Les gens disent qu'on fait des erreurs pour ne pas les refaire plus tard, certes ils ont raison, mais pour ne pas refaire ses erreurs il faut s'en souvenir. C'est pour cette raison que je vais mettre sur papier les quatre années d'enfer que j'ai vécu pour me permettre de vivre encore longtemps. Pour ceux qui vont lire ces pages vous devez savoir plusieurs aspects de ces quatre dernières années. J'ai vécu ces quatre années dans ce qu'on appelle une arène pour des combats à mort, mais dans ma malchance j'ai été chanceux. Cette arène avait pour principe de libérer un combattent s'il arrivait à gagner 400 combats, pour ce qui est de mon cheminement, j'ai fait 399 combats et une exécution. La seule raison pour laquelle je ne me suis pas ôté la vie fut ma compagne de cellule rosa. Rosa est une jeune asari d'une centaine d'années qui a perdu totalement la mémoire. Je ne sais quasiment rien sur sa vie et de quel façons elle s’est retrouvé dans la même situation que moi. Contrairement à moi qui étais un combattent, rose se qualifiait de danseuse, mais pour de vrai elle était une fille de joie. Rosa fit la seul personne avec qui j’ai discuté  pendant quatre ans, ces durant nos conversation  que je redevenais  humain et non pas un simple homme.

Suite à la visite de Claire et à sa demande inattendue que pour que je pars sauver sa fille, des souvenirs douloureux me revient constamment à l’esprit. J’espère quand écrivent ces lignes mes souvenirs me laisserons tranquilles.

                                                        COMBAT 17

Les esclavagistes me poussèrent dans l’arène. La chose que j’ai trouvée le plus éprouvant durant cette période  de ma vie, est le rite funèbre que les combattants  devaient rendre au perdant du combat précédent. J’ai pris le corps du défunt que les propriétaires de la place avaient laissé pourri dans l’arène circulaire pour le lancer dans le centre de l’arène où se situait un puits sans fond. Mon dix-septième opposant fit son apparition. Se fit un combat plutôt classique avec la mort rapide de mon adversaire. La chose qui a changé ma vie cette journée  est, la personne que j’ai retrouvée dans ma cellule.

Les esclavagistes me poussèrent dans ma cellule avec un délicates que seul eux pouvaient faire preuve. Je me relève pour faire volte-face à mes bourreaux et j’ai reçus la porte de métal en plein sur mon crâne. J’étais sonné et ne remarqua même pas la personne qui se trouvait sur le second lit avant plusieurs minutes couchés sur le plancher.

Je réussi à m’assoir sur mon lit et remarqua mon compagnon de cellule .Ma compagne de cellule plutôt.  C’était une asari à la peau bleu, la première que je rencontrais. Elle dormait paisiblement le visage face au mur. Une robe d’un bleu foncé  recouvrait son corps. Quand elle ouvra les yeux se firent le début d’une longue conversation sur des sujets qui se ressemble vaguement. Qui est-elle, pourquoi elle-est ici, comment elle est arrivée ici. Mais la vrai question est comment sorti d’ici.

Suite à la rencontre de Rosa que j’ai mis sur papier, mes derniers instants avec elle me reviennent constamment.


Pour la première fois j’écris une partie de mon emprisonnement en format numérique et non sur papier. J’ai toujours écris mes mémoires à l’ancien ou en m’enregistrent parler. Mais là, mes mains trembles trop et un nœud dans ma gorge ces former à l’idée des évènements que je m’apprête à taper.

Je souffrais mille mort, mon épaule droite était disloquer et je ne comptais même pus le nombre de côte casser que j’avais. Pour ce combat le dirigent de l’arène avaient mis le paquet. Ils m’avaient envoyé un jeune krogan adulte sans armure. À bout de souffle je regarde le dirigent butarien qui se croyait invincible protéger par sa grille de métal qui nous séparait. Je réussi à sortir mon poignard de la mâchoire du krogan.

J’entendis le son caractéristique de l’ascenseur, qui est à l’opposer du dirigent de l’arène. On m’amenait un autre adversaire. J’étais pétrifier, les combattants n’avaient jamais fait deux combats consécutif. Je regarde le dirigent de l’arène et il me point l’ascenseur en me disant avec un sourire de mort.

–Ton ultime combat.

Les poulies qui faisaient monter l’ascenseur continuaient de tourner. Je n’avais jamais affronté deux adversaires consécutifs, mais qui que ce soit, j’étais prêt a tuer n’importe qui pour gagner se cinq-centième combat et avoir droit à ma liberté.

Je m'étais blessé au front durant mon affrontement contre le krogan. La blessure saignait sans arrêt et teintait ma vision de rouge, essuyé le sang ne servais a rien. L'ascenseur s'arrête et je vois mon dernier adversaire avant de pouvoir sortir de cet enfer. Une silhouette d'un homme petit se dirige vers moi en marchant, sa garde baissé. Je restais debout sans bouger, la douleur m'empêchait de faire quoi que ce soit et le voile rouge qui couvrait ma vision me fit voir peu à peu la personne que je vais de voir tuer.

Je tremblais à cause de la peur que me procurait cette personne, j'étais l'agneau et lui le loup. Il continuait d’avancer, je pus distinguer un poignard dans sa main gauche. Quelle ironie je me disais, j'allais être tué par une arme similaire avec laquelle j'ai tué des centaines de personnes. Il continuait d’avancer, la personne était vêtue d’un habit intégralement de bleu. Il s'arrête, je profite de ce moment pour essuyer le sang qui m'obstruait la vue.

Je tombe à genoux et je pleure en silence, tout ce que j'ai vu est faut. Ce n'est pas un homme de petite stature, c’est une femme. Elle n'est pas seulement vêtue d’une robe bleue, sa peau est bleue. Cette personne est Rosa. Je devais tuer la personne qui est devenu ma sœur durant ces 4 ans pour sortir de cet enfer.

Rosa s’agenouilla juste devant moi, son visage était paisible et elle ne tremblait pas contrairement à moi. Le fait que Rosa sois dans l’arène me fit comprendre automatiquement que un de nous deux allaient mourir. Je quitte son visage des yeux pour fixer mon poignard tacher du sang du krogan que je venais de tuer. Je lui avais fait la promesse à de la faire sortir de ce monde et de lui faire vivre une vie normal, à l’abri de ce genre d’endroit.

Une solution m’est venue à l’esprit, pour sauver Rosa il suffisait que je m’enlève la vie. Je lève mon regard de ma lame pour voir le visage de Rosa une dernière fois avant de m’enlever la vie. Elle avait un fabuleux sourire, son dernier également. Je me redresse debout et essuie mes yeux pour mourir avec dignité. Je me place de dos a Rosa pour pas qu’elle me voit m’être fin à ma vie.
Je soulève l’instrument de mort vers ma gorge quand j’entendis un coup de feu. Le tir arrête mon mouvement, croyant que j’ai été la cible. Je vis le rictus du dirigent avec un pistolet dans les mains pointent derrière moi. Ses yeux était fixé sur un point derrière moi, un point très proche derrière mon dos. Une main m'effleure le bras, une main frêle et sans vie. Un corps bleu s'effondre au sol accompagné d'un son sourd. Rosa avait le visage tourné vers le ciel, une ligne de sang coulait du bord de ses lèvres. Ses yeux qui ont toujours été plein de vie sont désormais vides de toute émotion.

Et moi je restais debout sans rien dire en la regardent refusant de croire à sa mort. Cette personne était la seule chose qui me rattachait à un monde d'humain et non de bête sanguinaire assoiffé de sang et de pulsion animal. La porte principal de l’arène, là où rentrais les monstres qui dépensaient sans réserve pour voir des esclaves se battre jusqu'à la mort, s’ouvrir. La tête de Rosa pivote vers moi. Je n'avais même pas remarqué que la seule personne qui comptait pour moi vivait encore, mais souffrait. Elle était en train de s'étouffait avec son propre sang, son regard m'implorait de faire un acte qui me tourmenterait à jamais. Je laissai tomber l'arme au sol qui devait quelque instant plus-tôt me tuer pour permettre à Rosa de vivre. Mon regard resta fixé sur celui de Rosa jusqu'à ce que la vie quitte son corps. La vie avait quitté son corps du puis longtemps quand un spectateur bourré à la drogue et l'alcool tira un coup de feu sur le cadavre sans vie de Rosa. Se tire gratuit me ramena à la réalité, j’ai laissé une mort atroce l’emporter tandis que j’aurais pis l’aidé. Un poignard similaire au mien était dans la main inerte de Rosa. Elle l'avait sûrement obtenu de Pallen avant qu'il se fasse tuer dans l'arène. Je prends la lame de Rosa avec ma main valide, mon poignard rangé dans son fourreau sur ma cuisse droite, pour ensuite ne diriger vers la sortie de l'arène persuadé de mourir d'une balle avant de regagner ma liberté. Arriver à la sortie de l’arène, personne ne tira un coup de feu. Le maître des lieux avait disparu de son siège et je pus sortir de ce monde abject.