une très bonne couverture. Nous nous replierons que si ils gagnent du terrain. Une fois dedans il sera plus simple de se battre, les petits couloirs nous permettrons de les retenirs aisément, mais nous devont tenir un maximum de temps à l'extérieur pour être sur de résister une fois dedans.
Enfin, je compte sur vous, le 5ème bataillon ne faiblit pas face à l'ennemi. Aujourd'hui on va montrer ce que sont les soldats de la Hiérarchie. Aujourd'hui j'ai perdu un ami vous savez, alors battez vous avec encore plus de hargne pour chacun de vos camarades que vous verrez tomber. Bonne chance, à vos postes !
Je ne leurs cachaient pas que c'était vraiment tendu, que certains allaient y passer, ce n'était que la vérité. Le contraire relever du miracle, mais alors du gros miracle. Je me tournais encore vers l'humaine attendant de savoir ce que faisait l'alliance. Mais en même temps, elle ne pouvait pas deviner ce que je voulais savoir si je ne posais pas la question. C'était bête de ne pas le faire et pourtant.
ESPACE......
Le Timonnier de la frégate de Katrina s'empara de l'holo com pour joindre sa supérieur.
- Ouai, Katrina, j'observe un replis ennemi, c'est confirmé on leur a fait peur. Mais il faut rester prudent, on est pas loin de Féros. Tu sais si la planète dispose d'une flotille ? On va surveiller ça. Je suis en position de largage dans moins de cinq minutes. Terminé.
C'est le regard avide de vengeance que la femme pleine de haine mélangée à l'envie de briller pour son chef qu'elle regardait la planète voyant le combat qui se préparait à l'horizon.
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L'heure tournait. Aucun signe de la part du Fédorian, ni des envahisseurs. Pourtant le stress et l'angoisse nous gagnaient tous, ils devaient sûrement avoir atterrit mais ils rassemblaient leurs forces avant d'arriver par paquets. Nous allions enfin démontrer toute l'efficacité de l'armée turienne, je l'espérais. Depuis la grande guerre, je n'avais jamais ressenti une telle détresse, sur la citadelle c'était différent, on avait l'avantage du nombre, de la logistique, du renfort, sur Gargarine c'était la même chose. Mais ici nous ne disposions que de peu d'hommes, d'une couvertures bancales et de peu de munitions, le stock du vaisseau tombé ayant explosé dans le crash et ayant participer à la destruction d'une partie de la structure.
Un nuage de poussière se soulevait au loin. Un nouveau blindé léger était de la partie. Avec ma lunette de visée je pouvais discerner plusieurs soldats encore. Une quarantaine ce coup ci. Nous disposions d'à peu près le même nombre d'homme dont un quart de blessé et sans appui blindé, notre avantage était la couverture. Après trois minutes supplémentaire, l'ennemi était toujours hors de portées mais nos tireur d'élites commençaient déjà à les arroser avec leurs portées améliorée. La colonne d'infanterie se réfugia dérrière le mako pour éviter de tomber comme trois des leurs.
Le véhicule une fois à mi distance envoya un tir lourd qui percuta les hauteur de la carlingue, ce qui fit s'écrouler un morceau et provoqua la chute de deux tireurs, le premier se fit empaler par de la ferraille acérée et le deuxième se releva regardant son collègue décédé sur le coup.
Je dépassais à peine de ma cachette imité par mes hommes, l'oeil au viseur crachant le feu mortel, plusieurs tirs ricochèrent sur le blindé, les ennemis allant se disperser à couvert sur le terrain étaient des cibles faciles durant les cinq secondes de déplacement. J'en blessais un qui tomba, une dernière balle lui ôta la vie. Avant qu'il ne soit tous hors de portée deux autres passèrent dans mon viseur.
D'ici je comptais dix cadavres, mais un détail attira mon attention, une vingtaine de renforts ennemis arrivaient du sud encore.. et merde !
La combat de position était lancé, le mako esquiva une roquette humaine, le tireur en paya le prix de sa vie. Une autre rafale fit tomber deux turien, à laquelle je répondais par une salve allant se loger dans l'épaule d'un renégat.
- Ici Alpha, bordel Fédorian, vous foutez quoi ! le combat est engagé ici ! je répète, le combat est engagé ! Magnez vous !
Il n'y avait aucune réponse des vaisseau en orbite pour le moment, je vis un autre tireur d'élite tomber, son casque brisé par une balle. Zoya avait bien fait de partir de la, cela m'enlever un poids sur la conscience mine de rien. Plus le combat se prolongeait, moins j'estimais nos chances de survie. Une dizaine de morts dans nos rangs déjà, et un peu moins chez pour l'alliance, mon collègue de "couvertures" était blessé à l'épaule, mais il se démener pour continuer à tirer juste.
Deux picotements désagréables m'indiquèrent que mes boucliers venaient de me sauver la vie, 75% restants. Miracle, une roquette venait juste de percuter le mako, celui ci lâchait une roue et était incapable de bouger ou d'esquiver à présent. Deux tirs puissant du véhicule vinrent éclater ma couverture me couvrant de poussière et envoya mon collègue et moi même voler sur deux mètre en arrière.
J'étais à terre et le son du combat résonnait étrangement, un sifflement perçant et agaçant me tannait les oreilles. En reprenant conscience rapidement et après m'être assuré étrangement, que rien ne manquait sur moi, comme mes bras par exemple, je parti en arrière en envoyant une rafale de représailles mais imprécise, c'était une action ridicule...
J'étais maintenant à couvert dans l'embouchure de l'entrée du vaisseau, sur la gauche. J'ordonnais à la suite de Valoran, un léger replis, l'ennemi commençait à prendre du terrain à l'aide de grenade et autre, rester la bas aurait causé des pertes inutiles. Deux hommes furent tué pendant le replis, un turien et un humain. L'humaine avec qui j'avais parlé tout à l'heure était à couvert juste à côté de moi, agenouillée pour me permettre de me pencher afin d'ouvrir le feu.
.................................. ESPACE
Les renforts de Féros et la contre attaque du Fédorian et de la frégate humaine commence..............
.................................. PLANETE
Une transmission me parvint.
- Ici le Fédorian, les renforts sont arrivé, tenez encore le coup, on va vous envoyer du monde, tenez bon !
Aucune réponse n'était nécessaire hormis une affirmation histoire qu'il sache que l'on se battait encore. Je ne sais pas pourquoi, mais nous n'arrivions plus à faire mordre la poussière à aucun des adversaires. Merde, de la fumigène.... Ma réaction fut immédiate.
- Reculez dans l'enceinte du vaisseau ! Immédiatement ! Ils vont débarquer !
En effet, la fumée couvrait leurs déplacement, c'était risqué, mais cela leur aurait permis de nous achever au corps à corps en sortant d'un coup de l'épaisse nappe fumante. Nous étions dans la salle de contrôle ou j'avais passé un appel plus tôt. Elle était circulaire et moyennement grande, nous prenions toutes les couvertures de par notre nombre. Je ne sais pas ce qu'il est advenus des tireurs d'élites qui étaient sur la carlingue, ils doivent être sain et sauf pour le moment.
Nous nous abritions derrière n'importe quel débris qui avait était arraché à la structure de base. Une nuée d'ennemi sortit d'une nouvelle nappe de fumée, Les tirs nous barraient absolument toute tentative de riposte, Je vis Valoran... tomber à terre dans une marre de sang gesticulant tout en posant les mains sur sa blessure, sous peu il arrêta de bouger. Une grenade vint déloger deux autres Turiens tué sur le coup. Un calme me permit une tentative de tir, et je fis mouche, deux mort dans la rafale. L'humaine pris une balle dans le ventre à côté de moi, gravement blessé elle se retrouvait assise contre le muret qui nous protégeaient, je lui donnais un petit coup sur l'épaule pour la rassurer. Un oeil a gauche me montra Dentar au moment ou sa tête heurtait le sol.. il.. était mort ? Non, je le vis ramper se mettre a couvert, mais lui aussi incapable de se relever.
Sept.. Sept était le nombre d'hommes encore apte à se battre, mais nos hargne empêchait l'ennemi d'avancer, trois humains et quatre turiens, dont moi. ma dernière rafale fut fatale, mais pas pour la personne que j'espérai, une douleur que je n'avais jamais ressenti je crois me traversa le corps, ce bruit métallique caractéristique de l'armure qui se fente dans le bas ventre, dans l'épaule et dans le bras, trois endroits en feu tellement la douleur fut instantanée, c'est au sol que je trouvais un repos bien mérité, je saignais du bas ventre, le bras et l'épaule c'était moins grave. Qu'allait il advenir ? Les autres étaient encore debout ? Combien d'ennemis étaient encore en vie. Je vis que l'humaine me regardait, un geste douloureux du bras lui indiquait que je respirais encore.
Une explosion retentit au loin suivis d'un bruit assourdissant et de nouveaux, des tirs percutant, le bruit de corps tombant à terre, et la sensation de ne rien comprendre à ce qu'il se passe. Putain, mes yeux s'embrumait, ma respiration devenais aussi douloureuse, il se passe quoi bordel, en fait ma blessure au bras est pas si superficielle, je sens plus mes doigts, merde, où est mon fusil ? Lutter, j'y arrive pas ! Je dois pourtant .. rester la !
Des bruits de pas, je me sens léger, on me soulève ? ...... Une lumière, non deux, un casque ? Sa fait mal, le mouvement des pas me torture. Le sol est froid.. de l'acier, ou suis je, je me sens encore plus léger, une aspiration et une puissance, j'ai l'impression de m'envoler. Je ne vois plus rien.
Dix minutes après.....................
Le hangar, je suis dans le hangar du Fédorian ! Ils sont venus à temps, et ils ont tué ses fils de putes ! Merde, j'ai encore mal, je rêve ou est ce la réalité? J'en sais plus rien. Je crois que mon casque n'est plus la... Qui est ce... Kimbree ?
- .. T'inquiète mon pote.... Tu vas..... sortir... Vous avez... La mission est accomplie.........
J'entendais pas bien, pourquoi cela me faisait il rire ? Une piqûre, aie ! le sommeil...