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 Le règne de la terreur

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MessageSujet: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeMer 15 Juil 2015, 14:03
Intervention MJ : NonDate : 15 juillet 2200 RP Tout Public
Dahl ElkossVala CyrusLevina Scarus
Le règne de la terreur




Le règne de la terreur


Vioresa, Système du Pylos. 13 juillet 2200, 11h, heure de la Citadelle


« Et ta mère elle baise des Galariens ! »

En face d’Earlan Myrlion, deux Krogans s’insultaient copieusement. Et le point de non-retour venait d’être franchi à l’instant, lorsque le plus jeune Krogan des deux avait lâché cette bombe. Jusque là, les mercenaires alentours observaient le conflit en braillant et en pariant sur l’issue de celui-ci, combien d’os allaient être cassés et qui allait porter le premier coup. Mais le silence était retombé tandis que l’air se chargeait d’électricité. Une telle insulte ne pouvait rester impunie, surtout chez les Krogans. Et dire que le conflit avait commencé sur une simple querelle de tour de garde.

Le premier Krogan, le plus jeune, semblait satisfait de son insulte. Avec juste raison, lui qui cherchait à titiller l’égo de son ainé. Mais il ne s’était pas rendu compte à quel point celle-ci était dangereuse pour lui. Du moins, pas sur l’instant. Alors que son visage se décomposait pendant que son cerveau lui envoyait le signal d’alarme, l’ainé commença à hurler, et lui mit un coup de boule à la manière Krogan. Plié en deux, le cadet recula de quelques pas, tandis que le cercle des spectateurs s’élargissait. Redressant la tête, le jeune Krogan se retrouva nez-à-nez avec son compatriote plus âgé. Sans laisser le temps à son adversaire de se relever complètement, l’insulté sortit son Claymore et tira dans la tête du jeune. Qui mourut sans un cri. Satisfait du résultat, le Krogan plus âgé rangea son fusil à pompe, tandis que les mercenaires reprenaient le cours de leurs activités.

Le sourire aux lèvres, Earlan Myrlion quitta la pièce. Le Galarien était du genre sadique. Pervers. Ce genre de spectacle le réjouissait quand à l’état de « son » armée. Pas de pitié pour les faibles, pas le droit à l’erreur, et l’honneur qui se lavait dans le sang. Depuis sept ans qu’il était devenu le chef de cette organisation, il s’efforçait de tirer le maximum de ses hommes. Et personne ne donnait autant que quand il craignait pour sa vie. Bien sûr, des gens avaient essayés de changer les choses, soit en tentant des révoltes, soit en s’en prenant directement à Earlan. Dans tous les cas, ces tentatives se soldèrent par des échecs. Les émeutes étaient réprimées par le sang, les survivants torturés jusqu’à obtenir des réponses si le besoin s’en faisait sentir, et les organisateurs étaient présentés aux mercenaires, puis tués à petit feu. Avec ça, les mercenaires rentraient dans le droit chemin, et il n’y avait plus d’émeutes. Jusqu’à ce qu’un ou plusieurs jeunes aux dents longues prenaient idée de renverser le système en place.
En réalité, Earlan préférait ceux qui voulaient l’affronter directement. Comme des hommes, d’après leurs propres mots. Ceux-ci pensaient avoir à faire à un Galarien qui se reposait sur un règne de terreur, le genre de personne qui ne se battait plus. Ce qui était une grossière erreur. Earlan s’entrainait toujours, bien sûr, mais avait un passé qui le mettait au dessus des autres Galariens : il était un ancien membre du GSI. Il n’avait bien sûr pas trainé longtemps dans les services secrets de son espèce, juste assez pour apprendre le maximum de choses : maniement des armes, techniques d’infiltration, gestion des hommes et, bien sûr, le combat au corps à corps. Une fois les base apprissent, il démissionna tout à fait normalement du GSI, comme n’importe qui ne se plaisant pas là-bas. Puis il prit divers vaisseaux de transport jusqu’aux Terminus, avant de se rendre sur Oméga. Là-bas, il avait grimpé les échelons, non pas dans le giron de la Reine, mais seul. De manière indépendante, effectuant des petits contrats, comme tant d’autres sur cette station. Il s’était aguerri, fait des ennemis, mais aussi des alliés. Au fur et à mesure du temps, de plus en plus. Jusqu’à pouvoir crée son organisation, qui avait gonflé avec le temps.
Oui, Earlan était un pauvre et frêle Galarien en apparence, le genre de personne sur lesquels on ne se retourne pas. Et pourtant, il était capable de tuer un homme, un Turien ou une Asari en moins de trois secondes. A l’instar des assassins Drells, il était capable d’éliminer une cible en visant ses centres nerveux, ses points faibles. Et c’est pour ça qu’il était encore à la tête de son organisation sept ans après, malgré les duels : ceux qui s’attendaient à un Galarien sans défense n’avaient pas le temps de se rendre compte de l’erreur qu’ils avaient commise. Les duels se terminaient en quelques secondes, et sans une égratignure pour lui. Heureusement, car sa constitution ne lui permettait pas d’encaisser les coups. Il était un assassin, pas un combattant. Un leader, pas un soldat. C’est ainsi qu’Earlan Myrlion se qualifiait, et ainsi qu’il était qualifié par ses hommes.

Ouvrant une porte donnant sur un couloir, le Galarien traversa d’un pas tranquille, ignorant les portes de chaque côté. A 29 ans, il savait qu’il devait commencer à penser à léguer ce qu’il avait crée, mais il n’était pas encore là. En pleine possession de ses moyens, il se savait encore capable de battre quiconque tentait de l’attaquer, de manière noble ou en traitre. La seule concession qu’il faisait à son âge était qu’il était plus calme quand il était seul. Autrefois bourreau de travail, il déléguait ses tâches, et ne se pressait plus. Certains prenaient ça pour un détachement envers la réalité, d’autre comme une preuve qu’il était le seul et unique grand patron. Il se retenait bien de dire la vérité, et se contentait de fusiller du regard quiconque essayait de lui poser une question à ce sujet. Ce qui arrivait de toute façon rarement, tant l’aura de terreur qui l’entourait éloigné les curieux.

Ouvrant une porte sur sa droite, il traversa un nouveau couloir et pénétra dans le saint des saints. Cette aile du bâtiment était réservée aux membres les plus importants de l’organisation, et quiconque y pénétrait sans autorisation était puni. Pas par la mort, bien sûr. Il y a des moyens beaucoup plus efficaces pour faire disparaitre la curiosité des esprits. La dernière personne à avoir violé le sanctuaire pleurait encore régulièrement la nuit. Les premiers jours après sa punition, qui avait été tenue secrète, il avait simplement refusé d’ouvrir la bouche, et hurlait si on lui parlait alors qu’il ne s’y attendait pas. Encore une fois, l’utilisation de la terreur permettait à Earlan de garder le contrôle sur son organisation.

Sans s’annoncer, le Galarien ouvrit une dernière porte, qui faisait office de salle de réunion. Bien entendu, tout le monde était déjà en place, depuis une dizaine de minutes. Leur statut ne les préservait pas des méthodes de gestions de leur patron. En plus d’Earlan, trois autres personnes se trouvaient dans la pièce, assis autour de la table. Rylus Linrius, un Turien de trente-cinq ans, qui avait fait son service et même un petit extra de deux ans à la gloire de la Hiérarchie, avant de se dire qu’il aurait plus à gagner en travaillant pour lui-même. Après quelques mois d’errements au sein de la Galaxie, il fut recruté et grava les échelons. Il faisait partie du conseil depuis deux ans. A trois chaises sur sa droite, Fali'Ninis Ceedor, un Quarien ayant abandonné la Flotte Nomade qui ne l’était plus tant que ça. Pour lui, l’alliance avec leurs anciens serviteurs était contre nature, mais il n’avait trouvé guère d’échos à ses sentiments sur Rannoch. Lui aussi avait fuit, et avait été recruté. Son intelligence et sa maitrise des technologies en faisait quelqu’un de très utile pour apprendre les piratages, ou pour pirater en personne. Enfin, en face de Rylus, Lisiahin T'raose, une jeune Asari de 232 ans. Elle avait participé avec Earlan à une attaque particulièrement dangereuse, réunissant deux groupes mercenaires différents. Elle avait quitté le sien à l’issue du contrat pour rejoindre l’organisation encore jeune du Galarien, et certaines rumeurs faisaient état d’une relation entre les deux. Mais jamais quand ils étaient à portée d’oreille, bien sûr.

Droit sur leurs chaises, ils attendaient que le patron prenne la parole. Prenant sa place habituelle, il tapota son omni-tech avant de commencer.

« Malgré le fiasco de notre dernière opération… » A ces mots, les participants grimacèrent. La dernière opération n’avait rien d’un fiasco, c’était une catastrophe : une attaque sur un autre convoi mercenaire. Mais l’attaque avait tournée court, et ils avaient perdu la moitié des hommes déployés, et parmi la moitié restante, les trois-quarts étaient blessés. Ils n’avaient heureusement pas perdu de vaisseau, mais le commanditaire avait été très insatisfait du résultat. La réputation de l’organisation en avait prit un coup.
« … Nous avons été contactés aujourd’hui pour une mission très… Difficile. C’est donc l’occasion de redorer le blason des Rugicards. »
Appuyant sur une touche de son Omni-Tech, il afficha envoya une image à l’hologramme qui se situait au milieu de la table. Un logo d’entreprise s’afficha en tournant doucement.
« Vous connaissez peut-être Dahl Terminus, une entreprise basée sur Oméga. Il se trouve qu’elle dérange notre nouvel ami. Et qu’il pense que se débarrasser de son patron, Dahl Elkoss, mènera celle-ci à sa perte. Oui, Elkoss, vous avez bien entendus. Mais il se trouve que la compagnie désapprouve fortement le travail de leur homologue, nous n’avons donc pas de souci à nous faire. J’attend donc les propositions. »

Après un court instant de silence, Lisiahin proposa l’empoisonnement. L’idée était simple mais commune, et il s’agissait d’un Volus, qui faisait attention à ce qu’il prenait. Les chances de réussite étaient faibles. Rylus proposa d’envoyer un assassin le tuer dans une ruelle sombre, mais les mesures de sécurité étaient trop serrées autour de la cible, sans compter qu’il serait simple de remonter jusqu’aux Rugicards. Plusieurs autres idées furent avancées avant que le Quarien trouve la solution.

« Et si nous piégions son véhicule ? Une bombe peut être discrète, et c’est un homme d’affaire pressé, il ne prend pas le temps de vérifier ce qui se passe. Et il n’y aura aucun moyen de remonter à nous : l’explosion détruira les preuves. »

Les quatre occupants de la pièce posèrent les différents problèmes et les moyens de les résoudre, avant de s’accorder sur l’idée. Un homme de chez Dahl Terminus serait donc contacté pour poser une bombe sous la voiture. Une telle personne ne serait guère difficile à trouver, entre les assassins et les désespérés. Avec une forte somme à la clé, il n’y aurait pas de raison de refuser. Une fois la bombe posée, l’homme rencontrera un contact des Rugicards, qui s’occupera de le faire taire. Et le contrat sera effectué.
Satisfait du plan, Earlan se leva et congédia son conseil, après avoir distribué les tâches. Fali’Ninis fabriquera la bombe, Lisiahin prendra contact avec le futur poseur de bombe sur Oméga, et Rylus sélectionnera le mercenaire chargé de faire taire le criminel temporaire. Ainsi, la réputation du groupe serait renforcée.



Oméga. 15 juillet 2200, 13h15h, heure de la Citadelle



Henri Mildi n’était pas un homme mauvais. C’est ce qu’il se répétait, alors qu’il zigzaguait dans la foule qui constituait Oméga. Contacté par une Asari qui disait représenter les Rugicards, elle lui avait proposé un petit travail. Porter un colis et l’installer sous la voiture de Dahl Elkoss. Il n’était pas stupide et se doutait que le colis en question n’était pas rempli de mots d’amour, mais la somme proposée était trop tentante. Cent mille crédits ! Avec autant d’argent, il pourrait quitter la station accompagné de sa femme et de sa fille, pour retourner dans l’espace de l’Alliance. Ils pourraient même se payer une petite maison, et vivre une vie tranquille ! Alors, même s’il savait que ce qu’il faisait allait causer la mort d’un homme, il avançait. Non, il n’était pas un homme mauvais. Juste désespéré.

La trentaine, les cheveux noir coupés court, Henri était un homme ordinaire. Arrivé sur Oméga à cause d’une erreur colossale de confiance, il avait dû trouver un moyen d’amasser assez d’argent pour quitter la station. Mais trois places dans un transporteur coûtaient cher, et le racket était habituel. Il faisait donc des économies, mais à un rythme trop lent à son goût. Son travail de mécano chez Dahl Terminus payait, mais d’après ses calculs, sans imprévue comme une maladie de la petite ou un accident, il quitterait Oméga dans 3 ans. Une éternité. L’appel de cette Asari était son bon de sortie pour une vie meilleure.

Serrant le petit paquet contre lui, il arriva au pied d’un grand bâtiment, où Dahl Elkoss avait rendez-vous. Henri se fichait bien de savoir avec qui et pourquoi, il s’agissait des soucis des pontes d’Oméga dont il ne faisait heureusement pas partie. Il se contenta d’avancer discrètement jusqu’à la voiture frappée du logo de l’entreprise. Concentré, il ne vit pas une Asari pourtant facilement reconnaissable. La moitié de son visage était brûlé, et elle était à l’opposé de ces Asaris qui faisaient fantasmer les hommes. Il ne se rendit pas compte non plus que son manège avait de quoi intriguer. S’approchant du véhicule, il se glissa en dessous et posa le paquet sur un des propulseurs. Ainsi, dès qu’elle se mettrait en route, le paquet brûlerait. Et ce qui était à l’intérieur aussi. Il commença à s’écarter du véhicule.


Le bâtiment abritait une société lambda, et Dahl Elkoss seul savait ce qu’il venait faire ici. Samantha Wizz était secrétaire depuis quelques années maintenant, et elle s’occupait de gérer l’agenda du grand patron, comme elle l’appelait. Le Volus avait rendez-vous avec lui depuis trois quart d’heure maintenant, et l’entretien touchait à sa fin. Le prochain rendez-vous étant fixé pour 13h30, elle s’attendait à voir l’invité passer devant elle à tout moment. Dans une chaise non loin de son bureau, une Turienne attendait aussi. C’est elle qui avait conduit Dahl Elkoss ici, et c’est elle qui le ramènerait jusqu’au siège de sa société. Vu l’arme qu’elle portait, elle faisait aussi office de garde du corps, un métier bien dangereux quand on était embauchait pour protéger quelqu’un d’aussi influent sur Oméga.

Entendant des pas se rapprocher de son bureau, elle devina que la rencontre touchait à sa fin. Et en effet, ce fut bien le Volus qui arrivait, et qui s’apprêtait à quitter le siège. Fidèle aux consignes, elle prit une voix enjouée

« Passez une excellente journée, monsieur Elkoss. »

Elle retourna à son travail, tandis que le duo quittait la pièce et prenait l’ascenseur en direction du rez-de-chaussée.

Feat Dahl Elkoss, Vala Cyrus, Levina Scarus.
Dahl Elkoss
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MessageSujet: Re: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeJeu 16 Juil 2015, 04:59
Le Règne de la Terreur



Oméga
Mi-juillet 2200


Dahl sort du bureau de Joe Nelson. Il est satisfait, même si on ne peut pas le voir derrière sa combinaison. La journée se déroulait pour le mieux en effet : le volus venait d'obtenir une grosse réduction sur les produits qu'il achetait à l'humain.

Pourquoi cette réduction, me demandez-vous ? Et bien, tout simplement pour punir l'outrecuidance de l'individu qui avait tenter de faire monter les prix. Nelson avait en effet informé le volus que suite à des ''retards de livraisons'', ''attaques de pirates'' et l'inévitable ''entrepôt brûlé par Red'' – très à la mode en cette période -, il n'avait plus assez de matériaux pour honorer les commandes et qu'elles devaient donc être re négociée, seul l'acheteur proposant le meilleur prix en disposerait.

Malheureusement pour lui, les experts galariens de Dahl Terminus eurent tôt fait de dévoiler le mensonge, montrant que d'une part Nelson retenait exprès ses matériaux, et d'autres part qu'il avait l'habitude de flouer ses clients : ainsi, l'humain ne payait que la moitié de la taxe qu'il devait aux Berzerkers, le gang dominant le quartier.

Il va sans dire qu'une fois que Dahl annonça très clairement à Nelson qu'il finirait en viande hachée pour varren s'il ne devenait pas moins stupide de manière immédiate, l'entrepreneur humain fit soudainement moins le fier. Le volus profita de son avantage pour re négocier les tarifs des matériaux à des prix l'avantageant plus sûrement, et l'humain fini par céder. Le voleur volé.

La loi d'Oméga, aussi.

Dahl est donc satisfait en sortant de ce bureau, et prend la direction de l'ascenseur lui permettant de quitter l'immeuble anonyme. Il ignore totalement le message enjoué de la secrétaire humaine, qui devra par la suite remonter le moral de son patron. Sans doute était elle formée pour, à moins qu'elle ait l'habitude de simplement encaisser les foudres de son directeur incompétent. Cela n'intéresse pas Dahl, qui préfère se tourner vers Scarus une fois dans l'ascenseur.

« HUUUF. Vous n'aurez plus de problèmes d'approvisionnement. HUUUF. Le chantier pourra reprendre comme prévu. »

Il faut quelques minutes pour que l'ascenseur atteigne le rez-de-chaussée, où est garée la voiture de Dahl. Il n'est pas venu en grande pompe, pour une fois : il ne souhaitait pas que Nelson se méfie, et venir avec seulement un garde du corps avait réconforté l'humain qui avait cru y voir un signe de soumission.

Dahl sorti derrière Scarus, comme toujours. La première ligne, ce n'est pas pour lui. Le duo remonte l'ultime couloir menant au parking. Mais avant d'y arriver, un son les arrête : celui d'un coup de feu. Dahl se recroqueville derrière Levina, légèrement inquiet.

« HUUUF. Je suppose que vous avez entendus comme moi. HUUUF. Allez voir, prudemment. »

Dahl sort également son arme, bien que la gardant baissée. Il observe la turienne avancer le long du couloir.



Partenaires : Vala Cyrus et Levina Scarus
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Levina Scarus

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Levina Scarus
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MessageSujet: Re: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeVen 17 Juil 2015, 16:57
Quelque part:

La neige du paysage était appréciable, enfin pour la partit visible. La turienne portait son armure complète et cherchait un signe de civilisation autours d'elle. La tempête était bien trop épaisse pour voir assez loin. Puis elle entendit un bruit, comme une chose qui courrait. La franc tireuse sortit son mantis et chercha à savoir d'où pouvait venir cette écho. Soudain, la masse arriva de nulle part et fit voler la femme, cette chose était une brute des moissonneurs. Elle prit son arme et tenta d'abattre la chose. Elle avait une peur qui remontait, le stresse qui l'empêche de ce concentrer et plus elle tirait moins la brute semblait avoir mal à chaque balles.

Voyant l'enchaînement de ses échecs, Levina se mit à courir et arriva dans une structure abandonnée. Une fois dedans, elle fit le tour de la salle. C'était grand et ça ressemblait à un bâtiment publique. Maintenant , elle voulait trouver un moyen de se mettre à l'abris de la bête, trouver de quoi communiquer avec des secours et peut être trouver de l'équipement. Les couloirs se suivaient et elle finit par monter un escalier qui semblait affaiblit par le temps se qui permettrait d'empêcher la bestiole de venir. Ce problème étant résolu, la mécano fouilla l'étage et fini par tomber sur une porte avec une vitre qui permettait de voir l'autre côté. Dans la pièce se trouvait un homme qui semblait regarder par la fenêtre avec des feuilles sur un bureau devant lui. Scarus essaya de voir la personne et d'ouvrir la porte.

La sonnerie aigue sortit la turienne de son sommeil. Cette dernière sentait encore le stress et sa curiosité qui aurait voulue connaître la suite. Malgré tout ça, elle se leva et partit pour les entreprises de Dahl Terminus. Elle avait été convoquée par le grand patron, elle profita de cette occasion pour aller voir les mécaniciens pour l'entretien des navettes. Elle avait commencée dans cette équipe et avait finit par la diriger. La femme passa acheter des croissants Levo et Dextro, pour pouvoir perpétuer la tradition de l'équipe. Elle donnait faisait un drôle de contraste, avec son Mantis, armure, pistolet lourd et à côté le sac de boulangerie.

Au locaux de Dahl Terminus:

Une fois dans les locaux, la mécano salua tout l'équipe et posa son offrande de retour. Le nouveau chef qui occupait son poste, échangea des sourires et regards avec Scarus avant qu'elle ne parte au rendez vous. Elle eut le droit au briefing et comprit mieux sa présence avec son équipement militaire.

Dans l'atelier, c'était bientôt l'heure de la pause et Levina revint à cette heure même. Il restait encore des croissants et la femme se servit. Alors qu'elle mangeait une personne bien connue se hissa derrière elle. ''Tu m'as manqué. Tu reviens parmi nous?'' Le reste de l'équipe venait d'arriver dans le coin de repos où Scarus et son remplaçant turien discutaient. ''Non, je reviens pas ici. Je peux pas en dire plus.'' L'homme posa ses mains sur les hanches de la turienne qui finit de manger. ''Tu joue la porte flingue.'' L'ex franc tireuse salua d'un signe de main un humain. '' Ça va Henri?'' Il ne semblait pas complètement à son affaire. ''Oui très bien.'' Le chef ce pencha vers elle. ''Il m'a demandé un congé pour un problème familial. Tu en pense quoi?'' La bricoleuse regarda le turien. ''Tu peux lui donner.'' Il la fixa dans les yeux. ''Et si il fait une connerie, tu devras me dédommager.'' Elle retira les mains de son dragueur. ''Il faut que je regarde mes périodes de libre.'' Elle montra un sourire pour provoquer le partenaire.

Avant de commencer la journée, la femme voulait contrôler le véhicule quelle devra utiliser. En fessant le tour, elle vit Mildi qui vint vers le vaisseau pour faire un contrôle, enfin c'est-ce que la mécano ce disait. ''Tu contrôle mon travail?'' Il savait que la turienne était du genre à contrôler en personne un véhicule si elle devait l'utiliser. ''Pas ton travail. Je sais que tu fais du bon boulot.'' Levina connaissait Henri et elle avait eut sous ses ordres.
Elle adorait le travail de l'humain qui ce donnait beaucoup de peine pour atteindre la qualité que cherchait Scarus. En échange de ses efforts, elle lui donnait des occasions de pouvoir passer du temps avec sa fille et l'aider à s'en sortir avec certaines factures qu'elle voyait comme du raquette. ''Elle va bien ta fille?'' L'ex cheffe voyait l'enfant de cet homme comme elle et ne voulait pas la voir sans enfance. ''Ton remplaçant me laisse moins de temps pour ma famille. Alors ma femme commence à évoque un changement d'emploi.'' Elle regarda l'homme. ''Mais tu pourra pas avoir de meilleurs conditions que ici et avec le même salaire.'' Il semblait regretter le départ de la femme de Palaven et savait à quel point c'était rare les gens qui aidait les autres. ''Il faut que tu parle avec ton remplaçant.'' Elle fit signe affirmation.

La période de travail:

Durant la journée, elle promena le volus de rendez vous en rendez vous, celui qui la concernait était en cours et la turienne et à côté de l'entrée en attente de nouvelle. Les deux femmes étaient complètement opposées. Autant dans la position de la salle, tenue et aussi dans leur comportement. La femme du bureau était en tenue de réunion et la garde qui partageait la pièce était en armure et équipée pour le combat. La secrétaire humaine faisait un sourire forcé à son homologue, regardait la porte du bureau et regarde son bureau; enfin de compte, elles faisaient la même chose. Elkoss sortit du bureau, la turienne se mit presque au garde à vous et la femme d'en face prépara son sourire.

Les duos volus turien prit l'ascenseur et Dahl annonça une bonne nouvelle. ''Nous allons pouvoir prendre un rythme correct avec ça.'' L'ascenseur finit par arrivé à l'étage voulu et le long du chemin, il y eut un coup de feu. Levina sortit son Carnifex et se mit en état d'alerte. Elkoss demanda d'aller voir. La turienne acquiesça d'un signe, retira la sécurité de son arme, prépara une surcharge et remonta vers la zone d'où devait provenir le tire.

Une fois arrivée, elle se mit derrière un couvert et inspecta la zone d'un regarde discret.
Vala Cyrus
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MessageSujet: Re: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeLun 20 Juil 2015, 17:32
Je l'observe depuis un moment maintenant. Son manège m'avait tapé dans l'oeil alors que je patrouillais de ruelle en ruelle, de bâtiment en bâtiment. Une ombre parmi les ombres, suivant avec grande discrétion une autre ombre se mouvant de manière suspecte. Avec un colis sous le bras. Le genre de chose qu'on essaie de dissimuler sous un pan de son manteau, à l'insu de tous, en se déplaçant la nuit. L'homme ne m'a pas vue, trop occupé à tracer la route en pressant le pas. Il semble soucieux, voire franchement méfiant, un signe d'autant plus évident qu'il avait quelque chose à cacher. Quelque chose de mauvais se prépare, aussi vais-je le suivre, ne pas le lâcher de l'oeil.

Red... Ce nom commença à passer d'une oreille à l'autre, de faire son petit bonhomme de chemin à travers Omega. Un nom qui pour beaucoup signifiait mort, destruction, feu. Un nom que certaines racailles apprennent à craindre, d'autres ne le découvrent que trop tard, lorsque les flammes consument leur chair, brisant leurs rêves de grandeur, de pouvoir ou de carnage, à l'état de cendres et de braises. Cet homme, cependant, n'avait ni la tête, ni le comportement d'un individu peu recommandable. Tout juste était-il un peu gauche dans ses déplacements hasardeux ou ses regards fuyants.

Mais ce paquet m'intrigue, et je veux en avoir le coeur net.

L'individu se dirige vers les locaux d'une entreprise humaine, une de celles vivant dans l'ombre des corporations. Une voiture stationnée dans le parking de la société est d'ailleurs frappée du logo de l'une d'elles, Dahl Terminus, fabricant d'armes de plus en plus influent, du moins à Omega. Ce colis peut être une simple livraison par courtier, en toute discrétion vu la répuration de Dahl Terminus. Mais le comportement de l'humain n'inspire rien de bon pour n'être qu'une simple course. J'attends alors le moment où l'homme entre dans le bâtiment, et en ressort les mains vides. A ce moment-là, je l'attraperai et l'interrogerai, dussé-je le brutaliser pour lui faire cracher le morceau.

Le coursier bifurque vers le parking, en direction du véhicule de Dahl Terminus.

J'enfile mon casque, car j'ai la nette impression que l'individu ne transporte pas un simple colis. Sinon pourquoi se détourner du chemin qui le menait à l'entrée de la société ? Mon instinct ne s'était pas trompé. Il vient de se glisser sous le véhicule, et d'en ressortir sans le paquet. Une bombe. Une putain de bombe. Ce mec est un foutu terroriste et il vient de saboter le véhicule de transport d'un ponte du commerce de l'armement, juste sous mes yeux. Là, mon sang ne fait qu'un tour, froide détermination dans le regard alors que je dégaine mon Phalanx et que je sors de ma cachette, alors que l'ordure reprend son chemin, plus rassuré.

L'impact de balle fauche sa jambe droite, atteignant le bas de sa cuisse.

L'homme s'effondre en un cri, surpris par le coup de feu et l'impact lourd de la déflagration. Je le tiens en joue à mesure que je m'avance vers lui à petites foulées. Il commence déjà à implorer pitié dès qu'il voit mon armure rouge. Il a eu vent de ma réputation, il sait qu'il risque de payer très cher son acte.

Et il va le payer cher.

Ecrasement de la cheville par un coup de talon bien placé. Coup de pied dans les valseuses, histoire de bien lui dire qu'il n'a pas eu les couilles de faire face à sa cible, pour le punir de souhaiter détruire des vies innocentes en plus de sa victime désignée. Je le choppe par le col, l'air chargé de biotique entourant mes bras, et le projette avec une violence inouïe contre une voiture - autre que celle piégée - l'encastrant contre la carrosserie. D'un bond, je me retrouve devant lui, l'attrape à nouveau par le cou et l'envoie cette fois directement contre une des vitres du véhicule contenant la bombe. Pissant le sang, certains os brisés, il ne se débat plus mais il demeure vaguement conscient. Dommage pour lui, car je n'en ai pas fini. Je lui choppe sa tignasse, retire sa carcasse de la voiture pour ramener son visage vers les quelques débris de vitre restant ancrés sur la portière, pointes acérées et tranchantes comme une lame de rasoir. Je m'approche de son oreille, tout en maintenant une pression constante pour le garder à portée des bris de verre menaçant de l'énucléer.


- "Qui t'a envoyé ? Qui t'a payé pour poser cette bombe ? REPOND !"

Avant qu'il ne prononce un mot, la porte d'entrée de la société s'ouvre brutalement, une Turienne en armure en sort, armée d'un Carnifex, se mettant tout de suite à couvert. Nul doute qu'elle ouvrira le feu, surtout si elle se doute de qui je suis. Une armure rouge ne peut rester inaperçue. Mettant en joue la Turienne tout en maintenant la tête du terroriste au-dessus des bris de verre, je lui gueule dessus de ma position de fortune.

- "N'approchez pas de la voiture ! Elle est piégée ! Cet homme a déposé une bombe dessous !"

Je me tourne vite vers l'humain maculé de son propre sang, ses yeux brillants montrent qu'il est encore conscient.

- "Si tu veux avoir une chance de t'en sortir, je te conseille fortement de parler. Ou sinon je te laisse aux bons soins de monsieur Elkoss qui sera sûrement ravi de discuter avec toi, ordure !"
Dahl Elkoss
Dahl Elkoss
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MessageSujet: Re: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeMar 21 Juil 2015, 15:28
Le Règne de la Terreur



Rapport n°15
Oméga, 15 juillet 2200


Je me rappelle de Red... Une asari à moitié folle, plongée dans une violence psychotique appuyée par un sens de la justice tordu et extrémiste. Probablement pire que Archangel lui-même, en son temps... Je ne sais pas, je n'étais pas encore sur Oméga à l'époque.

Mais bref, j'ai été chanceux. La première fois que j'ai rencontré Red, elle n'était pas là pour me tuer. Au contraire, elle m'a même sauvé la vie ! Laissez moi vous raconter ça.

J'avais donc envoyé Scarus en avant, en tant qu'éclaireur. Elle franchit la porte et disparût de ma vue. Peu après, j'entendis l'asari.

« N'approchez pas de la voiture ! Elle est piégée ! Cet homme a déposé une bombe dessous ! »

Une bombe... Bien évidemment, rien n'indiquait qu'elle parlait de ma voiture, mais instinctivement, je le savais déjà. Qui d'autre y aurait il eu de suffisamment intéressant dans ce coin pour que ça vaille le coup de déposer une bombe sous son véhicule ?

Néanmoins, cette déclaration avait un point positif : j'étais légèrement rassuré. Si la femme me prévenait de la bombe, c'est probablement qu'elle était une alliée.

J'ai donc pris la décision d'avancer le long de ce couloir miteux et de regarder prudemment. L'asari continuait de gueuler, mais plus envers Scarus, apparemment, plutôt envers le poseur de bombe qu'elle avait attrapé. C'était une bonne chose. J'entendis une référence à ma personne, ''Elkoss''. J'étais donc bien la cible. J'atteignit enfin la porte et regarda timidement par dessus l'épaule de Scarus.

Red était là. Je la reconnue grâce à son armure rouge, dont de nombreuses images filaient sur l'Extranet d'Oméga. A l'époque, je la voyais déjà comme une sorte d'Archangel en plus extrême. Je me méfiais d'elle, parce qu'elle était dangereuse, mais je ne la considérait pas non plus comme une ennemie : je n'étais pas un mercenaire, et il y avait plus malhonnête que moi en commerçant.

La tueuse avait parlé de moi, menaçant de me livrer le poseur de bombe. Vu l'apparence de Red, sans doute qu'il aurait été ravi d'être livré. Mais je n'en laissa pas l'opportunité. Je m'avançais à découvert et pris la parole.

« HUUUF. Inutile de vous en séparer, Red. HUUUF. Je suis là, et j'aimerai autant l'interroger dès maintenant. »

L'humain tourna la tête vers moi. Il avait tenté de me tuer, et pourtant on lisait de l'espoir dans son regard.

« HUUUF. Scarus, contactez immédiatement le commandant Kelnus. HUUUF. Dites lui d’amener une escorte, et des démineurs. HUUUF. Et maintenant... HUUUF. Vous. HUUUF. Qui êtes vous et qui a posé cette bombe ? HUUUF. Et je vous conseille d'être rapide à répondre. »

L'humain n'avait pas parlé tout de suite, il balbutiait, tremblait, sentait la sueur voir même des relents d'urine... Red avait presque trop bien fait son travail, il était tellement terrifié que je craignit un moment qu'il ne soit plus du tout capable de nous renseigner.

Mais finalement, il se calma légèrement. Je suppose que l'expression neutre de mon casque devait l'aider. Au minimum, je devais paraître sympathique, à côté de Red.

« Je... je... je travaille pour vous, je m'app...m'appelle Henri M...Meldi. S'il vous plaît, monsieur Elkoss, je suis désolé... »

Son ton s'était fait plus précipité, la panique reprenait le dessus. Je l'ai giflé, légèrement -je ne peux guère faire plus – et il s'est calmé, puis a reprit son récit.

« Une asari... Elle se disait mercenaire, pour les Rugicards... Elle m'a juste dit d'installer le colis sous votre voiture, je ne sais rien dessus ! Je n'ai pas eu le choix... Ma famille est sur Oméga par ma faute, je n'ai pas... pas de quoi payer le retour sur Terre, et l'asari... L'asari me proposait plus qu'assez... »

Il s'était mit à pleurer. Pitoyable. Un minable pion, et incapable de voir plus loin que le bout de son nez. Je faisais pourtant beaucoup de pubs là dessus, à l'intérieur de l'entreprise : si vous avez un problème, besoin d'argent, de soutien, d'équipement, faites une demande auprès de vos supérieurs. Dahl Terminus prend soin de ses employés. Après la vague de corruption que l'entreprise a subi en 2197, je m'étais montré très prudent dessus, j'avais encouragé les employés contacté par des groupes extérieurs à venir me voir. Systématiquement, ils étaient récompensés, par une prime, une promotion, et je les laissait garder l'argent de la corruption. S'ils me prévenaient avant d'avoir été payé par mon ennemi, alors je piégeais cet adversaire puis je leur donnais une prime supérieure à celle proposée. Tout pour les convaincre de m'être fidèle, quoi... Et l'exécution de ceux qui me trahissaient encourageait davantage la fidélité. Cet imbécile allait devenir, peu après, un exemple de plus. Les billets offerts pour sa petite famille, qui arriverait sur Terre avec l'argent qu'il avait accumulé. Et une balle dans le crâne pour lui. Je ne tolère pas la trahison.

« HUUUF. Et bien voilà, ce n'était pas si dur. HUUUF. Red, si vous me le permettez, j'apprécierai que vous me laissiez cet homme. HUUUF. L'entreprise s'occupe elle-même de ses éléments défectueux. HUUUF.

J'aurai également une proposition à vous faire. HUUUF. Vos talents d'enquêtrice et de combattante ne sont plus à prouver. HUUUF. J'ai entendu parler des Rugicards, un groupe mercenaire assez dangereux. HUUUF. Accepteriez vous de m'aider à les neutraliser ? HUUUF. Contre rémunération, bien sûr. »




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MessageSujet: Re: Le règne de la terreur   Le règne de la terreur Icon_minitimeDim 26 Juil 2015, 22:59
C'était plus que dérangeant, mais une vrai faute stupide. La turienne pensait avoir été trahit par ses gargouillement du au manque du repas de midi. Elle avait voulue faire gagner du temps à son chef. A priori, c'était une mauvaise idée. L'asari l'avait repérée et son couvert n'était plus aussi utile. "N'approchez pas de la voiture ! Elle est piégée ! Cet homme a déposé une bombe dessous !" C'était bien la première fois qu'elle voyait quelqu'un vouloir faire un acte de bravoure pour son patron et elle. ''Je vais sortir ne tirer et je ferais de même.'' Levina sortit de son couvert et regarda l'inconnue en armure rouge. Elle était sur Novéria depuis un long moment, du coup elle n'arriva pas à savoir qui était cette mercenaire qui était très voyante. Le fameux poseur de bombe lui était moins inconnu. Le mécano qui cherchait à ce sortir du merdier avait finit par céder au petit manipulation.

Le Carnifex baissé et le regard attentif, Scarus cherchait tout les informations possibles. Le patron vint au milieu de la scène et pendant un moment elle voulut l'empêcher d'avancer plus. Mais avec un peut de réflexion, elle se rappela que le volus n'aurait pas fait ça si il n'avait pas confiance. ''Qui êtes vous?'' Elle était prise par sa curiosité, si Elkoss avait confiance et qu'elle les aidaient, c'était donc une sortent de collaboratrice et elle aimait savoir avec qui elle travaillait. Au vu de son équipement, ce n'était pas n'importe quel guignol avec un matériel volé. La femme qui devait être une humaine ou une asari, semblait maîtriser la biotique à un bon niveau et la manière de tenir son arme révélait que cette personne devait avoir une formation militaire. Avec ces déductions c'était donc intéressant et surtout bon signe.

Le volus était devant sa garde et Levina ne s'attendait pas à cette situation. En discutant, il appela cette inconnue ''Red''. La turienne regarda encore une fois d haut en bas la femme et décida de regarder le terroriste. ''Monsieur Elkoss, cet homme est un mécano de chez nous.'' Elle resta professionnelle et ne dévoila rien de ses pensées. Néanmoins, elle envoyait un regard culpabilisant au traître. Elle qui avait toujours cherchée à l'aider en plus que se qu'elle pouvait faire en dehors du cadre de son boulot et voilà que l'homme la trahissait. Désormais, elle pensait au reste de la famille de l'homme et elle ferait en sorte qu'ils aient un bon souvenir de lui. C'était dommage et il avait presque réussi à remonter la pente. Peut être qu'il avait replongé dans l'alcool ou était il proche d'un burn out? Enfin, maintenant qu'il avait fait cette erreur, Scarus réfléchissait sur le moyen de faire en sorte que la fille puisse avoir un beau récit sur son père qui avait fait de son mieux jusqu'à un problème qui lui aurait causé la mort. Sachant les sanctions de la part de Elkoss, elle ne se leurrait pas.

La causette commença entre les deux personnes et la turienne continuait d'être vigilante. ''HUUUF. Scarus, contactez immédiatement le commandant Kelnus. HUUUF. Dites lui d’amener une escorte, et des démineurs. HUUUF.'' La femme exécuta l'ordre et s'éloigna un peut de l'équipe. ''Kel, c'est Levina, j'ai besoin d'une équipe de démineurs et tes potes habituels.'' L'officier de l'autre côté de la radio confirma l'ordre et Levina finit par sa phrase habituel avec lui. ''Merci Papa.'' Depuis que la mécano a eut ses premiers contacts avec Kelnus, elle aimait bien discuter avec lui et le courant passait bien entre les deux. La phrase de fin de Scarus venait d'une discussion entre plusieurs collègues de Dahl terminus, Un membre parlait de signature et un autre disait que Levina pourrait être la fille de Vargas. Depuis et même si les deux savaient qu'ils n'avaient aucun liens de parenté, ils utilisaient toujours les appellations familiales entre eux.

Après le retour de l'appel de haute importance, elle entendit la proposition du volus à l'asari et fit un léger sourire. Elle voulait faire une blague, mais son professionnalisme la retenue de faire ça devant son patron.
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