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 Amnatiss Gallagher

Amnatiss Gallagher
Amnatiss Gallagher
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MessageSujet: Amnatiss Gallagher   Amnatiss Gallagher Icon_minitimeMar 18 Déc 2018, 19:58
Amnatiss Gallagher 1545160704-fa501c87301641cc69e11737e5877095
Registre Galactique des espèces
AMNATISS GALLAGHER

Informations primaires

Sexe : F
Espèce : Humain
Âge : 39
Faction : UCIP
Poste / Grade : Lieutenant
Parenté : Hugo Gallagher & Ilyès Adjib Gallagher
Situation maritale : Célibataire
Planète d'origine : Terre


Histoire

L’histoire d’Amnatiss Gallagher commença en 2165, mais si l’on omet une exposition fœtale à l’élément zéro, sa très jeune enfance n’eut rien d’exceptionnelle. Elle était née sur Terre, d’un père britannique et d’une mère égyptienne, mais ses parents faisaient parti de l’effort de colonisation de la Verge Skyllian, si bien qu’elle s’est toujours considérée comme étant d’Elysium. Bien entendu, le Raid Skyllien de 2176 fut un tournant dans la vie de la jeune fille, qui fut capturée et enfermée par des pirates butariens sur une lune de Joppa. Plusieurs autres civils étaient enfermés là, chacun enfoncé dans une cellule de la taille d’un placard à balais.

Dans cet espace restreint où il était impossible ne serait-ce que de s’asseoir ou respirer convenablement, l’enfant du subir un stress énorme qui provoqua chez elle une canitie subite, qu’on appelle généralement un « syndrome de Marie-Antoinette ». Ses cheveux, durant le courant de la nuit, virèrent tous au blanc. Autre conséquence de ce choc, son système nerveux était en ébullition, et lorsqu’un Butarien vint ouvrir la cellule pour effectuer le transfert des prisonniers avant que l’Alliance ne prenne sa revanche, il fut surpris de découvrir que l’enfant maîtrisait la biotique. Maîtriser est un bien grand mot, car elle ne comprenait en aucun cas ce qu’elle faisait, et après avoir violemment projeté le pirate loin d’elle, elle était terrorisé par son propre acte. Elle put ouvrir les autres cellules, et les prisonniers purent, par leur mutinerie, paralyser les pirates suffisamment longtemps pour que l’Alliance vienne les récupérer. Les pouvoirs biotiques d’Amnatiss ne se manifesteraient plus de manière aussi puissante durant des années, et tout porte à croire que le stress intense et soudain qu’elle avait subit était à l’origine de cet accès de pouvoir.

Elysium resta un lieu dangereux, mais Amnatiss put y grandir et recevoir son implant biotique. En 2183, elle eu l’occasion de rejoindre l’académie militaire de la planète, prête à servir l’Alliance. Si elle eu, lors des premiers mois, du mal avec la discipline et le respect de la hiérarchie, elle était d’une bonne condition physique, s’avérait être une tireuse de grand talent et répondait sans problème aux exigences physiques de l’armée. L’entente avec les camarades était très bonne, et on ne comptait plus les surnoms qu’on donnait à la tête blanche. Ses capacités biotiques lui permirent de suivre un programme spécialisé, et elle quitta sa formation avec un grade de sergent-chef. Malheureusement, 2186 était une mauvaise période pour rejoindre la Seconde Flotte.

Mais avant de passer à la Grande Guerre, il faut savoir que la jeune fille n’était pas entièrement dédiée à la guerre. Elle était passionnée par les sports, et les holos. L’influence de la culture butarienne sur Elysium n’y était pas pour rien, et elle découvrait, par l’intermédiaire de leurs holos, tout un univers de spectacle brutal qui lui plaisait beaucoup. Les sports de combat avaient une place importante dans son cœur, et en plus de son travail, elle pratiquait la boxe anglaise, héritage de son lieu de naissance.

Puis vint la guerre. Elle participa à la bataille qui fit la renommée posthume de l’amiral Kastanie Drescher, et fit parti des rares rescapés. Pour l’un de ses premiers déploiement, affronter le fer de lance des Moissonneurs n’était pas la meilleure expérience, et la destruction de la seconde flotte la réaffecta de force dans la troisième. Elle s’y battit avec courage, menant son escouade d’une main de fer. Sur le champ de bataille, elle avait la réputation de n’être que détermination et violence, et elle faisait payer chaque mètre de terrain que les moissonnés cherchaient à couvrir. Elle fut rapidement intégrée à une escouade spécialisée dans la guerre non-conventionnelle, frappant au cœur des lignes ennemis afin d’y extraire civils, matériel d’importance capitale ou VIP. Les théâtres d’opération étaient nombreux, et plus la guerre s’éternisaient, plus les missions étaient dangereuses. Quant aux rares temps de repos entre chaque déploiement, Amnatiss les chérissaient comme de l’ambroisie. Le régiment fatiguait, et personne ne voyait le bout de cette guerre.

Pour leurs capacités d’infiltration et d’exfiltration, Amnatiss et ses hommes furent plusieurs fois envoyés affronter Cerberus. Il s’agissait souvent de missions de sabotage et de récupération d’information. Amnatiss s’avérait douée pour protéger son équipe, capable de projeter un champ de protection biotique, ou de couvrir une zone dégagée avec quelques salves suffisamment précises. L’escouade ne craignait ni le nombre, ni la férocité des ennemis, mais se retrouva plusieurs fois handicapé par la présence de blindés. Le support aérien était alors leur meilleur moyen de s’en sortir en vie, et Amnatiss finit par tisser des liens forts avec les différentes escadrilles de chasseurs qui coopéraient avec son régiment. Ces affrontements firent les plus belles heures de la sergent-chef, et elle aurait beaucoup à vous raconter sur ces missions.

Outre ses talents militaires, Amnatiss avait un autre petit quelque chose qui la rendait appréciée des troupes. Rapidement, elle s’était rendu compte que le moral était l’une des valeurs les plus importantes à prendre en compte pour affronter un ennemi aussi terrifiant que les moissonnés. Pour plaire à ses troupes, mais également pour se fournir en matériel, elle se lança dans la contrebande, parvenant à faire parvenir tel bouteille qu’un soldat souhaitait boire avant de voir sa fin arriver, tel cadeau qu’un autre voulait envoyer à sa femme… Les hommes d’Amnatiss savaient quelles répercussions elle encourait si ça se savait, mais ils étaient très reconnaissants et se battraient jusqu’au bout pour leur sergent-chef, prête à sacrifier sa place dans l’armée pour leur mettre du baume au cœur. Leur lieutenant, Gilles Crossfinn, n’était pas dupe mais n’avait pas de preuves, et réalisait le bien que son petit manège faisait aux troupes. A guerres d’exceptions, méthodes d’exceptions.

La mission la plus désastreuse à laquelle Amnatiss pu participer était une exfiltration de guerrières asaris, lors de la bataille d’Athame. Les troupes des Républiques utilisaient Athame et Janiri comme des points de ralliement et de ravitaillement pour le front de Thessia, d’une importance bien plus capitale. Mais Athame elle même était bien peu défendue, et les Moissonneurs finirent par y apporter leur attention. Comme toujours, l’assaut était d’une brutalité phénoménale, et les troupes des Asaris en présence furent dispersées, forcées de se séparer du reste de l’armée pour survivre. La mission des soldats de l’Alliance était simple : localiser un de ces groupes isolés, le rapatrier, puis passer au suivant.

Les troupes en présence avaient sous-estimé l’ampleur de la rétribution offerte par les Moissonneurs. Localiser les poches de résistance était simple, car elles laissaient un sillon de mort dès qu’elle se déplaçaient, tant les troupes ennemis étaient nombreuses. L’équipe d’Amnatiss trouva leur cible, et furent déployés avec une balise servant à localiser l’escouade et permettant au vaisseau d’exfiltration de les suivre. Les Asaris étaient retranchés dans une cuvette, coincées là par des contournements habiles (bien que sûrement hasardeux) des troupes moissonnées. Le vaisseau ne pouvait s’y glisser sans s’offrir aux tirs ennemis, et les troupes durent avancer sans couverture pour rejoindre les guerrières. Leur but était de dégager un couloir pour les évacuer, mais cette première tactique ne fonctionna pas.

Pire que devoir organiser une retraite, l’escouade d’Amnatiss se retrouva bloquée elle même. Elle avançait difficilement à travers les lignes moissonnées, et la sergent-chef s’épuisait à tenir son bouclier biotique autour de ses troupes. Mètre après mètre, il fallait avancer, car les moissonnés, eux, ne tomberaient pas à court de munitions ou de soldats. Pour que les biotiques puissent se reposer, deux soldats du génie adjoints à l’escouade leur creusèrent en un éclair une tranchée, dans laquelle ceux avec des pouvoirs purent avoir quelques instants de répit, et ceux avec des armes lourdes purent les poser pour éclaircir le périmètre. Après un court siège, le bruit des tirs se calmèrent, les ennemis reculaient et l’escouade vit dans ce silence un signe qu’elle pouvait espérer rejoindre la troupe d’Asaris.

L’équipe sortit de son couvert et s’élança dans la cuvette, uniquement pour découvrir que les Asaris étaient toutes exterminées. Les moissonnés avaient battu en retraite uniquement pour pouvoir concentrer leur effort sur les nouvelles cibles. Couverts de boues et maculés du sang des camarades déjà morts durant l’opération, les soldats d’Amnatiss étaient fatigués et constituaient des cibles parfaites : près de la moitié de l’escouade fut mise à terre par la première salve, et l’autre traînait les blessés derrière les rares couverts qui n’avaient pas été détruits par l’assaut contre les Asaris. Amnatiss criait ses ordres à en perdre l’usage de sa voix : « Dressez les barrières ! », « Tir de suppression ! », « La balise, appelez l’extraction ! ». L’extraction ne venait pas, et les soldats tombaient, les uns après les autres. Un tir de maraudeur brûla la droite du visage d’Amnatiss, passant au travers de sa barrière, transformant son œil en une bouillie infâme et douloureuse. Elle s’effondrait, comme le reste de ses hommes.

Il n’y eut que trois survivants à ce qu’ils appelèrent par la suite dans le cercle privé « ce jour là, sur Athame ». Le lieutenant Crossfinn du dépêcher une autre escouade pour les évacuer, avec cette fois ci un support aérien de Mantis. Amnatiss dû assister au reste de la guerre depuis une chambre d’hôpital, enragée par son handicap et son échec. Elle refusa la greffe de peau, incapable de se débarrasser du souvenir du massacre de ses hommes. On remplaça son œil par un autre, synthétique. Elle adopta le port du cache-oeil, en partie pour masquer les brûlures, mais aussi l’aspect morne de cet œil sans vie. Cet œil lui sert désormais à enclencher le scan tactique de son omni-tech, chose faisable à travers l’épaisseur du cache-oeil, plus fine en son centre.

Après la guerre, elle fut décorée et gagna en galon, atteignant le rôle de lieutenant pour ses actions héroïques contre Cerberus et son service exemplaire lors de la guerre. On évitait de parler de ce jour là, sur Athame, car l’après-Grande Guerre ne se souciait pas des défaites. Seules les victoires et la reconstruction comptaient. Elle continua de servir durant cinq années, qu’elle mis à bon profit, continuant de développer ses talents biotiques comme ses capacités de commandement. Elle n’arrêta pas franchement la contrebande, mais se faisait bien plus discrète que durant la guerre. On va pas dire non quand il s’agit d’arrondir les fins de mois.

A l’achèvement de ces cinq années, elle souhaitait rejoindre les forces spéciales et fit tout pour participer au programme N. Les N avaient été réduits drastiquement durant la guerre, et chaque année voit de nouvelles têtes arriver, si bien qu’elle pu finir dans les profils évalués. Et échoua à la sélection. Après la guerre, si ses talents militaires n’ont fait que grandir, son caractère de cochon également, et elle fut jugée bien trop désobéissante pour mériter d’entrer dans les forces spéciales. On la sait tête brûlée (sans mauvais jeu de mot), déroutante et flirtant avec les limites de l’insubordination (si ce n’est de la légalité). Elle compris ce refus, mais fut amère et finit par quitter l’armée, quelques mois plus tard. Elle savait que, ultimement, elle y reviendrait, mais elle avait besoin d’un peu de repos.

Elle repris la compétition sportive, abandonnant la boxe de sa jeunesse pour le catch. Elle participe à des matchs sur Terre, sur Illium, et même une rencontre exceptionnelle sur Tuchanka, sous le nom de son personnage, la « One-Eyed Witch ». C’est à cette période qu’elle obtient son tatouage, par ailleurs. Elle connu un franc succès chez les amateurs, utilisant ses pouvoirs biotiques pour impressionner les foules, et sa condition physique exemplaire pour réaliser des prises redoutables. Elle incarnait un rôle que la foule aimait détester, celui de la terrible rivale, l’ennemie public numéro un, l’ex-militaire trop violente pour l’armée, la femme à abattre. On la met souvent en scène comme la survivante du Raid Skyllien, cherchant à prendre sa vengeance sur des adversaires Butariens, bien qu’elle même n’éprouvait pas tant que ça de rancune de cette époque. Elle ne dirait pas qu’elle a oublié, car ses cheveux blancs le lui rappelleront toujours, mais elle n’était pas du genre à en vouloir à une espèce entière facilement. Seuls les Moissonneurs avaient droit à ce traitement. A ses 29 ans, elle était au sommet de sa gloire, une étoile qu’aucun ciel ne semblait pouvoir contenir.

Le ring lui plaisait, et elle pu y trouver la reconnaissance publique que l’armée ne lui avait jamais permis d’apercevoir autrement que par des médailles qui trônaient au fond d’un tiroir. Ce revirement de carrière n’étonna pas vraiment ses proches, qui comprenaient son besoin d’un grand air frais après avoir été refusée par le programme N. Ils savaient qu’elle l’avait bien mérité, mais ils savaient tout autant que ça n’était pas dans le caractère d’Amnatiss d’accepter pleinement un refus catégorique. Elle cherchait à se défouler, et elle le faisait de la seule manière qu’elle connaissait : à fond.

Sa carrière sportive pris fin en 2199. Une blessure mit en scène son retrait, qui se concrétisa rapidement. L’histoire de la One-Eyed Witch était terminée, et durant un an entier, elle se laissa vivre sur ses économies. Elle en profita pour voyager, flânant dans différents endroits de la galaxie, généralement plus calmes et ruraux que les grandes cités dans lesquelles elle vivait durant son encore toute récente carrière. C’est dans cette période que le terrorisme monta dans la galaxie, notamment sur Palaven. Retirée de la vie publique autant que du service actif, Amnatiss n’avait pas trop à se soucier de ça, mais elle y pensait, fréquemment. Et si elle rejoignait cet UCIP ? Et si c’était une bonne occasion pour un nouveau départ ? Elle continua de s’entretenir et, à vrai dire, redoublait d’effort, avec un nouvel objectif en tête, celui de réintégrer l’armée.

Dès qu’elle tenta de recontacter l’Alliance, elle se retrouva face à des murs, mais Gilles Crossfin, jadis son lieutenant, vint à elle. Il cherchait des hommes prêts à tout pour rejoindre un groupe selon lui plus important que l'Alliance elle même : l'UCIP. Elle accepta immédiatement, et fut propulsée de nouveau à son grade de lieutenant et, dans le même temps, à celui de capitaine de corvette. Son équipage était pour le moins hétéroclite, et ça n’était pas les forces spéciales, mais c’était exactement ce dont Amnatiss avait besoin. Durant les années qui suivirent, elle raffina son équipage et leurs capacités, participant à des opérations jamais trop douteuses, jamais trop dangereuses. Ainsi, elle pouvait agir en dehors des zones de juridiction de l’Alliance et accéder à du matériel de qualité. L'UCIP avait les chercheurs et le public de leur côté ; que pouvait-il arriver de mal?


Apparence

Amnatiss se remarque surtout pour ses cheveux blancs, mais ça n'est pas sa seule caractéristique. Elle n'est pas à proprement parler borgne, son œil droit ayant été remplacé par un nouveau, synthétique, mais elle porte un bandeau la majeure partie du temps, ne le retirant qu'en privé. De la peau à droite de son visage est brûlée, la rendant plus pâle que le reste de sa peau, qui est basanée. La plupart de ces brûlures sont cachées par ses cheveux, qu'elle porte long ou tressés. Si l'on souhaite continuer sur son visage, on notera un tatouage sous l'oeil, qui rappelle ses origines égyptienne, et fut son symbole lors de sa carrière sportive. Outre ceci, elle dispose d'un corps rigide et entraîné, bien que l'âge et ses dernières années en dehors de l'armée ait eu tendance à l'assouplir et le rendre plus doux.


Caractère

Désobéissante et incapable d'accepter une erreur, Amnatiss doit son retour dans l'armée à son unique efficacité. Elle insulte, crache et donne de grandes tapes dans l'épaule, faisant fi de la hiérarchie dès qu'elle est en un suffisamment petit comité. Elle préfère ne pas faire d'esbroufes lorsqu'elle est face à trop haut gradé, ou Gilles Crossfin. Egalement, lorsqu'elle est déployée conjointement à des forces n'appartenant pas à l'UCIP, elle évite de s'afficher ouvertement sous ses pires aspects, probablement de peur de leur donner une sale réputation.

Au combat, elle protège ses alliés au péril de sa vie, ayant principalement axé sa maîtrise biotique autour de pouvoirs de protection. Ce trait se ressent sur sa manière de gérer son équipage, bien qu'il faille nuancer le propos. Elle est exigeante d'eux, mais les protège des affres du commandement et de l'administration, épuisant les blâmes et les heures de briefing à leur place. Sur le terrain, ils ont en revanche intérêt à obéir au doigt et à l’œil, et tous doivent être prêts à rejoindre leur postes de combat à tout moment lorsque la frégate est en vol. Se faire "jeter par le sas" est devenu une menace fréquent, que ce soit par la bouche d'Amnatiss ou entre les soldats eux même.

Dans le privé, elle est quelqu'un qui aime se la raconter (bien qu'elle ait suffisamment de faits d'armes pour ne pas avoir à trop exagérer), et est prête à plaisanter avec n'importe qui - même un ennemi d'autrefois. Son ton enjoué pourrait changer du tout au tout d'une facile manière ; si on lui fait parler de ce jour là, sur Athame. La douleur est encore vive et source de nombre de remords.


Compétences / Profil

Voir ce topic pour l'aide.
Profil :

Porte-étendard (5/8/5)

Équipement :

Armes : M-3 Predator
Armurerie : M-15 Vindicator

Compétences :

Militaire : Maîtrise avancée au tir, et combattante entraînée au corps à corps. Pouvoirs : Dards (3), grenades incapacitantes (2)
Biotique : Biotique accomplie. Pouvoirs : Défenseur biotique (Bulle biotique, barrière biotique, stase, le tout pour 8)
Technologie : Extincteur intégré (2), omnilame (2)




Compléments

Signe(s) distinctif(s) : Un tatouage sous l'oeil, je suppose que ça compte.
L'objectif de votre personnage à long terme ? : Pour le moment, permettre à l'UCIP d'endiguer l'EN, et s'assurer qu'elle devienne une force stable, neutre et durable.


Hors Personnage

Est-ce un double compte ? : Oui, de Scipio Sempronia.




Dernière édition par Amnatiss Gallagher le Ven 04 Jan 2019, 21:35, édité 6 fois
Maylyn T'Lovi
Maylyn T'Lovi
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Messages : 65

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MessageSujet: Re: Amnatiss Gallagher   Amnatiss Gallagher Icon_minitimeMer 19 Déc 2018, 16:12
Et beh, (re)bienvenu ! Qu'on se batte ensemble ou l'un contre l'autre, mais que ça soit intense !
Adrien Annaz

Personnage RP
Faction : Alliance
Rang : Lieutenant
Adrien Annaz
Administrateur
Messages : 8542
Crédits : Matt Bomer - Lleyton Benam

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MessageSujet: Re: Amnatiss Gallagher   Amnatiss Gallagher Icon_minitimeDim 06 Jan 2019, 22:00
Tu connais les lieux, y'a un stand de libre près de celui avec le Turien qui vends les nouilles Trollface
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MessageSujet: Re: Amnatiss Gallagher   Amnatiss Gallagher Icon_minitime
 

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