Je suis pas sûre... me faire filmer tout ça... C'est la première fois qu'on me demande de remplir ce genre de dossier d'archive. Normalement, on utilise plutôt ceux pré-existant, non? Enfin après la guerre qu'on vient d'essuyer, je suppose que ce genre de témoignage pourra aider les futurs petits... Bref.








Oui Oui. Je suis née sur Thessia, dans la ville de Serrice. Oui, comme l'alcool (rire). Et avant que vous ne me posiez la question en retrouvant des infos dans l'un de vos dossiers, je suis bien une sang-pur. Mais pas de panique, si j'avais dû me changer en démon ou en Banshee, nous savons tous les deux que ça serait arrivé il y a des années.

Il faut que vous compreniez que l'idylle entre mes parents a toujours été un peu compliquée, elles sont restées très proches mais c'était... disons... passionnel. Elles n'avaient pas vraiment de contact avec le reste de leur famille. Toutes les deux fascinées par la guerre, on peut dire qu'elles avaient la bougeotte. Ma mère, Mira, faisait partie d'un commando d'élite Asari et elle était en passe de devenir SpecTR quand elle m'a eu. Elle me ramenait souvent des souvenirs de ses missions: un morceau d'armure frappé d'un écusson, une arme traditionnelle ou un holo de l'endroit qu'elle avait visité. J'adorais la voir passer la porte avec sa joue balafrée et une main cachée derrière le dos. Je dois encore avoir un katana humain et une lance Thurienne quelque part.

Mais elle n'était pas souvent là et c'est mon père qui m'a élevée pendant mes premières décades. Elle est passée conseillère chez les Matriarches juste après ma naissance et en profitait pour passer beaucoup de temps avec moi. J'étais plutôt intenable mais elle avait aussi un sacré tempérament! Ça ouais! Elle me racontait des tonnes d'histoire de batailles, d'amour, de mort et je la soupçonne de n'avoir raconté que sa propre vie. L'inaction et l'aveuglement du mode de décision asari à propos de tous les conflits galactiques la rendait folle. Combien de fois je l'ai vue rentrée en jurant par la Déesse qu'envoyer un Krogan au conseil de la Citadelle serait la meilleure idée des Asari depuis la fondation du dit Conseil. Son père était Thurien pourtant...

Ça peut sembler un peu bizarre pour élever une enfant mais j'étais heureuse et aimée. Toutes les deux, elles m'ont appris que la vie ne nous devait rien. Elles ont essayé de me préparer au mieux pour affronter ce qui m'attendait. Elles ont essayé de me faire comprendre qu'il fallait être prête à se battre pour être heureuse, protéger les siens et son peuple. Mais je n'ai vraiment compris ce que ça signifiait que bien plus tard. J'ai suivi des cours d'art du combat avant mon entrée à l'école. Entre les cours et les jeux avec mon père et ma mère, je suis devenue plutôt douée. Sans être une combattante hors-paire, ça m'a donné une sorte de confiance en moi. Et vous savez... Quand vous êtes sûre de pouvoir vous défendre, ou de limiter la casse, ça vous aide à tenir tête aux gens.








Pas tant que ça. Mais je vous expliquerai.

En tant que sang pur, j'ai été médicalement surveillée pour vérifier qu'aucune bizarrerie génétique ne ferait de moi un monstre meurtrier. Mes parents y tenaient beaucoup. Visiblement, ma mère avait eu un cas chez l'une de ses soeurs. Heureusement, la médecin qui prenait soin de moi était très ouverte d'esprit et pas une fois je n'ai eu l'impression d'être regardée comme une bâtarde. Finalement, je n'ai déclenché aucune mutation, mais ce traitement a permis de déceler extrêmement tôt un fort potentiel biotique. Il faut bien qu'être Sang-pur ait ses avantages!

Aussi suis-je entrée très tôt à l'académie. «Apprend à utiliser tes pouvoirs, ça te servira quand tu voudras botter le cul d'un Krogan qui te charge.» Vous savez ce que c'est avec des parents militaires... enfin peut-être pas...

Mais malgré tout, savoir se battre, c'était bien pour défendre les siens, mais une fois la menace passer, comment faire pour recoller les morceaux... littéralement. En temps de paix, ce que nous connaissions alors, un médecin est beaucoup plus utile qu'une chasseresse. J'ai donc choisi de devenir médecin pour protéger mon bonheur. Ça... et aussi parce que c'était quand même génial de voir ces femmes splendides à qui tous obéissaient au doigt et à l'oeil. J'ai étudié la biologie asari, la xenobiologie, la chirurgie et la neurologie avant de me spécialiser dans les effets et le comportement de l'Ezo. J'y ai passé plus de temps que la majorité des gens de ma connaissance mais j'aimais vraiment ça. Comprendre comme toutes ces petites choses marchaient, c'était comprendre un peu mieux ma vie.


Vous savez, on dit que les médecins sont bien plus désabusés que les militaires. Je pense que c'est vrai. Quand vous autres, militaires, vous avez fini de faire des trous dans vos ennemis, vous les laissez là et vous rentrez chez vous. Mais les médecins, eux, voient sans arrêt des crétins criblés de balle, des malades, des fous, sans que ça ait le moindre sens. Alors que les familles peuvent pleurer leurs proches, le médecin continue son travail, car c'est bien un travail.
Bien sûr, je pensais pas comme ça au début! Voir des gens souffrir m'a endurcie. J'ai compris que la vie tendait toujours à reprendre ce qu'on gagnait. J'ai compris que personne ne défendrait ce qui m'est cher à ma place. Mais ça reste vrai. En temps de guerre ou en temps de paix, ceux qui recollent les morceaux sont toujours les plus près des ruines.








J'avais à peine un peu plus d'une centaine d'année et m'amusaient dans des études approfondies des effets de l'Ezo sur les capacités neurales lorsque mon père est parti de Thessia. Elle n'en pouvait plus de se tourner les pouces et voulait recommencer à agir, comme elle disait. Je n'ai pas eut beaucoup de nouvelles après ça mais je crois qu'elle travaillait souvent avec mon père. Elles n'ont jamais put se passer très longtemps l'une de l'autre... Moi, j'ai attendu d'avoir plus de cent-cinquante ans pour quitter Thessia. Avec mon entraînement biotique et mon solide bagage médical, je me pensais prête à tout affronter et je voulais explorer l'univers, en bonne Demoiselle.

J'ai fait un petit tour dans l'espace concsilien, louant mes services contre des moyens de transport, des repas, des souvenirs. Je ne sais pas exactement comment mais j'ai fini par faire parti de plusieurs groupes free-lance. Des commandos multi-espèces qui essayaient de protéger certaines colonies. J'ai rencontré pleins de mondes. Asaris, Drells, Thuriens, Galariens, Butarien, Quariens. Des abrutis, aussi bien que des personnes incroyables. Ça m'a obligé à faire des choix. Je me suis sali les mains plus d'une fois mais j'ai essayé de ne jamais choisir un combat injuste ou trop louche... Même si je me suis faite embarquer dans des trucs pas possible plus d'une fois...


En plus le taux de survit des équipes avec qui je marchais était significativement plus haut que la normale. Remarque, vous avez vu beaucoup de commando avec leur biotic-médic de terrain? Toujours est-il que je me suis forgé une bonne réputation.Un truc entre un porte-bonheur pour l'équipe et une justicière. Alors j'ai émigré dans les systèmes terminus. Je soignais un peu tout ce qui pouvait tomber sous mon omnitech et me payais avec les coups organisés par les mercenaires qui venaient me chercher. J'ai bossé quelques mois avec Éclipse mais leurs méthodes ne me plaisaient pas.



Pendant ces années d'aventure, je me suis vraiment éclatée. J'ai été un an avec un jeune Humain, mais on a fini par se perdre de vue... J'aimerais bien savoir ce qu'il est devenu... enfin s'il est toujours en vie. Il y a aussi eu une Quarienne, Miaran. Puis je suis tombée folle amoureuse d'un Drell, Lenahr. J'ai toujours eu un faible pour les Drells. Leur mémoire est... Brrrref. Il était infiltré dans une base mercenaire pour le compte du SSC, des contrebandiers aux limites de l'espace concsilien. Moi, j'étais venu rafistoler quelques gars. Je vous passe les détails mais nous avons continué à nous voir pendant des années après la fin de sa mission. Je ne sais pas si ça vous intéresse mais on m'a dit de raconter ma vie dans les détails alors...

Tout ça c'était pour dire que Lenahr m'a poussé à revenir dans l'espace Consilien. Grâce à lui (et à mon avis, parce que ma mère m'a donné un petit coup de pousse dans l'ombre..) J'ai fait de plus en plus souvent partie de missions punitives envers des esclavagistes ou des missions sponsorisées officieusement par les gouvernements consiliens (vous savez ce genre de missions qui sont confiées à des free-lances parce que les SpecTR ne sont pas suffisamment nombreux et considérés comme sur-qualifiés) et filé un coup de main ou deux à ma mère.




Non. Pas vraiment. Beaucoup de Demoiselles ont fait bien pire que moi!

Mais certains coups valaient le détours et m'ont conforté dans mon choix d'aider les gouvernements plutôt que de m'encanailler. Par exemple, le coup free-lance dont je suis le plus fière, c'était par hasard mais je m'en souviendrais toujours.

Une bande d'esclavagiste butarien avait prévu de rafler une colonie Galarienne mal protégée à la bordure des espaces terminus. Nous, on était une petite équipe de cinq en route pour refourguer une cargaison d'arme confisquée à des contrebandiers, aux autorités de la citadelle. On a capter un appel de détresse par hasard avant que les communications soient brouillées et on est allé voir. Ce jour là, il n'y a eut aucune perte. Ni parmi les civils, ni parmi nous. Et seulement deux butariens sur la vingtaine ont succomber à leurs blessures. On a dut prendre en chasse l'un des deux vaisseaux pour récupérer les colons qu'ils avaient enlevés mais tout c'est bien fini. Une semaine plus tard, on remettait un équipage d'esclavagiste et une cargaison de plusieurs milliers de crédit d'arme au SSC.

Mais en gros, j'en étais pas à ma première action sur le terrain quand on a vu débarquer les moissonneurs. Et si vous voulez savoir comment et pourquoi je me suis engagée dans les missions N7, vous avez qu'à vous imaginer la situation... Vous vous réveillez un matin et vous croisez la route d'un vaisseau de guerre de plusieurs kilomètres de long puis vous apprenez que des centaines de ces choses déferlent sur les planètes concsiliennes et menacent votre terre natale, vos parents, les gens que vous aimez. Maintenant imaginez que vous ayez sous la main un vaisseau rapide et une équipe de free-lance un peu dingues. Quand l'Alliance puis le Conseil ont envoyé des messages de recrutement, on s'est tout de suite senti concerné.







Je suis restée avec mon équipe en tant que Biotique. J'étais déjà sur le terrain lorsque les administrateurs se sont rendu compte que j'étais aussi un médecin...






Pour ce qu'il s'est passé pendant la Grande Guerre je ne crois pas avoir besoin d'y passer trois mille ans. On le sait tous, c'était un massacre. Des morts, des blessés, des abominations. Le plus dur? Combattre des banshee. Voir ce que nous... ce que je pouvais devenir sous le contrôle des moissonneurs était... éprouvant. Dans les moments les plus critiques, après l'attaque de la Citadelle, la plus grande partie des médecins ont été rapatriés à l'arrière. Mais j'ai aussi préféré rester sur le terrain. Je pouvais éviter des pertes en première ligne grâce à mes biotiques. Au final, nous avons même participé à l'Assaut de la Terre.

Bilan des courses? A la fin de la guerre, il ne restait plus que moi sur mon équipe de free-lance. J'ai appris que ma mère était morte en défendant la capitale de Thessia. Je n'ai eu des nouvelles de mon père que bien plus tard. Visiblement, elle participe de nouveau au gouvernement asari. La plus grande partie des amis que j'avais avant-guerre sont morts... où n'ont pas donné signe de vie depuis plus de dix ans et dans ce cas... Mais bon, c'était peut-être le prix à payer pour s'être liée d'amitié avec des têtes brûlées. Lenahr est mort, lui aussi, en défendant les Hanaris. Il ne me reste de lui qu'un tatouage... Que dire de plus?


Pendant la Grande guerre, je voulais aider la galaxie au maximum et je n'étais pas la seule. Je trouvais qu'il y avais bien trop de hiérarchie, bien trop de paperasse. Alors moi, Marc et Kesh, on a eu envie de faire un peu bouger les choses. Un groupement de médecins, infirmières et volontaires en tout genre pouvant intervenir rapidement pour des missions de sauvetages sur le terrain, réunit sous une doctrine: Aider et Combattre. C'était le chaos et j'avais des moyens de contactés des médecins et des camps de premiers secours. Nous n'étions pas beaucoup, à peine six ou sept équipes que j'essayais de coordonner, mais le mouvement a fait boule de neige. L'Alliance s'est intéressée à nous au cours des semaines suivantes. Comme on était un groupe inter-espèces, on faisait de la pub pour la cohésion galactiques alors ils se sont pas privés d'utiliser notre image. Et ça a marché, par la Déesse! Le mouvement Valkyrie a été réparti sur toute la planète. On avait même notre propre logo et nos propres spots de mobilisation.
On a fait des trucs biens. Même si on l'a payé cher avant de réussir à être vraiment efficace. Marc a été le premier mais il y en a eut beaucoup d'autres.

Bref... Après la guerre, notre mouvement s'est désagrégé, mais nous nous étions bien fais remarquer. La plus grande partie d'entre nous ont été intégrés dans les forces militaires des gouvernements du Conseil. Les transmissions ont été très vite rétablies entre les mondes, mais les troupes n'ont pas put toutes repartir chez elles alors je suis rentrée pendant un moment dans les forces de l'Alliance.




Dès les mois suivants, les sauvetages devinrent moins nombreux et le mouvement à définitivement pris fin. Mais après ce que j'avais vu, je ne pouvais pas me ranger. Comment on peut prendre un job dans un hôpital?

Dès que j'ai pu retourner sur Thessia, j'ai été réintégrée dans l'armée et j'ai demandé à participer à des missions en commando hors monde. Vous savez, la citadelle, les galariens, Eden Prime. Entre les haines couvées, les échauffourées inter-espèces et les guerres civiles, on a pas eu de temps à perdre.


Finalement, cela fait dix ans que je parcours l'espace, intégré dans les troupes consciliennes ou, plus souvent, comme commandant de petites escouades. Je ne suis presque jamais retournée sur Thessia et je, ne m'arrêterai pas de si tôt.

J'ai ma propre façon de participer à la reconstruction. J'ai vu pas mal de choses bizarres. Et vous voulez savoir ce que je pense? Même si je ne suis pas une professionnelle, je suis sûre que la prospérité et la sécurité de notre mode de vie repose entièrement sur l'énergie noire.




Pour tout le monde, la Grande guerre a marqué un tournant décisif. Pour moi aussi. On a été confronté à la mort comme jamais. La possibilité d'un anéantissement total vous fait étrangement apprécier la vie. J'ai même reçu une médaille pour mes actes pendant la guerre. Il paraît que tuer fait de nous des héros. Mais il me semble que vous vouliez l'envers du décor...

La vérité c'est que je fais des cauchemars presque toutes les nuits depuis la première fois où j'ai croisé la route d'un de ces pantins de chaire utilisés par les moissonneurs. Je me réveille en sueur, en sentant la main d'une banshee se serrer au tour de mon cou. La vérité c'est que je n'arrête pas de voyager et de m'occuper parce que je deviendrais folle si je n'avais rien à faire. La vérité c'est que mon boulot de médecin n'est pas près de s'arrêter. La vérité, c'est que la galaxie ne sera jamais comme avant, mais que nous pouvons avancer tous ensemble. La vérité, c'est qu'on continue à vivre, à aimer et à rire quoi qu'il arrive.

On dit que les autres espèces on l'impression que toutes les Asari se ressemblent. Pourtant les différences sautent aux yeux pour qui sait regarder.

La plus notable de ces particularité doit être sa grande taille. Facilement repérable au milieu d'une foule, Elian fait exactement 1m82. Cela ne fait qu'ajouter à son attitude sûre d'elle avec son pas rapide et volontaire. Avant qu'elle ne s'approche vous remarquerez sans doute que sa silhouette générale est assez sèche. Une petite poitrine et des épaules assez larges que l'on pourrait plus attendre d'une chasseresse que d'un médecin, et pour cause...
Mais elle ne porte de tenue de combat que pour partir sur le terrain. En temps normal, elle profite de vêtements ajustés, dévoilant le corps qu'elle s'est sculpté au gré des combats et dont elle est très fière, même si elle ne l'avouera jamais. Décolletés ou étoffes montrant son nombril sont son quotidien et elle affectionne particulièrement les jupes longues et fendues. Pourtant, un œil averti remarquera qu'aucune de ses tenues ne l'empêche de bouger. Les robes guindées sont proscrites et sa grande taille la dispense de porter des talons hauts.

Si vous avez l'occasion d'arriver à sa hauteur vous remarquerez son teint bien bleu fendu d'un coup de griffe de Banshee. Quelques marques rouges font ressortir deux grands yeux bleus. Mais son visage à la mâchoire carrée, aux lèvres fines et au nez proéminent ne dégagerait pas l'impression de beauté presque artificielle des Asari s'il n'était pas parfaitement symétrique... et que ses yeux n'avaient pas quelque chose de captivant. A part se regard, c'est son galbe crânien frôlant la perfection qui  accroche l’œil de ses congénères. Un détail que sont bien incapable d'apprécier les autres espèces...

apprécie: le courage, la franchise, l'humour
déteste: la lâcheté, le mensonge, la traîtrise, l'égoisme


élevée par Aethyta, une guerrière et Mira, une SpecTR, Elian a TOUJOURS eut un tempérament bien trempé et une tendance à l'action. Elle ne revient jamais sur une décision, même si cela lui est néfaste et ne demande de l'aide qu'en cas de danger de mort. Certains prendraient ça pour de l'orgueil mal placé... et ils n'auraient pas tout à fait tord. Elian a survécu à la Grande guerre et ses parents l'ont élevée en fille unique. Elle en a retirée une certaines confiance en ses capacités.

Mais ce n'est pas qu'un mal. Ses années de survie et son métier l'ont habituer à juger rapidement d'une situation. Rusée, elle est capable de prendre rapidement les décisions qui s'imposent sans laisser ses sentiments obscurcir son jugement. Elle ne rechigne pas devant les responsabilités et a pris plus d'un fois la direction stratégique d'équipes pendant la guerre.

Son passé lui a apprit à se méfier des autres mais aussi à craindre leur disparition et elle se lie difficilement d'amitié. Si elle adore l'humour en tout genre, elle n'arrive pas à jouer avec le ridicule elle même, elle est bien trop fière pour cela. Elle essaie d'apprendre à faire de l'humour. Elle essaie... mais elle garde toujours des abords froids, distants ou ronchons pour ceux qui ne la connaissent pas.

Pourtant une fois qu'on gagne sa confiance, elle ne laisser à jamais tomber ses proches. Elle est prête à donner sa vie pour les gens qu'elle aime et redoute plus que tout de perdre à nouveau des amis. Même au delà de ça, elle est profondément altruiste et essaie toujours d'aider ceux qui lui demandent un coup de main. Dans son rapport avec les patients, elle semble beaucoup plus douce et compréhensive qu'en temps normal.

Signe(s) distinctif(s) : tatouage d'aile dans le creux des reins (logo valkirie) , coup de griffe se la joue droite. marques rouges sur le visage.
Relations avec les autres : francs mais compliqués?
Des liens prédéfinis ? sur proposition avec grand plaisir.