Messages : 3 Crédits : Mwa
| Sujet: [En écriture.] Edward Jonhson Mer 03 Fév 2016, 14:45 | | | Registre Galactique des espèces Edward / JohnsonInformations primaires Sexe : Masculin. Race : Humain. Âge : 28 ans. Faction : Alliance. Poste / Grade : Caporal Parenté : Situation maritale : Célibataire. Planète d'origine : la Terre.
Histoire En l'an 2187, la Terre, planète mère de l'humanité subit une attaque succinct des moissonneurs, une race alien technologiquement supérieure et avancée par rapport aux civilisations de l'époque. Mais la Terre n'était que le feu de départ de cette nouvelle force pourtant connue mais ignorée délibérément par « le Conseil », l'organisation régissant toutes les civilisations assez évoluées économiquement et technologiquement dans la Voie Lactée.
Né dans un paysage montagnard à l'extrémité du pays allemand dans l'une des prairies de l'Alsace, Edward Johnson est l'enfant de deux militaires professionnels de l'Alliance, l'une portant le nom de Katia Andrades, Lieutenant dans le 102e régiment d'infanterie et l'autre William Johnson, Sergent ainsi que Fusilier marin dans le 72e régiment de fusiliers marins. Jusqu'à ses quatorze ans, Edward Johnson était un passionné de lecture ainsi que de sports de combats, il adorait toujours apprendre plus sur toutes les choses qui l'entourait. C'est ainsi que la vie du jeune Johnson coulait son cours jusqu'au jour où l'invasion brutale des moissonneurs pointa le bout de son nez. Malgré l'alerte générale lancée pour fuir la Terre, les parents de Edward quittèrent la maison familiale pour reprendre chacun les armes, n'acceptant pas de voir leur monde tomber aux mains de ce nouvel oppresseur. Après de longs débâcles avec le père concernant le prochain départ de la famille, ils décidèrent de se séparer le temps du conflit pour partir chacun de son côté combattre sur deux théâtres d'opérations différents. Le jeune alsacien suivit sa mère âgée de trente-quatre ans qui se dirigeait en direction de la capitale française, là où elle avait été appelée par plusieurs volontaires de son ancien régiment qui ne voulait eux aussi poser les armes. C'était là aussi où les combats étaient les plus intenses et violents tandis le père quant à lui fût appelé pour mettre en place une petite résistance avec plusieurs de ses anciens camarades vers Strasbourg, une des plus grosses villes du département. Pendant la semaine qui a suivi, la mère avait rejoint tout le régiment résidant sur la capitale mise à feu et à sang par le tout nouveau fléau en compagnie de son fils. Alors que la guerre faisait rage, la mère de Edward voyait la situation se ternir et par question de nécessité donna quelques simples cours de survie à son fils ainsi que les méthodes à utiliser en cas de confrontation direct avec l'ennemi qui prenait de plus en plus de terrain. Quelques semaines après le commencement du conflit, Katia apprit que William Johnson ainsi que tous ses camarades étaient tombés au combat, cette nouvelle l'attrista profondément mais ne fit que réveiller une haine envers les moissonneurs et tout leurs sympathisants. Quant à Edward, il ne s'en doutait que trop pour se soucier de la mort de son père, tout de même attristé, il préféra rester pragmatique et de prendre tout sur lui-même, un acte très mature pour un jeune adolescent de cet âge. Pendant les mois qui suivirent, les volontaires du régiment se transformèrent en un groupe de résistance qui menait des attaques de guérilla sur ce territoire désormais de non-droit.
Les combat furent intenses et durs, trois mois avant le retour de Shepard, la petite résistance qui s'était établie sur Paris perdait de plus en plus d'hommes et de ressources. La faim et la fatigue commençaient à guetter petit à petit leurs rangs, au total ils n'étaient plus qu'une trentaine de soldats pour une cinquantaine de civils. Le petit groupe savait bien que la bataille face au moissonneurs était loin d'être terminée et décidèrent ensemble de former tout les hommes, femmes aptes à porter une armes. Katia tenta en vint d'empêcher à ce qu'Edward ne rejoigne le lot, un gamin âgé de bientôt quinze ans pour elle n'avait rien à faire parmi les troupes de la résistance mais ce fût en vint car ils ne pouvaient ne faire autrement qu'avec les moyens du bord. Pendant plusieurs semaines, le groupe de volontaire forma la cinquantaine de civils à utiliser des armes face à l'opposant, utilisant les restes d'armes et d'armures des soldats tombés au combat lors des derniers mois. Quand l'entraînement toucha à sa fin, le groupe de civils furent hiérarchisés et éparpillés parmi plusieurs escouades composées chacune de quatre personnes ainsi que menées chacune par un militaire professionnel qui possédait le privilège de choisir les membres de son équipe. Katia prît donc sous son aile son fils ainsi que trois autres civils en qui elle avait une confiance absolue qui prirent le nom de «Unité 413 ».
Deux semaines avant l'assaut de Shepard, la résistance fut informée des exploits du héros intergalactique ainsi que des actions de l'Amiral Anderson pour unifier les mouvements de résistances. La soixantaine de combattants restants se joignirent aux autres mouvements, se qui regonflit le moral des troupes toujours en place sur Paris. L'Unité 413 fut dès lors chargée de garder le contact avec Londres et Vancouver pour se tenir au jus des différentes informations qui pourrait passer. Ce n'est que le jour où les dernières forces de l'alliance et du Conseil menées par l'Amiral Hackett et le Commandant Shepard qu'enfin le groupe de résistance commença à faire du bruit dans la ville lumière, « La dernière bataille pour la Terre » ou « Le jour de la liberté » comme le dénommait le petit groupe de résistants. En compagnie des autres résistances locales, plusieurs attentats à l'encontre des bâtiments moissonneurs ce jour furent faits dans le but de pouvoir déstabiliser le maximum d'ennemis.
L'Unité 413 était sur le coup, Katia avait appris tout ce qu'elle avait pu à son fils pour que celui-ci puisse enfin s'en sortir pour ce jour-là, le jour pour la dernière bataille contre les moissonneurs. « Combattre ou mourir » était leur cri de guerre, l'acharnement pour la victoire de Londres ne leur donna comme seul chose la volonté de réussir pour leur futur objectif qui était l'un des plus difficiles que le groupe de résistance s'était fixé jusqu'à présent : Combattre directement les forces des moissonneurs. Le nom de mission suicide avait prît tout son sens dans la tête des résistants, en effet des monstruosités baptisés zombies avaient été repérés par des guetteurs dans le 13e arrondissement à moins de 200m du QG. Ils étaient la parfaite cible pour la petite escouade même si le seul bémol restait que la meute adverse se comptaient par centaine. Ils n'avaient donc plus le choix et foncèrent tout droit sur l'objectif, arme à la main, Edward ainsi que les autres membres tirèrent à vue sur chacun des monstres à portée de tir et se creusèrent un chemin dans la zone infestée. La leader de l'escouade observa au loin un bâtiment encore en état qui était le parfait endroit pour maintenir un siège le temps de la mission. L’équipe s'y dirigea sur le champs, lorsqu'ils arrivèrent enfin ils placèrent un mini-siège au troisième étage, celui-ci offrait une parfaite vue sur Paris ainsi qu'un parfait lieu pour maintenir un siège le temps de pouvoir déloger les zombies sur la zone.
Les balles perlaient sur la foule enragée lorsque le ciel s'illumina, des centaines de vaisseaux avaient rejoint l'espace terrien. Edward, sa mère et les trois autres miliciens levèrent leurs armes qui furent accompagnées de cris de joie juste avant de reprendre le combat. Le siège semblait perdurer alors que la guerre commençait à toucher à sa fin, la confiance et l'espoir d'un avenir meilleur avaient envahi les esprits des membres de l'escouade lorsqu'un groupe déchaîné composé d'une vingtaine de zombies est parvenu à rentrer dans le complexe. Cette charge inattendue causa la perte de trois membres de l'escouade dans la foulée, tous déchiquetés ou touchés mortellement. Il ne restait plus que Katia et Edward qui étaient encore debout pour combattre. Les ennemis se rapprochaient de leurs futures proies et subitement l'un deux tenta de se jeter sur Edward mais la vivacité de la mère prit le dessus et celle-ci dans un temps record l'intercepta avec deux tirs de fusil d'assaut dans la tête de la bestiole affamée. Au fur et à mesure que la situation devenait intenable, Edward et sa mère reculaient face à l'assaut indomptable et se rapprochèrent du bord du bâtiment. L'adolescent sentit son pied droit glisser sur quelques graviers au bord de l'immeuble avant de se rendre compte qu'il se trouvait dos au vide. Alors que la situation ne s'arrangeait pas, une onde de choc de couleur rougeâtre vit le jour dans le ciel et grandissait en direction du sol Terrien. A ce moment-là, tout deux savaient que Shepard avait possiblement réussit mais qu'elle ne fut pas la surprise lorsqu'un des zombies de la meute s’élança vers la femme et se jeta sur elle pour l'emmener dans sa chute dans le vide. Le jeune garçon se retrouva seul devant la horde infernale qui l'entourait de part et d'autre et qui se mirent dans les secondes suivantes à courir vers l'humain. Il tenta de riposter à l'aide de son arme mais n'en toucha aucun dans leurs courses effrénées , la situation devenait critique lorsque par chance l'halo de couleur qui avait embrassé le ciel il y a peu toucha son corps, il ferma par simple réflexe les yeux lorsque la douce chaleur le transperça. La lumière écarlate toucha également tout les opposants de l'adolescent qui se désintégrèrent sur le champs au contact de celle-ci. Cette sensation de chaleur qui l'avait traversé lui resta marqué pendant un bout de temps, lorsqu'il ouvrit les yeux, il se rendit compte que les monstres qui lui voulaient sa mort étaient tombés, en regardant droit vers le ciel il vît les moissonneurs s'écrouler contre le sol, la bataille pour la Terre était enfin gagnée.
Edward se tenait debout, le regard qui se perdait en direction de l'atmosphère terrestre, la ville autrefois lumière était désormais en ruines. Il baissa le regard vers le bas de l'immeuble où il vît le corps de sa mère inerte, morte. Bizarrement l'idée de la sauver ne lui avait pas traversé une seconde l'esprit pendant ces derniers instants, celle qu'il était devenu orphelin non plus. L'adolescent avait souffert, beaucoup trop souffert mais si la vie ne lui avait pas accordée une chose, c'était bien le temps de pleurer, de vivre, de rêver, d'avoir le droit à des émotions et idéaux. Non il n'avait jamais eu le droit à tout cela, il avait toujours dû se limiter à des règles de survie pendant ces derniers mois et se retrouvait désormais perdu dans cette ville. Pendant les mois suivant la victoire face aux moissonneurs, il traça seul son chemin, désertant le groupe de résistants qui n'avait plus aucun sens pour lui. Enfin il pouvait faire ses choix mais encore une fois c'était que des choix d'adultes pas ceux d'un adolescent de 15 ans. Malgré tout une seule chose le rattachait à son ancienne famille, c'était le pendentif que tout militaire possédait, une plaque avec les identifiants et le matricule de sa mère sur lequel était noté les différentes informations. Sur celle-ci on pouvait observer les données suivantes : «Matricule : KA-4561-7542, Nom : Andrades, Prénom : Katia ».
Lors des deux années suivantes, Edward avait atteint les dix-sept ans et vivait avec quelques habits déchirés ainsi que des bouts de tissus qu'il avait pu récupérer dans une boutique de l'avant-guerre. Il avait aussi trouvé sur le passage un vieux pistolet datant de l’époque de l'offensive des moissonneurs. Il survivait en tant que voleur à la va-vite avec des petits vols dans un des anciens quartiers encore en reconstruction de Paris suite aux dommages provoqués deux années en arrières. Mais un jour l'un de ses vols à la tire tourna mal, alors qu'il était parvenu à dérober une bague en or massif se vendant assez cher sur le marché noir, manque de bol, il fût prît en plein délit par deux militaires l'ayant vu faire qui l'avaient poursuivit sur le champs dans sa fuite à travers les ruelles adjacentes. La poursuite fût rapide et le jeune homme mangea le sol face à ces deux poids lourds qui lui avait bondit dessus lors de la course-poursuite.
« - Rends-moi ça tout de suite sale voleur !
- Non c'est à moi !
- Tu vas nous faire croire qu'une bague en or t'appartient ?
- Tout à fait !
- Prends-nous pas pour des pigeons gamin, tu viens de le faire devant nos yeux ! »
L'un des soldats releva le jeune garçon et le menottit avant de le dépouiller de toutes les affaires qu'il avait dans ses poches ainsi que la bague qu'il avait dérobé. L'un d'eux trouva le vieux flingue ainsi que le pendentif, il oscilla d'un sourcil avant de retourner le jeune homme qui avait les mains liées, d'un regard instigateur, il observa dans les moindres recoins Edward Johnson avant de prendre la parole en lui montrant les deux objets qu'il tenait en main.
« - Tu sais à qui appartenait ces deux choses au moins gamin ? »
L'adolescent baissa les yeux, fuyant le regard interrogateur du militaire, pas qu'il avait peur de lui mais qu'il tentait de cacher le douloureux passé qu'il avait vécu. Le militaire s'énerva et l’attrapa de toute ses forces, secouant celui-ci de devant en arrière pendant que le deuxième couvrait la ruelle.
« - EST-CE-QUE TU LE SAIS AU MOINS ??! » Hurla-t'il.
Pendant quelques secondes le jeune alsacien resta terne, son regard quant à lui se perdit un instant et ne prît même pas la peine de lui répondre, des larmes commençaient à perler lorsqu'il les essuya, n'assumant pas les événements qu'il à vécu. Edward n'avait visiblement pas envie de le dire mais malgré l'acharnement du soldat il se sentit forcé de répondre à la demande même si l'envie de ne rien dire le tentait énormément.
« - Ouais, j'sais, 'fin p't être.
- Alors répond quand je te parle bordel !
- C'tait à ma mère, Unité 413. »
l'Homme recula en réprimant un sourire à la fois de dégoût et colérique. Il soupira et perdit son regard lui aussi pendant un court moment, fixant un instant le sol poussiéreux de la ruelle avant que celui-ci ne revienne sur le jeune homme.
« -Unité 413.. Tu connais l'histoire au moins ?
- J'étais de l'Unité 413.»
Tout d'abord un sourire nerveux s'afficha sur le visage du militaire, il ria jaune pendant quelques minutes en ne se décrochant pas du regard de celui-ci avant de froncer les sourcils à nouveau vers Edward. En effet, l'histoire de la petite résistance et spécifiquement de cette unité avait fait le tour de tout le quartier, ce qui n'était que très peu étonnant étant donné que le groupe de résistants s'était établi dans les environs lors de la guerre face aux moissonneurs.
« - On l'embarque, le lieutenant décidera de son sort. »
Le militaire attrapa le jeune garçon par le col de sa veste avant de traîner sur le train-arrière de celui-ci sur le chemin bétonné. Le deuxième soldat qui effectuait la garde se décala sur sa gauche à la vue de l'arrivée de son confrère avec le jeune nouvellement prisonnier. Celui-ci fut relevé et bousculé à maintes reprises par les soldats ricanant pendant tout le long de ce bref voyage. Le jeune homme pendant le cours de l'escorte étant légèrement irrité par les railleries des militaires et rouspéta plusieurs fois son indignation.
« - Hey ! Lâchez-moi ! vous avez pas le droit !»
Les militaires ricanèrent une fois de plus en l'escortant vers une des casernes de l'Alliance située à quelques dizaines de mètres à pieds. Lors du convoi, les passants se promenant le long de l'avenue se questionnèrent sur l'adolescent et pourquoi il était accompagné par les deux soldats de l'Alliance.
« - On a tout les droits gamin.» Fit l'homme armé avec dédain.
Quelques minutes de marche plus tard, un grand bâtiment de forme rectangulaire se dévoila devant le forcené. Celui-ci correspondait au style parisien de part sa structure et sa couleur malgré que ce bâtiment au style atypique possédait encore des traces des impacts de balles de la dernière guerre le long de sa façade. Il était aussi orné de barreaux installés l'un après l'autre aux bords des fenêtres ainsi que d'une forme géométrique métallique représentant le logo de l'Alliance posté par-dessus la porte centrale du bâtiment militarisé elle-même gardée par deux soldats affectés à la garde. Il n'eut pas le temps d'apprécier l'œuvre d'art se dressant devant lui car il fut pressé de rentrer par la porte centrale avec les militaires l'accompagnant. En rentrant dans le QG militaire, il fût soumis à la procédure habituel : Prise d'empreintes biométriques, analyse de l'ADN, vérification des antécédents criminel. Il observa les alentours distinguant chaque petits détails de la pièce. Elle était composée de plusieurs meubles ainsi que du personnel agréé mais il n'eut le temps de tous les examiner à l'oeil nu et monta au deuxième étage où une salle lugubre située dix mètres l'attendait.
L'un des deux hommes armé posa sa main sur l'épaule du gamin et le força à s'asseoir sur une des chaises... À vrai dire il n'y avait que deux chaises et une table en acier séparant les deux. Une fois la vérification de la salle finie, les deux militaires sortirent de la salle et l'un d'eux porta son regard sur le jeune voleur.
" - Tu attends, il arrive." fit-le soldat avant de verrouiller la porte à double tours.
Un quart d'heure passa avant que la porte ne soit enfin déverrouillée. Lorsque le grincement de la porte contre le sol retentir, Edward leva sa tête et observa l'inconnu. L'homme mesurait aux alentours de un mètre quatre-vingt, d'une tête carrée ainsi que d'une barbe proéminente sur son visage, il arborait aussi les couleurs de l'Alliance avec une tenue vestimentaire semblable à celle d'un officier. Dossier en main, il marcha lentement vers la chaise lui étant tout destiné et jeta celui-ci sur la table avant de s'asseoir. Un instant son regard transcendant se plongea dans celui de l'adolescent qui surprit gloussa avant de se ressaisir.
" - Vol à main armée, vol à la tire et je ne citerai pas le reste..
- Tu sais pourquoi tu es là aujourd'hui ?
- Vous allez me le dire n'est-ce-pas ?" Fit Edward, en s'adossant à sa chaise.
La salle fut silencieuse pendant quelques secondes et laissa place à un combat de regards. Mais tout ceci fut brisé lorsque le militaire frappa de son poing contre la table. Le regard de l'officier fusilla Edward qui reformula sa phrase sur le champs.
" - J'ai volé des choses.
- Quels choses ?"
Edward gloussa alors que le regard du vétéran s'alourdissait au fur et à mesure du temps passé dans la pièce d'interrogatoire.
" - Des tas d'trucs j'pense 'fin... T'être pour les bijoux."
L'officier plaqua ses mains férocement sur les coins de la table, son visage était en un instant qu'à une dizaine de centimètres de celui du garçon. Ses dents grinçaient l'une contre l'autre alors que ses yeux traquaient du regard le voleur à la tire.
" - Et tu me fais perdre mon temps pour des bijoux ?! Des putains de bijoux ?!" Finit-il par dire.
Le jeune Johnson baissa sa tête de honte et soupira avant de relever sa tête. L'officier s'adossa sur sa chaise en prenant une position beaucoup plus décontractée, le regard toujours concentré sur Edward.
" - J'faisais c'que je pouvais pour survivre, j'avais rien. - Tu sais avec tout les délits que tu as commis pour combien de temps tu vas prendre ? - Nan... "
Un rictus malsain se dessina sur le visage de l'officier qui commença à énumérer sur ses doigts le nombre de mois que le gosse risquait de prendre. Les yeux du jeune Edward s'écarquillèrent au fur et à mesure que l'homme comptait, certes il avait commis une dizaine de petits délits mais sa restait des petits délits pour lui.
"- Stop ! Nan je veux pas aller en taule moi ! - Tu comptes faire quoi d'autre ? Il n'y a pas d'autres solutions. Affaire bouclée."
Il n'y avait pas d'issues pour le gradé qui se leva de sa chaise avant de prendre la direction de la sortie de la salle d'interrogatoire. Edward n'eu que peu de temps pour réauste le temps de crier une dernière phrase avant que celui-ci ne parte.
" J'veux pas aller en taule moi !! Nan j'peux pas, j'pourrais j'sais pas moi.. - Tu pourrais ? - Rejoindre l'armée.."
L'Officier en charge de l'affaire ricana un bon coup avant de se retourner vers le jeune garçon.
" - Toi ? Rejoindre l'armée ? - Ouais..."
Un sourire en coin se dessina sur le visage habituellement impassible de l'officier militaire qui reposa le dossier sur la table.
"- Hmm... Quel corps d'armée ?'
Edward leva sa tête en réfléchissant un bon coup. Quel corps d'armée rejoindre ? À vrai dire il n'en connaissait que particulièrement un seul, celui de son père qui était Fusilier-marin.
" - Euh... Fusilier-marin ?"
L'officier fixa brièvement l'adolescent qui était en âge de rejoindre l'armée. En ces temps-ci , c'était la seule amnistie permise par ces temps-ci.
" - Marché conclu. Tu vas en chier. - C'est devenu une habitude. "[...] Apparence [Entrée de journal du Dr.Heysnik]:
" - Le sujet d'observation 4357-ED-8192 est un excellent spécimen que l'armée à pu récupérer, né le 13 mai 2173 et mesurant aux alentours de un mètre quatre-vingt-six avec une masse kilométrique totale de 83.247 kg, le Caporal Edward Johnson à une carrure bien bâti aux formes bien rodées et en accord avec les pré-requis prescrits par le règlement interne de l'Alliance. Pour continuer la description physique ainsi que l'analyse physionomique du Caporal Johnson, nous pouvons constater la présence d'une pigmentation de la peau de teinte mate ainsi que la couleur bleu pâle de l'iris suggère une origine latine ou espagnole mais ceci ne sont que des hypothèses formulées sans vérification avérée. [...] Des cicatrices ont été perçues tout le long du corps du sujet partant souvent du milieu du torse jusque la base du cou. Avec une résultat approximatif de six millimètres, on peut en déduire que celles-ci ne sont que peu profondes et ne causeront aucuns problèmes lors du prochain entrainement où examens. On peut néanmoins distinguer un élément remarquable sur l'arrière de l'épaule gauche du militaire, une phrase tatoué d'une encre noire remontant jusqu'au milieu des omoplates. Il est écrit en langue catalan qui traduit de celle-ci donne "Soldat de la Liberté". [...] La pilosité faciale de l'homme n'est pas excessive comparée aux résultats génétiques attendus, une légère barbe de quelques jours remontant le long de son visage carré jusqu'au oreilles de celui-ci sont en accord avec la coupe de cheveux taillée court de type militaire de couleur noire.
Caractère [Entrée de journal du Dr.Lanuhya]:
"- L'analyse psychiatrique du sujet 4357-ED-8192 est un cas peu banal mais tout à fait acceptable. Il semble jovial et très ouvert au dialogue ainsi qu'à autrui. Le Caporal Johnson possède un grand sens de l'honneur, il est très obéissant et répond correctement aux attentes demandées par l'Alliance.[...] Celui-ci parle très souvent de son chien au caractère alternant entre peureux et téméraire. Ce berger allemand de race porte le nom de "Rookie" en concordance avec son caractère qu'il à récupéré selon lui il y a plusieurs années. Quoi qu'il en soit, il semble très attaché à cette animal qu'il qualifie d'ami loyal et respectable car en effet celui-ci ne l'ayant jamais quitté depuis leurs rencontre.[...] Celui-ci est néanmoins souffrant d'un syndrome psychologique commun chez les soldats de l'Alliance depuis l'arrivée des moissonneurs, celui de l'héroïsme, il considère sa vie comme étant incomparable face à celles des autres et donc n'hésitera pas à se sacrifier pour le bien commun, un aspect à surveiller chez le jeune caporal pouvant lui être fatal par la suite [...] Une chose rare le distingue néanmoins de la plupart des humains, en effet il n'est pas xénophobe de nature et accepte donc tout type de différences qu'elles soient abstraites ou non. Il a mentionné au passage le nom d'une deuxième personne lui étant très chère, une quarienne portant un masque de couleur orangée comme signe distinctif. Elle porterait le nom de Raya'Azal Vas Rehoch et serait une amie qu'il aurait rencontré par le passé, il exprime ressentir une sorte d'attirance envers celle-ci, à déterminer si cela reste amical ou bien plus proche à l'avenir.[...] Nous finirons ce dossier sur le fait que Edward est une personne qui est ouvert à autrui comme je l'ai précédemment dit mais qui reste très renfermé sur lui-même sur son passé ainsi que tout ce qui le concerne personne, moi-même je ne parviens pas à le cerner en l'espace d'une séance d'analyse et pour cela il faudrait une thérapie bien plus plongée sur lui-même pour parvenir à en savoir plus sur son histoire qui semble vouloir garder pour soi[...]" Compétences / Équipement Voir ce topic pour l'aide. Équipement : Armure : nom de l'armure, ainsi que sa répartition. Armes : nom de l'arme/des armes. Armurerie : armes possédées mais non comprise dans l'équipement habituel (réserve). Compétences : Militaire : niveau du combat à distance / niveau du combat au corps à corps / compétences militaires. Biotique : Oui/Non / Si oui, maitrise biotique + pouvoirs maitrisés. Technologie : Compétences tech / niveau de piratage (non obligatoire). Compléments Signe(s) distinctif(s) : Relations avec les autres : Raya'Azal vas Rehoch. Des liens prédéfinis ? : L'objectif de votre personnage à long terme ? : A voir, pas encore définit, je ferais selon le feeling voir si il reste simple bleusaille ou si il monte jusqu'au rang de N7.
Hors Personnage Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à la motivation d'une quarienne au masque orange. Est-ce un double compte ? Non.Des remarques ?Très beau site, bien organisé. Je ne peux rien dire de plus tant que je ne connais pas sa programmation interne. RP d'introduction Si vous comptez faire un personnage puissant (militairement ou politiquement), vous devez faire un RP solo (au moins 700 mots) sur le sujet que vous voulez, en lien avec votre personnage. Ce RP n'aura aucune influence et n'existera pas dans la trame de votre création. Ce texte servira uniquement à la personne chargée de valider votre fiche. Cette partie est facultative et ne concerne que les personnes ayant une grande ambition à terme (Spectre, Dirigeant d'une Espèce, Faction d'élite, etc, etc...) |
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