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 Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]

Syreena V'Live
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MessageSujet: Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]   Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!] Icon_minitimeMar 10 Avr 2018, 14:53
Registre Galactique des espèces
Syreena V’Live

Informations primaires

Sexe : Asexuée
Espèce : Asari
Âge : 98 ans
Faction : Indépendante
Poste / Grade : N/A
Parenté : Moira V’live & Nyala Asklepios
Situation maritale : Célibataire
Planète d'origine : Naira


Histoire

Je suis née sur une colonie Asari, de l’union d’une amoureuse de la nature et d’une diplomate de carrière. Quand on dit Turien, on pense assez rarement à des poètes, et pourtant, il faut croire qu’il en existait au moins une... Une pour laquelle ma mère tomba instantanément sous le charme, elle qui pour le coup, respectait beaucoup plus les stéréotypes de l’Asari politisée, soutien de long terme de la Conseillère, mais qui n’avait pas pour autant des postes prestigieux.

Quelques mois seulement après leur rencontre, j’étais dans les startings blocks pour attaquer la vie qui m’attendait, et les décennies mouvementées du XXIIème siècle. Elevée dans le respect des plus expérimentés et dans l’amour de la nature et du beau, je grandis bien entourée, et, si ma mère turienne essaya, peut-être dans un élan d’honorer les clichés de sa race, peut-être dans un élan de respecter les carrières de ses parents, de m’enseigner aussi des valeurs martiales, je n’étais pas l’élève la plus appliquée dans ce domaine.

Certes, j’aimais faire du sport, mais pour ce qui était du reste, je n’avais semblait-il pas le corps fait pour être une soldate d’exception. Ou une soldate tout court, du reste. Je n’étais pas non plus une étudiante modèle, mais très tôt, je voulus poursuivre une carrière dans les médias. Ce monde me passionnait, et je m’enivrais de lectures et m’investissais à fond dans des formations pour développer mon œil artistique pour la « bonne » photo. A vrai dire, je n’avais pas vraiment prévu d’être une journaliste, me voyant plutôt comme une chargée des images pour différents documentaires, et c’est ce que je fus, au début. Simple camera, touchant les images pour construire le rendu final, je connus un revirement de carrière lors de la guerre du Premier Contact entre Humains et Turiens.

A cette époque, mes parents s’étaient déjà séparées, en bons termes, mais il n’empêchait que je me portais volontaire pour couvrir ce conflit inédit avec un petit pincement au cœur en espérant que ma mère turienne s’en tiendrait loin. Je fus donc « prêtée » à nos collègues et confrères du Second Star Broadcasting. Par un coup du sort qui prit la forme d’une violente crise de la journaliste, je dû changer de place en me mettant devant la caméra pour un reportage à l’intérieur du croiseur turien à bord duquel nous étions affectés. Si le reportage commence bien, avec une présentation de l’équipage et de leurs rôles, j’avais un peu le trac, mais je commençais à prendre mes aises, jusqu’à ce que tout vire à l’alerte, chassée du poste de commandement, je continuais de commenter en essayant d’avoir une vision d’ensemble de la chose jusqu’à la fin de l’escarmouche. Où, une fois après avoir prononcé les mots magiques « merci d’avoir suivi notre reportage », je trébuchais sur ma propre cheville et m’étalais sur le pont du croiseur. La vidéo est encore en ligne sur l’extranet, d’ailleurs.

Il n’empêche que ce fut cet événement qui propulsa mon nom auprès de mes supérieurs qui, bien que ce fut loin d’être immédiat, me firent suivre plusieurs formations et avoir une place de plus en plus importante dans les documentaires qui suivirent... Jusqu’à ce que je devienne à la fois la journaliste et chargée de la caméra, me libérant de la contrainte du duo. Après tout, les grands noms du journalisme travaillaient souvent seuls, ne s’appuyant sur d’autres qu’une fois leurs interviews terminées. Moi, je pouvais tout faire quasiment dans l’immédiat, et c’est ainsi que je commençais vraiment à m’éclater.

Après tout, je ne vois rien de mieux que ce job : d’accord, mes documentaires ne sont pas parmi les plus vus, ni parmi les plus intéressants, mais je voyage, je découvre, et je fais des rencontres. Je pus suivre nombre des grands événements qui ont façonné la Voie Lactée d’aujourd’hui, en partant de cette rencontre avec une nouvelle race, qui m’intrigua beaucoup... Et pour laquelle je fis mon premier voyage en solo, dépensant quasiment toute ma paie pour des vacances sur Terre, et toutes mes économies pour une petite merveille, un vieil appareil photo qui me tapa dans l’œil dès que je le vis chez ce petit revendeur.

J’étais sur la Citadelle au moment de l’attaque des Geths, enfin, de Sovereign, pour suivre les répercussions de la mort d’un malfrat local sur la pègre, mais mon documentaire prit rapidement une toute autre tournure... Et surtout une fin abrupte quand je fus renversée par un mouvement de foule, et que je me réveillais le lendemain avec pas mal de bosses et de bleus (riez si vous voulez...) dans un lit d’hôpital, duquel je ne perdis pas un instant pour en sortir pour terminer comme je le pus des éléments rassemblés ça et là l’histoire des événements. Ce fut suite à cette attaque que je suivis et un entraînement au corps-à-corps et au pistolet, non pas pour contrer la foule qui m’avait mise à terre, mais pour rassurer mes mères et moi-même quant à la menace que certains ressentais peser sur la Galaxie.

Le Commandant Shepard était de ceux-là, et même si je pus sentir son aura, et que j’aurais pu mettre ma main à couper que ce ne serait pas la dernière fois qu’on entendrait parler de lui, obtenir les autorisations pour le suivre s’avéra un cauchemar administratif alternant refus purs et simples, et l’accord d’utiliser quelques images déjà filmées pour un reportage sans aucun intérêt. Je laissais tomber quelques semaines avant sa « mort », et continuais ma carrière en suivant de loin sa résurrection, et les quelques journalistes qui parvenaient à l’approcher. Evidemment, l’apogée de ma carrière se déclencha avec la Grande Guerre, où j’obtins l’autorisation d’être une journaliste intégrée dans une unité combattante humaine.

Les mois qui suivirent furent à la fois psychologiquement et physiquement durs, alternant périodes de combats intenses contre les Moissonneurs et des périodes de repos et de remises en conditions où les blessures les plus graves se faisaient ressentir comme étant invisibles. Mes documentaires rejoignirent ceux de Khalisa Al-Jilani ou Diana Allers pour soutenir l’effort de guerre. Je ne connus pas de moments de gloire, et même si j’eus l’occasion par trois fois de sortir mon arme pour me défendre immédiatement, je ne l’utilisais qu’une fois. La chance voulut que mes deux parents survivent comme moi au conflit, et la reconstruction de ma psyché et de la Galaxie commença après que je puisse, comme tous les autres, sortir du système Hélios pour renouer le contact avec les autres systèmes enfin libres de la menace des Moissonneurs.

Si le monde, ou du moins, sa majorité, s’attendait à une nouvelle ère de paix, les tensions ne mirent pas longtemps à se remettre en branle. L’attentat qui aurait pu mener à la destruction de la Terre fut comme une mauvaise piqûre de rappel, et même pour moi, je m’en voulus de m’être éloignée des mauvais souvenirs associés à l’ancien symbole de l’hégémonie concilienne. Mais même lorsque le Conseil fut instauré de nouveau, les troubles continuèrent. Autant dire que la presse ne perdait pas de son intérêt par manque d’événements... Et la Guerre civile galarienne en fut une preuve que beaucoup n’aurait pas espéré. J’essayais de la couvrir du mieux que je pus, mais la nature de mes interlocuteurs faisait qu’ils préféraient dans l’ensemble régler leurs différends entre eux, et je dû me contenter, faute à ma hiérarchie de ne pas vouloir prendre position en m’envoyant dans l’un ou l’autre camps, d’un reportage de façade. En revanche, j’eus moins de difficulté à suivre le regain de tensions entre la métropole terrienne et ses colonies, renouant même le contact avec certains des soldats avec lesquels j’avais pu partager leur quotidien.

Après ces tensions, ce conflit évité de justesse, je pris quelque peu mes distances des combats. Mes reportages suivants se focalisèrent sur la communication d’entreprises humanitaires de reconstruction et d’aides aux populations, dans lesquelles je m’investis pleinement, effarée devant l’ampleur des destructions. J’y restais pendant un long moment, allant des grands centres aux plus petites installations touchées par la Grande Guerre, jusqu’à l’attentat avorté d’Ilium.

Ce fut là où je revins sur le devant des événements, notamment en suivant de près les événements de Tuchanka, puis l’attentat sur Palaven... Le tout dans le sentiment d’être un pion baladé de lumière en lumière, d’attentats en guerres civiles, comme si personne n’avait rien tiré de la Grande Guerre. Je savais qu’il y avait de la colère, mais cette haine, persistante, qui semblait toujours régner me dégoûtait.

Cette année-là puis la suivante, en 2201, furent si mouvementées que je n’en garde qu’un souvenir flou. Je fus de toutes les occasions quand je le pus, notamment lors de la cérémonie de création de la Force conjointe destinée à la protection des systèmes conciliens, recueillant aussi bien des témoignages pleins d’espoir et d’enthousiasmes que d’autres, plus sombres, prédisant l’inefficacité de la chose. Inefficacité qui se traduisit peu de temps après, dans un attentat qui coûta la vie à nombreuses de mes connaissances sur Thessia.

L’un des commanditaires fut finalement trouvé, puis éliminé, mais la menace restait présente. Et cette année, enfin, je pus prendre de nouveau deux semaines de vacances loin de tous les tracas de la Galaxie, pour revenir à temps couvrir les négociations entre le Conseil et les Krogans, laissant à d’autres – pour le moment seulement ! – le soin de couvrir la découverte de cette nouvelle espèce.



Apparence

Il n’est pas rare que je passe inaperçue au milieu des gens. Après tout, je ne suis ni petite, ni grande, ni avec un physique particulier. Rien de tout cela, non. Je suis... Désespérément normale. Du côté des chiffres, je mesure un petit mètre 70 pour une cinquantaine de kilos, le tout dans une peau, certes douce, mais d’un bleu des plus banals pour une Asari. C’est vrai que mon visage est assez mignon quand on y prête attention, aux traits assez fins sans paraître enfantins non plus, mais, hormis cela, je ne dispose ni de courbes outrageuses, ni de formes généreuses.

Souple, je développe mes capacités physiques non par envie d’être regardée ni par envie d’un engagement exigeant une bonne forme corporelle, mais par simple goût de l’effort. Oh, évidemment, je suis à des années lumières des chasseresses ou des commandos humains N7, mais ce n’est absolument pas le but. Après tout, je ne suis pas censée me battre avec mes frêles poings, ni même avec une arme à feu... Du moins, la plupart du temps. Et puis d’ailleurs, je suis bien meilleure à la course. On dit d’ailleurs de ma démarche qu’elle est très assurée, comme si je savais pertinemment où me rendre à chaque fois, même quand je me promène dans une ville. La vérité est que si je marche vite et d’un pas sûr, c’est souvent parce que je suis en retard...

Question biotique, j’ai beau être asari, je n’ai jamais eu ni le besoin ni l’envie de développer mes compétences. J’en sais les bases, comme tout le monde je suppose, mais là encore, je n’ai pas choisi d’orienter ma carrière vers des compétences martiales. A ce moment, qu’y a-t-il de plus à dire sur mon physique ? D’accord, il y bien sûr le fait que j’ai une garde-robe beaucoup trop fournie pour mon salaire, et que je passe très certainement bien trop de temps à chercher une tenue qu’il ne me faudrait... Et j’en possède très certainement des doublons. J’en ai de toutes sortes, de la plus pratique à la plus excentrique, soigneusement en désordre dans l’appartement familial à Thessia. Même chose pour les bijoux, par ailleurs... La seule exception notable étant les bijoux et accessoires pour lesquels j’accorde peu d’importance, excepté pour un joli collier tour de cou en cuir, que je ne porte pas souvent, et d’un petit bracelet en or fin de cheville, qui ne me quitte pas.

Ah ! C’est vrai qu’on me voit également rarement sans une sacoche pendue à mon épaule contenant deux choses : une caméra dernier cri, et un appareil photo à l’ancienne acheté sur Terre, il y a de ça ce qui me semble être une petite éternité. Deux biens dont je ne me séparerais qu’avec grande difficulté, l’un pour sa valeur financière, l’autre, sentimentale (et, admettons-le, financière aussi).


Caractère

Si je n’avais pas grand-chose à dire sur mes capacités physiques, c’est généralement parce qu’on peut compenser par des capacités intellectuelles hors du commun... Mais ça n’est pas mon cas. Je n’ai pas l’intelligence de grands scientifiques ni de grands stratèges et autres tacticiens. Et, vous l’aurez peut-être compris, je fonctionne un peu trop par négations. Ce n’est ni par pessimisme, ni par tension sous-jacente en moi m’interdisant de me trouver des qualités, non. Si je me remets souvent en cause, c’est uniquement parce que je suis constamment poussée à me dépasser dans les domaines que je cherche à maîtriser.

Mes passions, à ce titre, sont multiples, et j’ai la chance d’avoir pu développer ces hobbies pour en faire mon métier. Photographe amatrice par ma mère turienne, belle-parleuse par ma mère Asari, la combinaison des deux a débouché naturellement sur une carrière journalistique. C’est peu original, vous me l’accorderez, mais au moins, j’exerce ce que je veux, et je sais que ce que je fais est important. Et puis, je peux alors servir mes envies de découverte et de voyage et les allier à mon contact relationnel facile.

Je n’ai pas été éduquée à la dure, ni trop gâtée. Fille unique d’une union qui n’aura pas duré toute une vie mais qui s’est séparée en bons termes, aimée et d’une situation aisée, on peut dire que j’ai eu de la chance dans mon enfance. Outre mes passions qui surent très rapidement me trouver, je développais également mon goût pour la musique et l’art, bien que je me révélais être une piètre musicienne ou artiste moi-même. Extrêmement sociale avec mon jeune âge, voulant tout expérimenter, j’ai connu plusieurs phases, mais pas plus que certaines Asaris en bas âge.

Pétillante, j’adore passer mon temps libre à explorer et à nouer toutes sortes de relations, souvent finissant sur un nom à-demi effacé dans mon OmniTool. Je garde peu d’attaches profondes, mais je ne pourrais pas dire le pourquoi cela fonctionne avec certains et pas d’autres. C’est juste la façon dont je perçois les gens, voilà tout. Loyale envers ma parole et mes affinités, je tiens à me montrer sous mon meilleur jour... Bien que mon retard chronique m’en empêche parfois. Assez dragueuse à certains moments, je tiens malgré tout à imposer des distances dès que cela promettrait d’être trop sérieux.

Je sais obéir quand il le faut, et si je ne suis pas particulièrement courageuse comme les héros des différentes guerres, je sais maintenir mon sang-froid dans les situations les plus difficiles, et, empathique par nature, je suis tout bonnement incapable de garder une indifférence de façade devant la misère qui peut m’entourer, aidant quand je peux et quand je sais que je peux faire une différence.


Compétences / Profil


Profil :

Profil : Biotique civil 0/0/0

Équipement :

Armes :
M-5 Phalanx

Armurerie : Aucune

Compétences :

Militaire :
Combattante novice au corps à corps
Maîtrise basique du combat à distance (pistolet)
Aucune compétence militaire

Biotique : Oui
Biotique civile

Technologie :
Aucune compétence tech




Compléments

Signe(s) distinctif(s) : ///
Relations avec les autres : Très sociale, vous ne risquez rien à l’aborder, bien au contraire, et d’ailleurs, ce sera sûrement elle qui viendra vers vous... D’ailleurs vous avez le temps pour une interview ?
Des liens prédéfinis ? : Vous, peut-être ?
L'objectif de votre personnage à long terme ? : Le long terme, c’est tellement loin... Pour le moment, simplement continuer de rapporter les nouvelles au mieux de mes capacités, tout en aidant les gens placés sur ma route.


Hors Personnage

Célébrité sur l'avatar (seulement si besoin) : ///
Comment avez-vous connu le forum ? Via google, tout simplement !
Est-ce un double compte ? Nope !
Des remarques ? ///



RP d'introduction

Si vous comptez faire un personnage puissant (militairement ou politiquement), vous devez faire un RP solo (au moins 700 mots) sur le sujet que vous voulez, en lien avec votre personnage. Ce RP n'aura aucune influence et n'existera pas dans la trame de votre création. Ce texte servira uniquement à la personne chargée de valider votre fiche.
Cette partie est facultative et ne concerne que les personnes ayant une grande ambition à terme (Spectre, Dirigeant d'une Espèce, Faction d'élite, etc, etc...)





Dernière édition par Syreena V'Live le Mer 11 Avr 2018, 11:39, édité 1 fois
Adrien Annaz

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MessageSujet: Re: Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]   Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!] Icon_minitimeMar 10 Avr 2018, 22:37
Bonjour Syreena.

L'avatar et la charte étant aux normes/signées, passons à la fiche.


Une petite erreur pour commencer : le XXème siècle, c'est 1900-2000. Hors si tu a 98 ans aujourd'hui, tu est née en 2105. Donc, ça ne colle pas.
La deuxième chose qui me gêne un peu, c'est ton intégration dans une escouade Humaine pendant la guerre. Pourquoi Humaine ?


Voila donc tout ce qui me gêne. Je te laisse faire la petite correction et m'expliquer le pourquoi du comment de l'escouade Humaine, et on sera bon.
Syreena V'Live
Syreena V'Live
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MessageSujet: Re: Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]   Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!] Icon_minitimeMer 11 Avr 2018, 11:48
Bonjour Adrien (:

Effectivement, petite coquille concernant le siècle, que j'ai corrigé (:

Concernant l'intégration dans une escouade humaine, je me suis en fait dit que Syreena ne pourrait pas forcément suivre des commandos Asaris, de par la nature de leurs missions ou tout simplement par le simple fait qu'elle serait trop faible pour les suivre et représenterait un risque pour l'escouade. Même chose pour toutes les forces "spéciales" de la Galaxie. J'ai donc choisi de la faire suivre une escouade humaine, une unité de mêlée au contact direct pour des affrontements conventionnels. Du coup, j'ai choisi les humains pour qu'elle puisse avoir des contacts potentiels de RP plus tard, et aussi parce que je sais qu'intégrer des journalistes dans des unités est quelque chose qui se fait au moins de nos jours ^^".

Si cela pose problème, je peux changer, évidemment, mais j'aime assez l'idée qu'elle ait suivi une unité d'une race différente, comme les Krogans/Turiens/voir même une unité venue d'Omega. Mais sinon, je peux aussi la faire suivre une unité Asari si cela vous gêne vraiment (:

En tous cas, merci beaucoup pour la correction rapide !
Adrien Annaz

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MessageSujet: Re: Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]   Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!] Icon_minitimeMer 11 Avr 2018, 13:32
Non pas besoin de changer, je me doutais d'une explication comme ça. Mais tu sais les Asaris aussi ont une armée régulière, c'est surtout pour ça. Mais bref, ça me va.

Je te donne le lien pour trouver des partenaires RP : ->ici<-. N'oublie pas de bien respecter la fiche modèle.

Si tu veux chercher des liens avec les autres joueurs, je te conseil de lire les Journaux de Bord. et t'encourage à faire le tien.

Et bienvenue sur le forum.
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MessageSujet: Re: Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!]   Syreena V'Live, vous avez un moment à m'accorder ? [Terminée!] Icon_minitime
 

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