Née en 2155 sur Palavan, Zeckus eu une enfance joyeuse et normal au sein d'une famille aimante, son quotidien se résumait à aller à l'école, s'amuser et en apprendre le plus possible sur l'armée dans le but de se préparer à son service à l'âge de 15 ans. Son père occupait le poste de capitaine sur un navire de l'armée turienne, sa mère était chercheuse en biologie, deux ans après sa naissance un petit frère naquit et vînt perturber le fleuve tranquille de sa vie tel un caillou jeté dans un lac, il s'appelait Voren. Il est né la même année que le début de la guerre du premier contact, auxquelles Zeckus et son frère participèrent sur les dernières années.Malgré le fait qu’ils étaient deux frères qui se chamallaient souvent, ils s’aimaient l’un l’autre et le petit frère ne tarda pas à marcher dans les pas du grand. En effet, Voren suivit Zeckus dans son entrée dans l'armée, notre protagoniste était rapidement monté au grade d’adjudant grâce à des actions éclatantes effectuées dans le système terminus ainsi que pendant la guerre du premier contact.

On plaça rapidement Voren dans l'équipe de Zeckus pour que ce dernier suivent les traces de son aîné et c'est ainsi qu'a l'âge de 24 ans, le cadet est promu au rang d’adjudant tandis que Zeckus était lieutenant et gérait son propre navire donc, tout ce passait pour le mieux. Surtout que les frères, n'étant pas assignés à des postes importants, ne participa pas à la guerre contre Saren et les geth. Mais, lors qu’enfin les moissonneurs lancèrent l'assaut contre Palaven, alors que Zeckus avait 32 ans, ils furent envoyés au front pour repousser l'ennemie. Là-bas, l’aîné faisait tout ce qu'il pouvait pour protéger son petit frère, il envoyait ce dernier dans les endroits les moins risqués et lorsque le primarque Victus donna les troupes turiennes à Shepard, Zeckus obligea Voren à faire partie de la flotte et ainsi le mettre hors de danger pour l'instant.

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Palaven, avant-poste, 17H56, dernier jour de l'attaque des moissonneurs :


-Bordel, on a plus de contact avec l'équipe bravo, qu'est-ce qu'on fait lieutenant ?

-C'était pas eux qui devaient ramener les munitions ?

-Si

-Et merde, on est presque à court ! Et les zombies sont de plus en plus nombreux... Qu'elles sont les ordres ?

-On a plus de contact avec le poste de commandement, impossible de les contacter, comme vous êtes le plus haut gradés, c'est à vous de donner les ordres.


Voilà une chose que j'espérais ne jamais avoir à vivre dans ma vie, être coincé entre deux trois bout de métal qui servent de barricades, entouré de monstres plus hideux les uns que les autres et me trouver en charge de la situation. On était plus qu'une vingtaine dans mon peloton alors que des dizaines voir des centaines d'unités des moissonneurs se massent sur nos murailles de fortunes avec comme seul arme pour nous défendre deux sulfateuses qui nécessites des réparations ainsi que des fusils, sans cartouche thermique. Je crois qu'on a rarement vus plus désespérée comme situation mais ce n'est pas mon genre d'abandonner mes hommes, mon sens du devoir et de l'honneur me l'interdit, je me battrais jusqu'au bout si je peux sauver ne serait-ce qu'un de mes soldats. Mais il y avait peu d'options qui se présentaient à moi, soit je sers de leurre pour éloigner l'ennemi, soit on tente de tenir le plus longtemps possible jusqu'à l'arrivé des renforts mais je ne suis même pas sur que des alliées sois en route pour nous aider... Je regardai rapidement mes quelques réserves de munitions et vînt à cette conclusion : j'aurais au moins une balle pour me suicider avant de devenir l'un d'eux, c'est déjà ça après tout. Avant de partir, je regroupais toutes les troupes pendant une interlude entre deux batailles, vidant nos dernières réserves de cartouche, pour faire un discours qui, j'espère, leur donnera espoir et courage car c’est tout ce qui nous restait actuellement...


-Mes chers soldats, mes amis, mes frères... Je sais que vous avez peur, pour vous, pour vos familles et pour notre planète qui meurt petit à petit mais... Il y a un homme, Shepard, qui fait tout pour arrêter les moissonneurs mais c'est à nous, turiens, de défendre cette planète qui est la notre, aujourd'hui et maintenant ! Tout ces efforts ne serviront à rien si vous mourrez tous, ici , c'est pourquoi je vous demande, non, je vous ordonne de partir ! Vous devriez pouvoir rejoindre un avant-poste sécurisé, Krilen, tu te charge du groupe, garde les en vie quoi qu'il arrive.

-Et vous lieutenant ?

-Vous inquiétez pas pour moi, partez d'ici, VITE !


Une grogne conséquente pouvait se faire entendre dans mon dos. C’était une nouvelle vague de zombie… Je me demandais bien pourquoi ils ne se contentaient pas de faire le tour plutôt que de venir nous emmerder… Pas comme si on tenait une place importante, merde ! Mon peloton se mit en marche, passant dans des galeries souterraines reliant les différents postes de garde sur la planète. Je pris mon fusil d’assaut, récupéra toutes les cartouches thermiques qui restait puis, me mis en position en haut d’un monticule de terre et de ferraille. Il fallait que je regarde juste les zombies… Juste assez pour que mes hommes survivent.

Je rechargeais mon M-8 avenger puis, commença à faire feu… J’avais en face de moi une marée de mort, implacable qui allait engloutir tout son sur son passage… Elle était inénarrable, j’avais réellement l’impression de tirer dans l’eau, chaque zombie mort étant remplacé par une dizaine d’autres l’instant d’après. Il hurlait, courait vers moi comme un millier de diable mais je n’allais pas fuir, non. Bien camper sur mes positions je tirais, encore et encore, vidant cartouche après cartouche, sentant l’arme chaude entre mes mains, sur le point d’exploser. Une fois que l’avant garde était trop proche, je lançais une grenade à ma ceinture puis me réfugiais derrière mon monticule de terre. L’explosion sifflait encore dans mes oreilles quand je vis des corps voler au dessus de moi, déchiquetés par l’explosion. Je me retournais de nouveau pour faire face à la menace et vida ma dernière cartouche, mon dernier espoir de survie. Lâchant mon fusil, je pris mon arme de poing pour plaquer le canon contre ma tempe, prêt à éviter le sort terrible que ce serait d’être transformé en l’une de ces choses… Puis, je vis la tête d’une des créatures exploser devant moi, rapidement suivi par le bruit de réacteurs de navettes de transport. Regardant derrière moi, j’en vis une dizaine voler dans ma direction, faisant pleuvoir un déluge de feu sur l’ennemi. Je courais vers eux pour m’éloigner de mon funèbre destin, l’une des navettes se posa devant moi et me prit à son bord. J’allais demander s’ils avaient des nouvelles de mon équipe quand un haut gradé s’approcha de moi, je me demande ce qu’il faisait ici:


-Lieutenant Farien ? J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer... Votre frère est mort, le vaisseau sur laquelle il servait à été détruit par les moissonneurs, je suis désolé.


On me connaissait déjà comme étant plutôt émotionnel, en tout cas plus que la plupart des turiens et je peux vous dire que cette annonce a eu l'effet d'un choc pour moi. Je rentrai dans une colère noire et j'agrippai mon supérieur pour lui crier dessus :


-COMMENT C'EST POSSIBLE ! Il faisait partie de l'arrière-garde ! Je suis sur que c'est vous qui l'avez envoyé à la mort !


Je frappais violemment mon supérieur qui se retrouva rapidement au sol. Les quelques soldats présents tentèrent de me maîtriser en me plaquant au sol, je continuais pourtant de crier et de l’insulter. Puis je passais de la colère à la tristesse et tombais en sanglot en disant que c'était ma faute, que j'étais le seul fautif dans cette mort tragique. Je fus enfermé dans une cellule pour violence sur supérieur et je fus destitué de mon grade, je n'étais plus rien maintenant, et j'avais la mort de mon frère sur la conscience…

Je restais un long moment à l’ombre. Dans mon esprit, un changement s’opéra. J’avais tout donné pour l’armée, tout… Et voilà le résultat. Mon frère est mort… Le dernier jour de cette putain de guerre. Quelle ironie… J’avais dans ma cellule dans membres de mon unité et des amis d’enfance. Ils étaient d’accord avec moi pour quitter cette endroit, quitte à devenir des renégats. Nous étions des militaires accomplis et il serait facile de nous faire embaucher comme mercenaire… Mais j’étais un peu plus ambitieux, nous allions pas nous contenter de ça, nous allions voler un navire, c’est pas comme si les systèmes terminus pullulaient de crapules et de criminels, les délaisser d’un navire, qui en aurait quelque chose à faire ? ça allait demander un peu plus d’organisation mais il fallait déjà partir d’ici. Une fois notre peine de six mois purgeait, nous prîmes le premier transport pour Omega, la ville de toutes les possibilités pour les personnes à tant soit peu ambitieuse.

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Zeckus ainsi que ses deux alliées commença alors leurs vies de brigands à Omega, comme la majorité des hors la loi de l’univers d’ailleurs. Enchaînant les petits contrats et se faisait rapidement une réputation d’hommes à tout faire, les trois partenaires grimpèrent les échelons d’une des petites associations de mercenaires anonyme sur place, on parle d’à peine une dizaine d’individus, autant krogans que butariens. Fort de cette nouvelle force de frappe, Zeckus infiltra une frégate civile, comme société de sécurité, la frégate servant comme transport de marchandise. Profitant d’être le seul groupe armé du vaisseau, Zeckus prit le contrôle du navire, éjectant les anciens propriétaires.

Ça c’était il y a treize ans. Durant toutes ces années, Zeckus termina de nombreux contrats, alternant entre les raids sur des colonies isolées ou servant de garde à des convois de marchandise. Les rentes d’argents fût suffisamment conséquentes pour petit à petit armer sa frégate, le renommant le black light et lui dotant de certains pour le rendre plus offensives mais surtout furtif. Zeckus préférant largement les attaques rapides et fulgurantes à un étalage de puissance.

Cette stratégie lui valu de ne pas trop attirer l’attention sur lui pendant tout ce temps, même s’il se faisait un nom dans les sphères du mercenariat et du marché noir. Zeckus participa entre autre au blackout d’Omega en 2199, profitant du chaos général pour voler tout un tas de données compromettantes sur les différents groupes de mercenaires importants comme Eclipse ou le soleil bleu et défendant l’un des relais de communication de la station pour par la suite, bien se faire voir d’Aria.

Cette action lui valu d’être régulièrement embaucher pour des contrats mineurs dans les stations terminus tout en restant à l’abri, sous l’ombre d’Aria. Cette allégeance continua pendant deux ans, pendant lequel l’équipe de Zeckus s'agrandit encore, son groupe comptant désormais une trentaine de soldats ainsi qu’une seconde frégate. Cette deuxième frégate était aussi une vaisseau civile qu’il modifia pour en faire un navire de guerre, l’équipant légèrement, privilégiant toujours la discrétion et la rapidité. Cette fois ci il l’a vola à une société de transport de fond privée qui s’en servait pour transporter de l’or.

Puis, vint la chuta d’Aria. Zeckus avait vu le vent tourné mais, un reste d’honneur l’obligea à défendre Aria alors qu’elle se terrait dans les mines, combattant à ses côtés contre les troupes d’Anton Ardak. Sentant la victoire impossible, il décida finalement de retirer ses troupes et de prendre la fuite, ternissant son image de mercenaire de confiance jusqu’ici, immaculé, cette échec lui resta longtemps au travers de la gorge, son égo ayant pris un certain coup. De plus, les grand groupe de mercenaires l’avaient dans le collimateur et il était de plus en plus difficile de récupérer des contrats, sans oublier que la station Oméga lui était désormais interdite.

Son équipage qui tenait désormais sur deux frégates semblaient avoir perdu confiance en son leader qui les dirigeaient depuis plus de dix ans désormais. Il cherchait désespérément un moyen de se soustraire à l’influence néfaste des grands groupe de mercenaire sur ses affaires et à trouver un nouvel “ange gardien”.

Zeckus est un turien de taille moyenne pour sa race, dans les 2m02 il a développé une forte musculature pendant son service militaire et aussi de son côté grâce à un entraînement personnel régulier et rigoureux. Cette force qu'on pourrait qualifier de hors du commun lui permettrait d'utiliser la veuve noire par exemple. Il peut aussi porter des charges lourdes et bloquer (si il est en pleine forme) un krogan en pleine charge. Ceci dit, le coup de tête qui survient juste après le met souvent ko.

Il a des écailles blanches avec dessus des peintures faciales bleu pour représenter son appartenance à sa planète d'origine, Palaven. Il a aussi des yeux rouge sanguin qui ressortent de ses orbites noirs. Il a de nombreuses balafres et cicatrices, héritage des différents combats qu’il a vécu au fil des années. Son expression faciale est souvent froide, le commun des mortels voit rapidement qu’il est nécessaire de se tenir éloigné de Zeckus.

A cause de la mort de son frère, Zeckus à développé une insensibilité à la mort, il est capable de tuer sans scrupule et même, des fois, avec plaisir. Ce sadisme est responsable de beaucoup de problème pour lui et son équipage, bien souvent des négociations et des contrats ont finis dans le sang et une mauvaise réputation ont souvent fait fuir les clients. Pourtant, on fait appelle à lui pour les commandes les moins scrupuleuses et les plus dangereuses. S’il s’en est toujours sortie, c’est surtout grâce à son esprit vif et son sens du commandement qui lui permettent de se sortir des pires situations, la plupart du temps.

Dans la vie courante, c’est quelqu’un qui aime s’amuser, souvent aux dépens des autres, riant et se moquant régulièrement de son entourage. Il aime tout particulièrement fréquenter les bars, surtout les plus malfamés, friands d’alcool et de baston. C’est d’ailleurs toujours dans un bar qu’il donne rendez vous à ses commanditaires, il dit souvent que “Un client qui ne te paye pas un verre, ne mérite pas qu’on s’intéresse à lui… Et il mérite qu’on lui casse la gueule, pour la forme”. Malgré ce caractère qu’on pourrait qualifier de monstrueux à bien des égards et même s’il a peu de respect pour la vie d’autrui, il tient tout particulièrement à la vie des membres de son équipage. Quiconque oserait mettre la main sur l’un de ses hommes se mettrait Zeckus à dos. Il n’a pas été rare Zeckus s’introduise dans la maison de quelqu’un qui a insulté l’un de ses hommes de main plus tôt et fasse tout brûler.

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Profil :

Profil : Capitaine (Militaire/Professionnel) 9 points en militaire/9 points en technologie.

Équipement :

Armes : Fusil de précision m-98 veuve/Fusil d’assaut M-96 Mattock
Armurerie : M-100 Lance-Grenades

Compétences :

Militaire : Niveau du combat à distance: La maitrise avancée (maîtrise d’élite serait plus logique vu le background mais c’est marqué je n’ai pas le droit à l’inscription… Même si c’est un reboot ? A vous de me dire)./ Niveau du combat au CaC: Combattant entrainé. Compétence: Munition phasique (3 points), munitions perforantes (3 points), grenades d’attaques (3 points).
Biotique : Non
Technologie : Niveau d’hacking: Entrainé. Compétence: Tourelle fixe (4 points) avec bouclier (3 points) et lance flamme (2 points).

(Je pense pas avoir tout compris mais j’ai fait de mon mieux !).

Signe(s) distinctif(s) : Peinture de guerre bleu sur le visage.
Relations avec les autres : La plupart du temps joyeux et fêtard, il peut cependant sombrer rapidement dans la colère.
Des liens prédéfinis ? : Non.
L'objectif de votre personnage à long terme ? : Voler un cuirassé, pour le sport.

Célébrité sur l'avatar (seulement si besoin) : Nope.
Comment avez-vous connu le forum ? Je suis un vieux de la vieille.
Est-ce un double compte ? Non.
Des remarques ? Un peu galéré sur le système de compétences (et je suis triste que le jeu de cartes n'existe plus, c'était la rigolade).